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[HRP : RP écrit par Aegus One, il aurait du être posté tout au long de la quête à des salles-passages, John et moi avions oublié de le faire, je le post donc maintenant ... Excusez nous encore de l'oubli. En ce qui concerne les résultats de la quête, passez voir le forum...]
Aegus et Lelldora filait le parfait amour depuis déjà de long mois et leur inactivité relative sur la scène galactique leur avait permis de se découvrir sous des angles bien plus approfondies. Le jeune contrebandier avait appris à ne plus se sentir coupable pour sa conduite avec Miarii et la nouvelle boucle temporelle allait lui permettre de quitter un peu le lit. Lelldora pourrait peut être enfin exploiter ses talents dans un autre domaine que celui de faire plaisir à son compagnon.
L'invitation qu'il venait de recevoir allait leur permettre de remonter à bord de leur navette lambda. Quelques heures d'hyperespace plus tard, ils se trouvaient en bordure des régions inconnus tout proche de l'orbite d'une planète occupés par John. Le Néo-Méhabel flottait non loin a proximité d'un ensemble hétéroclyte de navires.
'On est en retard, j'ai bien l'impression... - Nous n'aurions pas du faire cette petite pause, répliqua Lell en se recoiffant.'
Aegus se chargea des formalités d'amarage et quelques minutes plus tard, une jolie jeune femme venait les acceuillir au bas de la rampe d'accès à la navette.
'Bonjour, je suis Carrie. Vous êtes les derniers, suivez-moi. - Avec joie.'
Aegus, marchant à coté de Lell, suivit Carrie à travers les couloirs du navire de John. Un regard sur les hanches de Carrie, un coup de coude de Lelldora, trois stormtroopers en armure verte, un couloir lambrisé, une partie de sabaac, un vol au dessus d'un nid de coucou, un plafond en moquette longue, trois gremlins et deux pistes de bowling plus tard, une odeur persistante de Vodka commença à flotter dans l'atmosphère. La passerelle, Neo et sûrement la majorité des autres contrebandiers devaient être tout proche. En effet alors que Carrie se décalait pour les laisser entrer, toute une série de tête se tournait vers eux.
'Bonjour! Bienvenue sur mon vaisseau! - C'est un plaisir John. Par contre tu devrais faire attention y'a tout un tas de chose dans les couloirs de ton navire... - J'aime bien le coté folklore. Bien maintenant que tout le monde est là...'
Il ne termina pas sa phrase car personne ne lui portait plus aucune attention. Dans un coin, Neo cherchait une olive pour aller avec son tonneau de pastis. Nazgob, Turval et Coincoin parlaient navires à l'opposé de la salle. Namida venait de serrer Lelldora dans ses bras avant de saluer Aegus. Seul Shakka le regardait avec un sourire énigmatique. Carrie, elle même s'était trouvé une meilleure occupation que d'écouter les élucubrations de son cher amant sith, jedi ou quoiqu'il fut d'autre...
'... Bon vous faîtes chier de toute façon. Direction Kreishtev, on va voir notre fantôme national.'
Son officier de pont le salua et John rejoignit le petit bar pour pester contre cette bande de saoulard qui ne l'écoutait jamais quand les occasions étaient importantes.
Ziliev venait tout juste de rallumer le feu dans sa cheminée quand on tapa à sa porte. Il ne bougea pas, s'assit dans son fauteuil à bascule, fit sauter d'un coup le bouchon de sa bouteille de Vodka et commença à boire au goulot. Un nouveau bruit résonna derrière lui. Il ronchonna, le blizard éjectait souvent des cayoux et son chalet avait la mauvaise habitude de toujours les attirer. Il entendit une voix puis plusieurs, l'alcool aidant il cru reconnaître le vent et se laissa bercer...
Derrière la porte, John tambourrinnait maintenant à la porte, il était à deux doigts de sortir son sabre laser mais par respect pour leur ancien collègue il se retînt. La plupart des autres étaient enfouies dans des manteaux de fourrure prévu pour supporter un grand froid.
'JE COMPRENDS PAS, IL M'A DIT QU'IL SERAIT LA!'
Neo le regarda d'un air désabusé et dodelina de la tête en signe de pitié. Il prit sa bouteille et en vida une rasade dans sa bouche, soudain un événement prévisible arriva.
LA BOUTEILLE ETAIT VIDE!
Stoïque, ne s'affolant pas, Neo la jetta le plus loin possible et fouilla dans sa grande poche. Il trouva le réservoir à glaçon, les trois stormtroopers verts, un coucou suisse et un tir bouchon mais pas de bouteille... Il était évident que John en avait pris dans son sac, il colla le jeune homme contre le mur arrachant le tissu de ses mains nus, hurlant comme un dément. Le sac ne contenait que du matériel sans importance...
Neo s'écroula à genoux dans la neige, les larmes coulaient sur ses joues, il hurla de plus en plus fort.
'On dirait un chien qui hurle à la lune... Il est effrayant, ajouta Lelldora à voix basse. -Le manque fait faire de drôle de chose aux gens mon amour.'
Elle le regarda avec un air entendu et éclata de rire.
'Pas ici en public voyons... -Bah cet idiot de descente de lit en laine n'est pas là... Y'a un ptit abris à bois, il doit faire chaud, je pensais que...'
MON ALCOOLLLLL MA BOUTEILLE!!!! ON M'ARRACHE MA VIE!!!!
'Mais faîtes le taire, il va déclencher une avalanche!!! rugit Shakka.'
Nazgob, turval et lui même se jettèrent sur leur chef historique pour le maitriser, rien n'y fait. Il les écarta avec moulte coup de boulle et recommença à beugler, il arracha ses vêtements hurlant à la mort...
Quand soudain!!
La porte s'ouvrit!
'ZILIEVVV!!!! FAIT PETER LA VODKA!!! - MON NEO C'EST TOI QUE J'ENTENDAIS!!! VIENS LA VITE!!!'
Il se tourna vers les autres, qui le regardait avec un air désabusé...
'Ah vous êtes là vous... Bon bah entrez y'a de l'alcool...'
Une flêche humaine le dépassa, le faisant tournoyer sur place.
'Correction il y avait de l'alcool'
Le petit groupe de contrebandier se massa dans la seule et unique pièce, où déjà Neorom avait plongé une louche dans un nouveau tonneau de pastis. Rapidement toutes les parkas furent jetées sur le lit et tous s'asseyèrent tant bien que mal. Ziliev se tenait près de la porte, serrant la main de Coincoin qui finalement après tout ce temps avait une occasion de voir pourquoi Zili avait pris sa retraite. John se tourna vers Ziliev qui ne le laissa pas commencer.
'VOus venez faire quoi ici? -Bah comme prévu, on vient... - ZILIII! Où t'as planqué les olives?! Si je mange pas un peu, je vais être bourré! - J'arrive Neo! Bouge pas!'
Ziliev se dirigea vers un coin de la pièce, en enjambant les obstacles. John fulminait intérieurement. Le silence revînt progressivement alors que tout le monde se rechauffait devant la cheminée. Coincoin Duk en bon elfe de maison commença à servir aux autres ce qu'il trouvait dans le frigo du mouton. John sentant le moment propice, se plaça devant l'âtre et s'éclaircit bruyamment la gorge. Les visages se tournèrent vers lui.
'Bien maintenant que tout le monde est présent, nous allons pouvoir commencer un petit topo... - Juste une miseeee au pointtttt...'
Le jeune homme ne put pas vraiment se contenir et se mordit les lèvres en cherchant à définir qui de Nazgob ou Turval venait de lancer cette connerie. Le doute subsistait car les deux hommes se pointaient du doigt à tour de rôle.
'Bon la bleusaille, laissez l'autre bleusaille parler un peu. J'aime pas boire sans fond sonore. - Merci Neorom. - De rien Mr Crédibilité.'
Les rires qui suivirent furent étouffer par une rafale de vent très forte.
'Mes labos ont mis au point un senseur révolutionnaire... - Il renifle la Vodka? C'est pour ça que vous venez me déranger, j'imagine! - Non Ziliev! C'est un senseur pour navire, répondit il contenant difficilement son envie de lancer des éclairs bleutés sur toutes les personnes présentes. Maintenant que j'ai réussi à eveiller votre interêt, je vais pouvoir nous détailler le plan mis au point en commun main dans la main avec Namida... - Deux Cébéééé qui se tiennent par la mainnnn ça n'a riennnn qui peut choquerrrr la moraleeee... - Je serais toi, je ferais attention Carrie! John est un courreur, lança Aegus en souriant de toutes ses dents. - Fermez là! Je vais faire évacuer la salle! - Hey! Dis donc t'es pas chez toi la bleusaille! C'est le chalet de Zili! rétorqua Neo d'une voix beaucoup plus humaine depuis que la moitié du bocal d'olive avait déjà disparu.'
John peina pendant encore plus de vingt minutes pour expliquer les détails de son plan. Namida était assise entre Turval et Nazgob et savourait un sandwitch que Coincoin venait de lui confectionner avec tous l'amour dont il était capable. L'ambiance était à la fête, shakka parlait avec Ziliev et Neorom d'alcool, naturellement! Aegus et Lelldora ne s'embrassait pas, pour changer, il s'amusait juste à manger la même cérise sans les mains. Un jeu débile qui finit par une morsure de la lèvre de Lell qui commença à bouder. Carrie regardait le spectacle de cette déchéance humaine avec pitié, John toisait toute la pièce toujours devant son âtre. Quand soudain, il se dit qu'il manquait quelqu'un dans la pièce. Bien entendu, il ne faisait pas référence à la subite abscence d'Aegus et Lell qui devaient maintenant avoir atteint l'abris à bois derrière le chalet. Il manquait un contrebandier! PLUTOT UNE!
HERMIONE!
Rien que la pensée de devoir réexpliqué son plan une nouvelle fois, lorsqu'il aurait trouvé la jeune Contrebandière, le mis dans un état proche de la crise de démence. Il lança des éclairs vers le toit, fort heureusement il ne toucha aucune des hautes poutres...
'Merci, John. L'autre jour, je me suis fait avoir par un VRP, il m'a vendu des panneaux solaires pour maintenir mon chalet au chaud. Avec ce que tu viens de remettre comme énergie, je vais pouvoir rallumer l'électricité. Ca fera du bien aux choses qui pourrissent dans mon refrigérateur... - De rien, rétorqua-t'il d'un ton morne.'
Coincoin qui fouillait justement à l'intérieur du stock de provision, retira sa tête du réfrigérateur et le referma sans rien prendre. Il lança un sourire à Namida qui jetta son sandwitch dans le feu...
John alla s'asseoir sur le lit et laissa Carrie se mettre sur ses genoux pour le réconforter un peu. Neo renversa le bocal d'olive sur le sol, la dernière olive roula, roula, roula et finalement tomba à l'extérieur du chalet par la porte entrouverte. Ses yeux se révulsèrent, il se leva, repoussant sa chaise en arrière, tout le monde retînt son souffle et le regarda traverser la pièce en trombe.
'MON OLIVEEEE!!!!!!'
La porte claqua derrière lui, les rires reprirent immédiatement.
'Il est vraiment comique quand il est dans cet état là!'
Assise sur une buche assez haute, Lelldora portait ses mains dans les cheveux d'Aegus, ce dernier l'embrassait fougueusement quand il sentit un souffle rauque derrière lui. Un énorme ours se trouvait juste derrière lui, Lell resta calme, elle se baissa tout doucement contre le corps de son amant pour atteindre le blaster qu'il portait toujours au coté. Un beuglement vennant de la cabane les fit sursauter, l'ours se leva sur ses pates arrières et Lell crût qu'il allait passer à l'attaque mais il resta quelques secondes immobiles, son regard porta sur le coté de la cabane.
'Ne bouge pas, il a vu quelque chose! - Nous... descend le, Lell je t'en pris! - Nan regarde on dirait une olive!'
L'ours gronda, se repositionna sur ses quatre pates et s'empara de l'olive d'un coup de griffe. Il regarda une dernière fois en direction des amoureux et disparut en courant.
'J'aime bien te voir quand tu as peur, sussura Lell à Aeg qui se remettait de ses émotions. - Je sais...'
Reprenant leur jeu où il en était, ils ne purent que rester ensembles quelques secondes mais cela suffit à Aegus pour sursauter lorsqu'une main autre que celle de Lell se posa sur son épaule.
'NEOROM!!! rugit Lell. - Dîtes les copulateurs, jeunes amants, tourtereaux... Bon bref rendez moi MON OLIVE!!! - C'pas nous c'est l'ours qui l'a pris... - Il est ou ce con?! - Parti par là! Mais avec ce blizzard...'
Trop tard! Neorom venait de ramasser une buche et une pioche, il se lança dans la neige à la poursuite de la bête Olivore...
John, Carrie, Ziliev, Coincoin, Shakka et tous les autres contrebandiers se trouvaient sur le parvis du chalet et cherchait dans l'obscurité.
' Bon rhabilles toi, Lell. Je crois qu'on nous laissera pas tranquille...'
Ils revinrent avec les autres rapidement.
'Où est Neo? - Il poursuit un ours... - Un ours? - L'ours en question a eu le malheur de lui piquer son olive, ajouta la compagne d'Aeg. - Pov' Bête, j'avais passé des heures à l'éduquer... - J'aime la façon dont tu parles de Neo, renchérit Coincoin. - J'avais même pas fini d'expliquer ce foutu plan! Il manque Hermione! VOUS ME GONFLEZ TOUS!!!!'
TTTTSSSSOOOOIIIIIINNNNNNNNNNNNNNNGGGGGG
'Putin mais c'est quoi ça encore, lança John en se retournant. - Désolé, je voulais savoir quel son ça faisait, répondit Carrie. - Aeg, l'abris à bois est libre?! - Mouai... Tire l'espèce de rideau parce que c'est fréquenté comme endroit... - Carrie vient te faire pardonner!'
TTTTSSSSSOINNNNNGGGGGGGGGGGG
' Nan mais honnetement c'est quoi ce son? On dirait qu'on coupe les parties génitales d'un mouton...'
Nazgob ressentit soudain une douleur sur son crâne. Ziliev venait de le tataner.
'REDIS DU MAL DES MOUTONS ET TU VAS PAS COMPRENDRE C'QUI VA T'ARRIVER!!!'
La foule rentra dans le chalet se rechauffer pendant qu'au loin on entendait un éboulement dans l'abris à bois et des cris inhumains transporter par le vent.
'Arrête John, cette buche me scie les côtes! - T'avais qu'à pas donner un coup de tsoin tsoin!'
Une main glacée se posa sur son épaule, il ne sursauta pas grâce à ses surpuissants dons de sith, de jedi et de hamster ninja. La voix d'Hermione retentit derrière lui alors que Carrie remettait son chemisier pour cacher ses formes.
'Désolé. J'peux me joindre à vous? - Euh... Les autres sont à l'intérieur... - Ah je me disais aussi, c'était un petit peu sommaire pour être la cabane de not' Zili.'
Hermione laissa le couple en souriant, ouvrant la porte et entrant se rechauffer à l'intérieur.
L'ambiance joviale continua lorsque John revînt bien décidé à expliquer à Hermione ce qu'il comptait faire dans les jours à venir. TOut ce déroula dans le calme relatif et fièrement il termina ses explications par un grand sourire.
'Comme je l'ai dit à Namida, c'est un très bon plan... -QUOI?? -Bah oui pendant que tu étais occupé, elle m'a déjà expliqué tout le plan, répliqua-t'elle d'un air innocent. - CARRIE, ABRIS BOIS TOUT DE SUITE!!!'
Contrairement à ce que pense le lecteur averti, il ne s'agissait pas de la voix exédée de John qui venait de proférer une telle proposition indécente, mais celle de Nazgob qui depuis le début de la soirée avait toujours le mot pour rire.
La nuit passa dans le chalet de Ziliev et au matin, tous quittèrent la maison pour rejoindre le navire de John. Sur la route, ils découvrirent un homme endormi dans une peau d'ours. Ziliev lui ficha un coup de pied ce qui eut pour effet de le réveiller.
'Salut les bleus... Alors on vient admirer le chef! Un ours! A buche nu, je lui ai fait la tronche! - T'as retrouvé ton olive, Neo? - Et un tonneau de vodka en prime, j'en avais marre du pastis! Oui oui, il y avait un tonneau dans sa grotte... Cherchez pas à comprendre ça doit être un coup du mouton ça... - Je ne ferai aucun commentaire, répondit il.'
Un groupe de Stormtrooper vert plus tard, tous les Contrebandiers étaient sur le point de rejoindre leur navire.
[FIN]
'Ils ont réussi à voler le senseur.'
John se retourna et regarda Carrie. Il lui fit un sourire et se contenta de faire le tour de son bureau pour atteindre la baie vitrée.
'Tu vois... Carrie, je vais t'enseigner quelque chose. -Je suis prête. -L'essentiel c'est qu'ils pensent qu'ils ont gagnés. Alors qu'en vérité, nous n'avons pas fini de leur en faire voir de toutes les couleurs'
Namida le 2008-04-28 17:58:18
La dernière ligne droite, ou courbe... |
Fouillant dans la poussière, au milieu d'appareils délabrés de toute sorte, nous retrouvons l'amiral rebelle, bientôt à bout.
« Dites moi qu'il n'y a pas de corde ici et je me livre à John, cria-t-il pour lui même. »
Soudain ses yeux fatigués s'écarquillèrent et il plongea sa main au milieu du fouillis, en ressortant une seconde plus tard, une belle corde bien solide. Satisfait, il entreprit de l'enrouler autour de son épaule pour la transporter plus facilement et repris le chemin pour la dernière porte bloquée rencontrée. Il réussit à l'ouvrir, sans grande surprise, grâce à sa corde qu'il décida de garder sur lui. Il entra alors dans ce qui semblait être une nouvelle aile du complexe, néanmoins, celle-ci ne semblait pas plus ordonnée que les précédentes. Des fils électriques trainaient un peu partout sur le sol, autour de tables carrelées. Au centre de la pièce, de taille raisonnable, se trouvait un bassin rempli d'une substance rosâtre et gélatineuse. Dans un coin de la salle, un vestiaire, avec quelques blouses blanches suspendues, des gants plastifiés dans les poches ainsi qu'une paire de lunettes de protection par ensemble. La panoplie du petit chimiste se retrouvait également ci et là par terre, autour du bassin. Les gants et les blouses troués, rongés, sans doute par cette chose étrange dans le bassin. Il y avait deux portes, toutes deux fermées, sans mécanisme ou clavier apparent, elles portaient les inscriptions ''Salle 36'' et ''Salle 38''. L'amiral décida d'enfiler une tenue. Il ajusta les gants et les lunettes puis s'approcha de l'intriguant récipient. Au fond, un bouton était visible, d'un geste rapide il plongea sa main dans la substance , pressa le bouton et la ressorti aussi vite que possible. Déjà les gants commençaient à être brûlés, il les enleva et les laissa tomber sur le sol, tout comme la blouse et les lunettes. Les deux portes s'étaient entre-ouvertes et il choisi de prendre celle qui menait à la salle n° 36.
Dans cette pièce la première chose qu'il remarqua fut qu'il n'y avait pas d'autre porte hormis celle par laquelle il était venu. Il pensa un instant à une impasse mais remarqua bien vite une grille d'aération en hauteur. Il pourrait l'atteindre à l'aide de la corde, mais par soucis du détail il examina rapidement le reste de la pièce. Quelques même tables carrelées que dans le labo de tout à l'heure, des murs noir mat sans aucune décoration, d'autres ensemble de blouses et de gants, ainsi que le nécessaire à produire des solutions plus ou moins instables, rien d'intéressant. L'amiral emprunta donc le conduit d'aération, et il déboucha dans un petit couloir. Celui-ci menait à une nouvelle pièce. Lorsqu'il y entra, il entendit des bruits de pas, et deux voix. Il semblait que deux gardes faisaient leur ronde. Il s'avança donc un peu plus afin d'avoir une vue d'ensemble de la salle, et remarqua une porte à l'autre bout. L'endroit était deux fois plus grand que ce qu'il avait rencontré jusqu'à maintenant, cela ne faciliterais pas la tâche. Au centre, deux machines assez imposantes avait été placées, espacées de deux mètres chacune environ. En observant la ronde des gardes, il nota qu'ils se séparaient pour faire le tour de chaque engin, mais un deuxième obstacle venait lui barrer la route. Une fosse juste devant la porte. Biensûre de chaque côté de celle-ci une échelle permettait d'en sortir. Mais si il venait à être trouver là par un garde, ce serait la mort assurée. Luxorion, perplexe devant l'efficacité douteuse d'une telle surveillance, nota qu'en plus de cela les gardes semblaient être issus de la même section de formation que les précédents, soit pour ainsi dire peu performants.
Toutefois il pensait avoir subi assez de coups pour la semaine à venir, et la légère sensation de brûlure qu'il ressenti en se cachant derrière la porte au passage d'un garde le confortait dans sa réflexion. Il observa la ronde des deux hommes à deux reprises, et conclu qu'il aurait le temps de descendre dans la fosse sans être vu avant qu'ils ne repassent devant. A chaque passages ceux-ci lançaient à peine un regard en bas, ne voyant que le côté de la porte ou autrement dit, 80% de la fosse. Luxo pouvait donc se cacher dans la portion non surveillée.
Au moment opportun, il avança entre les deux machines au centre de la pièce, prenant les précautions nécessaires pour ne faire aucun bruit. Arrivé à la première échelle, il hésita, mais descendit rapidement en entendant les pas des gardes se rapprocher. Plaqué contre le mur en contrebas, il attendit que les pas s'éloigne en retenant sa respiration. Si l'un des deux gus venait à regarder à ses pied, là en bas, c'était la fin. Mais comme à leur habitude ils ne jetèrent qu'un bref regard et continuèrent tranquillement.
« La routine mène à l'erreur, on vous l'a jamais dit apparemment, se jouait le rebelle dans sa tête »
L'amiral continua donc, et parcouru le peu de chemin qui le séparait de la porte, puis entra dans la pièce suivante en prenant soin de refermer derrière lui. Dans cette nouvelle salle, il se sentait mal à l'aise, on aurait dit une salle de classe pour les chimistes du coin. Toujours les mêmes tables carrelées, les mêmes vêtements, quelques chaises et autres fioles. Dans le fond, une porte munie du sempiternel clavier alphanumérique et un tableau noir sur lequel était inscrit:
''U – D – T – Q - ? -''
Il fallait très certainement trouver une suite logique, et après un instant de réflexion la réponse parut claire, il se dirigea vers la porte et tapa ce qu'il pensait correcte. Le son caractéristique de l'ouverture se fit entendre et il continua sa progression. Il semblerait qu'il soit entré dans la dernière aile du complexe, les bureaux des haut-dirigeants. Les meubles étaient de facture beaucoup plus élevée que tout ceux vu précédemment. Le bureau, fait d'un bois rare, de couleur noire trônait en star dans la pièce. Il était muni de quatre tiroirs, don un muni d'un petit clavier laissant supposer qu'il faille un code pour l'ouvrir. Tout était parfaitement ordonné, quelques dossiers étaient restés sur le plateau du bureau, certainement en prévision d'une relecture, un stylo à côté. Une lampe rutilante, éclairait l'endroit, créant une atmosphère calme et propice à la concentration. Dans un coin, un aquarium et quelques plantes vertes étaient disposés, donnant un peu de fraicheur à la pièce. A côté d'une colonne de rangement se trouvaient deux portes, ouvertes. Toutefois avant de continuer, Luxo regarda de plus près les tiroirs, tous fermés à clé. Un code à quatre chiffres semblait nécessaire pour ouvrir le tiroir du bas. Sans plus s'attarder il pris la porte de droite. A peine avait-il franchi la porte qu'il eut le souffle coupé devant tant de magnificence. Il ne pensait pas qu'une telle salle pouvait être dans une usine aussi... miteuse. Ses pieds foulent un sol en marbre blanc, éclatant. Une fresque parcourait le mur face à lui, l'histoire qui y est racontée semble sanglante, en tout cas le rouge en était la couleur dominante. A sa gauche, une cheminée en marbre blanc l'interpelle, comment pouvait-il y en avoir une dans un sous sol, au milieu d'une usine? En regardant de plus prêt il remarqua que les flammes n'étaient que des représentations holographiques, et que la chaleur devait être diffusée par un système quelconque. Au centre, une table basse, avec deux tasses posées dessus, juste à coté d'une théières. Deux fauteuils d'un noir sombre se faisait face, sur l'un deux, il remarqua après quelques temps une silhouette encapuchonnée qui se fondait presque parfaitement dans celui ci, il se demanda qui cela pouvait-être, mais un rire cristallin lui indiqua bientôt la nature du personnage se trouvant là. Il hésita à approcher n'étant pas très rassuré. Après avoir fait un pas en avant, l'amiral aperçu d'autre détails du décors, un mini bar se trouvant à la gauche du contrebandier. Enfin décidé il chercha à détailler la silhouette.
Au moment où il regarda dans sa direction, une main se dirigea lentement vers la capuche, libérant, en cascade, une chevelure brune auburn. Les yeux de la Suzeraine des Larmes cherchèrent les siens avant de s'y planter. Il soutenait son regard, se perdant dans l'argent de ses yeux quelques instants avant de s'en détourner et de regarder moins précisément la jeune femme. C'est alors qu'il remarqua un homme,sec et élancé, qui se tenait derrière Namida. Il arborait avec fierté le symbole de la flotte Larmienne, une Armada surmontée d'un visage de femme en larmes, sur son bras gauche ainsi qu'un autre symbole, des flammes ardentes, qui étaient dessinées au niveau de sa poitrine. Il se prénommait Seyku, Commandant Suprême de la flotte Larmienne. A coté de lui, Namida dans son uniforme noir, paraissait tout aussi menaçante, une épée, une vieille épée, pendant à ses cotés. Pas un sabre laser, ni une vibro-lame mais un katana de l'ancien Japon. Sa garde avait la forme d'une tête de dragon, les yeux semblaient être deux rubis scintillants. La lame n'avait rien d'une lame de parade, elle pouvait trancher, sans le moindre doute.
Luxorion prenait racines, planté là sans rien dire depuis presque une minute maintenant. Une longue minute durant laquelle il s'était certainement posé des dizaines de questions. Le silence pesait, et l'on aurait pu croire que cela le rendrait fou, mais à y regarder de plus près, il semblait l'apprécier. Après le choc de la découverte de cette pièce, suivit de celui de la rencontre des deux individus qui lui faisaient face, il s'était repris, et son visage était calme, tranquille. Il fixait un point sur la fresque du fond, entre Namida et Seyku qui, légèrement plus impatient, s'était déplacé d'un pas sur le côté, dévoilant une porte jusque là caché derrière lui. Ainsi il n'établissait pas de contact visuel direct et gagnait du temps, tout en pouvant observer chaque mouvements de ses hôtes.
« Je suppose que je n'ai aucune chance de me sortir vivant d'un affrontement de quelque sorte que ce soit avec ces chers amis, pensait l'amiral. J'ai de la chance cependant, cela aurait pu être John, et à l'heure qu'il est je serrais déjà passé de l'autre côté. Qui sait, peut être ai-je une chance de m'en sortir si je suis égale à moi même, poli et discret. »
N'ayant pas vraiment le choix, il finit par relever les yeux, qui se perdirent très vite à nouveau dans les pupilles argentées de la larme. Il aurait bien effectué une révérence, mais ce faisant il aurait perdu le peu de contrôle qu'il avait sur la situation en coupant son contact visuel, s'exposant à un danger certain. Se contentant donc de rester bien droit, solidement ancré sur ses jambes il prononça les premiers mots d'une discussion qui s'annonçait tendue.
« Je ne m'attendais pas à être reçu ainsi, je suis flatté, permettez moi tout deux de vous saluer comme il se doit. »
Pour seule réponse, la suzeraine hocha la tête, signe qu'elle accepterait au moins de l'écouter un moment. C'est comme cela que le rebelle continua:
« -Je ne sais pas quelles sont vos intentions à mon égard, mais je suppose que John préfèrerait mettre fin à mes jours lui même. Vous savez, je ne me suis jamais autant senti coincé qu'en ce moment dans cette vieille usine, et pourtant croyez moi...
-Epargnez nous les histoires inutiles, coupa Seyku.
-Ne soit pas grossier, cette personne déploie quelques efforts appréciables de courtoisie dans sa situation, nous devons en tenir compte. »
L'homme ne répondit pas à la remarque de Namida, il se contenta de tourner la tête comme pour scruter l'amiral. Ses yeux dorés, perçants, déterminés ne trouvèrent pas le regard de l'intrus. Celui-ci s'était maintenant focalisé sur la contrebandière. Elle relança le dialogue d'une voix calme.
« -Votre réflexion sur les préférences de John en ce qui vous concerne est exacte, cependant je ne compte pas vous livrer tout de suite.
-Je suis sûr que vous comprendrez que je refuserais de divulguer ne serais-ce qu'une petite information classée secrète de l'alliance rebelle, en supposant que cela soit votre but en ne me livrant pas immédiatement. »
Un rire léger, mais non moins fort, celui de la larme, éclata un instant avant qu'elle ne poursuive:
« -Je ne m'intéresse pas à vos conflits, je cherche mon propre profit et j'ai déjà assez à faire en m'occupant de mes affaires. Je ne vois pas pourquoi j'influencerais cette guerre.
-Effectivement, pourquoi gaspiller du temps et de l'énergie dans une cause qui n'est pas la votre. Mais pourquoi me retenir dans ce cas? »
La réponse mit un certain temps à venir, personne ne bougea un muscle jusqu'à ce que Namida regarde Seyku. Celui-ci répondit alors:
« -Si nous ne souhaitons pas vous voir mourir, du moins tout de suite, c'est que bien que John soit notre ''collègue'', la technologie qu'il cache ici nous intrigue.
-Je ne sais même pas de quelle sorte de technologie il s'agit, je suis justement venu ici pour le découvrir, répondit Luxorion.
-Et vous allez le découvrir, à une condition, repris la suzeraine.
-Dites moi donc... je ne crois pas pouvoir me permettre de refuser quoique ce soit. »
Namida s'était alors avancée jusqu'à arriver à la hauteur de l'amiral. Celui-ci n'avait pas bougé et ne pouvait s'empêcher d'imaginer la lame effilée du katana que son interlocutrice portait. La larme lui fit un sourire et lui tendit une carte métallique.
« Ceci est le pass permettant d'ouvrir la porte derrière moi. Vous en aurez bientôt fini avec ce labyrinthe. Une fois la technologie connue, et éventuellement volée, vous reviendrez ici même et me la remettrez. A cette condition, je vous laisserais en vie, cependant vous vous débrouillerez pour sortir seul. J'imagine que cela est dans vos possibilités. »
Le rebelle accepta, pris le pass, salua, et se dirigea lentement vers la porte. En passant à côté de Seyku, il le salua également, puis il passa le pas et referma derrière lui, n'en revenant pas encore d'avoir pu passer.
Dans cette nouvelle pièce il trouva un canapé en cuir ainsi qu'un projecteur holo en face de lui. Sans hésitation il se laissa tomber dans le fauteuil, une petite pause, confortablement installé, cela ne se refusait pas. La porte sur sa droite semblait fermé avec à coté le traditionnel clavier. Il pris une télécommande posée sur un accoudoir et alluma l'hologramme, tombant nez à nez avec cette phrase:
« Nous sommes de petites créatures à diverses figures, L'une de nous est de gaz sertie, une autre dans un verre enfouie, une autre dans le vin engloutie, la quatrième est ronde comme pomme. Si la cinquième tu la tue, elle ne t'échappera plus. »
Une énigme pour la forme, ce serait dommage de perdre la main, se dit Luxo. Réfléchissant tout d'abord à quelque chose de logique il pensa à une certaine molécule qui se retrouverait dans chaque élément mais cela ne collait pas. En divaguant ainsi il vint à se poser une question...
« Suis-je seul dans cette usine? Nous étions assez nombreux et je n'ai rencontré qu'une personne jusque là, la même à deux reprises. Se pourrait-il que je fasse cela pour rien et que ce que je cherche ai déjà été dérobé? »
Mais revenant bien vite à son énigme, il trouva la solution qu'il s'empressa de taper sur les touches toutes propre du petit clavier. La commande d'ouverture de la porte s'actionna et il franchit l'ouverture ainsi créé.
Après avoir traversé une salle se situant juste avant sans aucune protection il arriva dans une pièce richement décorée. Des tentures lui faisait face, représentant des scènes de batailles de l'époque pré-spatiale, ainsi qu'un bureau du même type que celui qui possédait un tiroir à code, d'un bois rare, noir, comprenant 4 tiroir lui aussi mais aucun n'ayant une ouverture codée. Son principal soucis était la clé nécessaire à l'ouverture de la porte qui se trouvait de l'autre côté de la pièce. Il regarda tout autour de lui mais ne remarqua aucune cachette possible.
L'amiral décida d'ouvrir les tiroirs, un à un, mais ne trouva rien. La clé se cacherait dans une salle précédente apparemment. En examinant machinalement les quelques feuilles trouvée dans un tiroir il aperçu le mot ''Acqua'' en rouge, mis en évidence. Cela ne lui vint pas tout de suite à l'esprit, mais ce mot faisait référence à l'aquarium du premier bureau de ce style. Il retourna en arrière, dans cette salle, sans vraiment savoir pourquoi. Une fois arrivé il fouilla un peu partout sans résultat, avant de regarder entre deux poiscailles. Il découvrit alors un bout de papier, protégé de l'eau par une couche plastique, sur lequel était inscrit quatre chiffres. Il les reporta sur le boitier, le tiroir se débloqua et il en sorti une clé. Quelques minutes plus tard il était revenu au deuxième bureau et ouvrit la porte. A noter qu'en passant par la salle de la rencontre avec la contrebandière, il n'y avait plus personne, comment la retrouver pour lui fournir ce qu'il trouverait? Mais n'ayant pas vraiment l'envie ni le temps de réfléchir plus longtemps il continua d'avancer.
Il semblerait que ce soit là la fin du périple, une porte blindé était ancrée dans le mur d'en face. Pas de code à entrer, pas de poignée, de serrure, rien. Il se demanda même comment les contrebandiers accédaient à l'autre côté. Seulement il fallait trouver un moyen de percer cette porte. Il fit alors l'inventaire de tout ce que qu'il possédait, cherchant des explosifs, un sabre laser, quelque chose qui puisse faire des dégâts à cette porte. Mais après avoir répertorié tout ce qu'il avait, il conclu que même Mac Gyver, un hero de série télévisée (décidément cet amiral n'a que ça à foutre on dirait) n'aurait pas réussi à en faire quelque chose. Il s'approcha alors de la porte, et commença à la toucher, cherchant un endroit plus fragile que les autres. C'est à ce moment là qu'il entendit un petit *bip*.
Un compteur affichait 72 : 00 derrière lui, au dessus de la porte d'entrée. Un compte à rebours, il ne savait pas exactement ce qu'il voulait dire mais il avait 72 heures pour ouvrir cette porte et filer, si il échouait quelque chose de pas triste risquait d'arriver. Le reste de la salle était composé d'une longue table, de chaises bien alignées en face de celle-ci, et d'un projecteur holo au centre. Il l'enclencha et découvrit une réunion des contrebandiers, parlant de la technologie développée, qui se trouvait derrière cette porte. Une salle de réunion sans importance en somme. Réfléchissant à toute allure il se souvint n'avoir pas emprunter une porte, celle du premier bureau qui était également entre-ouverte.
Il s'y rendit, espérant trouver de quoi bousiller cette porte de malheur, et tomba sur une armurerie! Une chance, mais l'on pouvait se demander si les armes qu'il y trouverait fonctionnerait, puisque celles qu'il avait emporté ne semblait pas fonctionner dans cet endroit. Luxo pu voir cinq blasters rangés dans des casiers prévu à cet effet, mais tous sans aucune munitions avec lui. Il y avait cinq armoires servant au rangement qui étaient disposées en arc de cercle, en face de lui. Aucune porte, hormis celle qu'il avait franchit il y a de ça quelques secondes. Il ouvrit une armoire et découvrit deux étagères, sur l'une d'elle se trouvaient deux cartons et sur l'autre des uniformes de stormtroopers mélangés avec ceux de la John's Compagnie. En ouvrant les cartons, il peu constater qu'ils contenaient des chaussettes et des bottes de service. Il passa à la seconde armoire en partant de la gauche, trouvant encore une fois le même contenu, mais méticuleux, il ouvrit encore une fois les cartons, et trouva quelques chargeurs de fusil blaster dans les chaussettes. Il s'en empara avant d'ouvrir la prochaine armoire, où il trouva cette fois-ci quatre grenades thermiques, cela commençai à devenir intéressant, mais serait-ce suffisant pour faire sauter la porte blindée...
Avant d'attaquer la dernière armoire, l'avant dernière s'étant révélé vide, il se muni d'un blaster qu'il chargea et posa sur le sol en attendant. Ouvrant les deux battants de la dernière armoire, un sourire se dessina sur le visage de l'amiral. Ayant fait partie d'une équipe de guérillas il y a longtemps, en tant que chef de groupe, il reconnu immédiatement l'explosif ''Kartak 38'', caché dans un paquet sur l'étagère du bas. Cet explosif très puissant était très utilisé pour forcer les portes blindées en l'absence de roquettes ou pour affaiblir les fondations d'un bâtiment, cela tombait à pic.
Quelques minutes plus tard, Luxo arriva devant la porte de la salle de réunion, celle comportant la porte blindée dans le fond, la porte derrière laquelle se trouvait sans aucun doute la technologie nouvelle développée par John. Il était arnaché comme un marine zélé, un vrai tank à lui tout seul. Il portait un fusil blaster chargé, ses poches avait triplé de volume à cause des grenades transportées. Sur son dos il avait attaché, comme un sac à dos, à l'aide d'une corde, un paquet contenant l'explosif puissant.
Lentement, d'un pas lourd, il s'approcha de la porte du fond. Il jeta un oeil au compteur, il lui restait assez de temps. Calmement l'amiral disposa alors quatre grenades thermiques et le paquet explosif au pied de la porte blindée.
« Je vais finalement voir ce pour quoi j'ai fait tout ce chemin! Et ensuite je le rapporterais à Namida, non sans l'observer de près avant. Il me faudra ensuite quitter l'endroit, mais avec le blaster que j'ai récupérer ça devrait aller, se dit-il. »
Il sorti de la pièce, laissant la porte à peine entre-ouverte. Il voulait se protéger au mieux de l'explosion puissante qu'il allait provoquer. Il visa par l'entre-baillement, une grenade thermique avec le fusil, puis il tira une rafale. L'arme ainsi touchée se transforma en petite boule de feu, qui grandit, grandit... l'explosion déclencha en chaine les trois autres grenades puis vint le tour de l'explosif qui fit voler la porte de la salle juste devant Luxo à plusieurs mètres. Celui-ci collé au mur, les mains sur les oreilles, attendit que la fumée se dissipe pour entrer à nouveau dans la salle de réunion...
Des débris jonchaient le sol après la formidable explosion qui venait d'avoir lieu, le rebelle espérait n'avoir rien endommagé de précieux. Une armoires a été renversée à cause du souffle de l'explosion, Quelques écrans se trouvant en face de l'entrée, brisés, de la poussière s'était déposé ci et là, mais rien d'autre ne semblait cassé. Il soupira de soulagement avant de commencer comme à son habitude à regarder la salle plus méthodiquement. Sur sa droite, l'armoire renversée, quelques papiers étaient éparpillés sur le sol. En face de lui, une table longue de quelques mètres, elle avait surement la même fonction que sa consoeur placée dans la salle précédente. Rien n'était posé sur celle-ci, cependant il remarqua, toujours en face de lui, plusieurs projecteurs holographique alignés les un à coté des autres sur une commode comprenant quatre tiroirs. L'ameublement de la pièce le fit sourire, il était assez disparate. Sous les écrans brisés, des claviers, cinq au total, espacés d'un ou deux mètres, en arc de cercle. Sur sa gauche, quatre colonnes de rangements ainsi que d'autres papiers froissés, sur le sol. Il ne lui reste guère de temps pour tout fouiller avant l'explosion de la salle, ou qui sait quoi d'autre, ainsi il se dépécha de se mettre au travail.
Examinant en premier lieu les projecteurs, qu'il activa les uns après les autres. Ils lui firent découvrir que John avait promis aux autres contrebandiers, de leur fournir cette nouvelle technologie pour équiper leur vaisseaux. Il appris également que c'était une arme défensive, augmentant la portée des capteurs, des radars, la ''vue'' en générale des vaisseaux de tout types. Apparemment il n'avait pas tenu sa parole puisque Namida cherchait à se procurer elle même les plans. Mais ceci bien que très intéressant ne fournissait pas grand chose à l'amiral. Il continua donc sa fouille du côté des colonnes de rangement, plus particulièrement sur la première colonne à gauche. Il avait l'habitude de ce genre de meuble et procéda donc comme les autres fois. Elle possédait trois étagères, l'une servant à supporter quatre cartons remplis d'uniformes de la John's Compagnie, un autre de feuille blanche, ou encore des réserves de café. Etrange endroit pour placer tout cela. Sur la deuxième étagère, celle du milieu, quelques papiers en vrac, expliquant le fonctionnement des différentes commande de la base. Il appris ainsi comment avait été déclenché nombre de pièges qu'il avait du affronter. Sur la dernière, mis à part quelques moutons de poussières il n'y avait rien. Il passa ensuite à la deuxième colonne à gauche, celle ci s'est vu déséquiper de ses étagères pour laisser la place à un empilement de caisse contenant des bouteilles de Vodka, toutes vides. Neorom ou Ziliev, peut-être les deux, sont passés par là. Ne trouvant rien d'autre, il passa à la colonne de rangement qui se situait tout à droite, à l'intérieur de celle-ci régnait un joyeux bordel, des crayons, des stylos, des trombones, des agrafes étaient éparpillés un peu partout. Venant compléter le tout des feuilles blanches, ainsi que des feuilles de dossier plus ou moins important telle que les adresses de diverses planques contrebandières, surement toute vidées depuis que l'usine avait été investie, des informations concernant tout les amiraux s'étant rendu sur Mirana. Luxo fut quelque peu effrayé de la quantité d'informations que les contrebandiers peuvent amasser sur plusieurs personnes, leur réseau d'espionnage devait être immense... Intrigué, Il regarda le dossier le concernant :
Luxorion, Amiral Rebelle à la tête d'une organisation plus ou moins secrète. A déjà demandé les services des contrebandiers pour être hébergé avec les membres de son organisation. A payé la somme de 15 milliards de crédits pour avoir le droit d'asile pendant quelques jours. discret, beaucoup trop pour que nos services puisse en dire plus.
Note Perso: peut-être qu'il ferait une bonne recrue, à voir par la suite comment il se comporte.
A la lecture de ces lignes l'amiral était soulagé que les contrebandiers n'ai pas d'espions chez lui.
Il fouilla la dernière colonne, il l'ouvrit... ou plutôt essaya, la poignée lui restant entre les mains! Après avoir mis un coup de pied dans le meuble, celui-ci s'ouvrit et déversa sur lui tout un tas d'articles divers et variés, des peluches de moutons, des bombes de gaz vide, des canards en plastiques, une loutre géante en peluche, des olives et une ou deux bouteilles de vodka. Décidemment, les Contrebandiers ont vraiment des pratiques bizarres. Jamais découragé Luxo ramassa les papiers qui trainaient par terre, et les examina. Il trouva ainsi un bout de plan, apparemment en deux parties, cela semblait être ce qu'il cherchait. Heureux d'en avoir bientôt fini il se redirigea vers les projecteurs holographique, et s'apprêta à ouvrir les tiroirs de la commode les supportant. Il tira délicatement le tiroir du haut en avant, et il avait bien fait de prendre ses précautions, car un liquide verdâtre apparu, ses émanations piquaient déjà ses narines lorsqu'il fit un pas en arrière. Il avait déjà donné pour les trucs toxiques et autres du même genre! Un bras sous le nez il s'avança et poussa du pied le tiroir pour le refermer. Puis, toujours aussi délicatement il ouvrit celui en dessous. Seulement cette fois-ci il ne trouva que des papiers, des plans pour construire des Neo-Mebahel en série pour John. D'ailleurs celui-ci ne devait pas avoir peur du prix au vu de ce que coutait un de ces engin. Le tiroir encore en dessous révéla les plans d'un chalet en haute montagne pour Ziliev, quoi de plus utile se dit l'amiral, pour une retraite tranquille. Dans le dernier tiroir de la commode, les plans des Défenseurs TIE de Tuval, modifiés, cela était fort intéressant et il hésita un instant à les embarquer avant de refermer le tiroir.
Cette commode n'avait pas fait avancer les choses, et il se dirigea vers les claviers, tapa frénétiquement dessus en espérant que l'un d'eux réponde mais en vain. Puis il entrepris de retourner l'armoire renversée sur le sol, ce qui lui valut une crampe, et il lui fallut le faire en deux fois. Mais une fois retournée il la fouilla et trouva enfin le deuxième morceau du plan des senseurs dans un classeur sur la 2ème étagère. Il sorti de la pièce et trouva Seiku.
« -Notre suzeraine a eu raison de vous faire confiance on dirait, dit-il.
-Je suis personne de confiance, voici les plans comme convenu.
-Namida est déjà partie... »
L'homme se saisi des plans et les passa dans un scanner de poche, avant de tendre des copies au rebelle.
« -Nous avons pensé que cela serait une récompense suffisante pour votre bonne foi, commenta le larme.
-Merci, je ne m'attendais pas à tant, la sortie, je vous suis?
-Non je vous suis, c'est vous qui tenez un blaster chargé, je vous indiquerais le chemin. »
Sur ces mots Seiku indiqua la porte et Luxorion s'engagea dans les couloirs, aiguillé par son compagnon d'un instant. Il dut faire face à quelques patrouilles de gardes armées, don il vint à bout facilement avant de pouvoir sortir, traverser la ville jusqu'aux dock et récupérer son cargo léger pour s'en aller...
[HRP] Certaines partie de ce RP ont été écrite par John, Ziliev et Namida. Les descriptions des salles par exemple. Je me suis permis de modifier quelque peut pour faire coller au reste. [/HRP]
luxorion_35 le 2008-04-28 15:44:21
Décidément, ces contrebandiers construisaient leurs batiments de manières étranges. Après avoir traversé des entrepôts (miteux, n'ayons pas peur des mots), le lieutenant parcouru des laboratoires abandonnés. Il a aussi parcouru quelques bureaux. Et voici maintenant, à peine 50m après des chaînes de productions désaffectées, qu'il peut contempler enfin de vrais salles, dignes des légendes des palais contrebandiers. Un feu, avec un âtre et une cheminée magnifiques, sculpté avec patience, certainement sur commande, le captivait. Malheureusement, ce n'était qu'un hologramme... Ces contrebandiers n'allaient donc pas au bout de leurs démesure?
Envouté par ces lieux, il ne remarqua que fort tard la présence de la Suzeraine Namida et de son bras droit, Seyku. Il les salua alors, doutant de sa capacité à bluffer quant à son identité, ou à les combattre, armé de son couteau et de sa perceuse.
'Bonsoir, Amirale. J'ai vu de la lumière et me suis donc permis de venir vous remettre mes hommages.'
Ce n'était en effet pas le moment d'oublier la politesse la plus élémentaire...
'Bonsoir à vous, Lieutenant. Je vous en remercie. Mais vous arrivez juste trop tard, le dessert vient d'être retiré.'
Dommage pensa le lieutenant. Il l'aurait dévoré, affamé qu'il était.
'Peut-être voudrez-vous prendre un café ? Il est déjà commandé, mais je suis sûre que cela ne posera pas de problème'. Namida saisi alors l'intercom, et commanda sèchement un troisième café. Peut-être un biscuit l'accompagnera-t-il ?
'Je vous remercie de cette attention' dit le lieutenant, surpris par cette discussion surréaliste.
La Suzeraine et le Lieutenant discutèrent de sujets sans importance durant une heure, de manière tout à fait conviviale. Ils n'avaient pas de griefs particuliers l'un envers l'autre, puisque Namida était une ancienne partisane de l'Empire, et que le lieutenant n'avait rejoint les combats que depuis peu. Ils ne s'étaient jamais affrontés.
Le café était bon, mais paraissait exceptionnel au lieutenant, tant un breuvage chaud lui avait manqué ces 3 derniers jours. Il n'y eut pas de biscuits.
A la fin de ce dialogue, vint l'heure de la séparation.
'Lieutenant, je me vois dans l'obligation de vous faire accompagner jusqu'à vos nouveaux quartiers. Je vous suggère de coopérer, sans quoi mon katana pourrait servir aujourd'hui encore.'
En même temps, deux gardes apparurent. Le lieutenant supposa qu'il était en vie pour pouvoir répondre à quelques questions, et prendre les planètes qu'il administrait sans pertes inutiles.
'Je vous remercie pour cette charmante soirée...' dit le lieutenant, prenant bien appui sur ses deux pieds. Il repoussa violemment la table contre Namida. Celle-ci fut projetée en arrière, tandis que Seyku se releva et se mit en position défensive. Le lieutenant sauta sur le plus proche des deux gardes, le désarmant et le repoussant sur l'autre garde. Il tira deux fois avec son blaster nouvellement acquis.
Seyku lui tomba alors dessus, tandis que Namida s'approcha avec son katana, dégainé. Le lieutenant perdit son blaster, mais donna un brutal coup de coude dans les reins de son adversaire. Il devait être plus doué pour la stratégie que pour le combat ou corps à corps... Le lieutenant repoussa alors de toutes ses forces Seyku dans les bras de Namida, et s'enfuit abandonnant les blasters.
Il courut vers la porte d'où venaient les gardes. Namida, furieuse de le voir s'échapper, lanca son katana, qui frôla le lieutenant, le blessant légèrement au bras gauche. Heureusement que le katana n'est pas une arme de jet, il aurait été occis!
La force du désespoir lui permit de courir, et ... de tomber dans les escaliers derrière la porte! 2 mètres plus bas, il se leva très vite, l'adrénaline lui permettant de ne pas trop sentir ses blessures.
Il continua, et s'engagea dans un série de couloirs, avant de trouver un petit placard où se cacher, le temps de faire le point.
Sa rencontre avec la Suzeraine Namida aura été plus courtoise qu'il ne l'aurait imaginé!
ol le 2008-04-28 09:51:08
Choppez l'intrus! Ah non, c'est moi... |
Tandis que Luxorion continuait sa progression dans les laboratoires électroniques décorés de gris mat, après avoir repris ses esprits, il arriva bientôt devant une structure imposante. Il s’agissait là d’un point où se rejoignaient de nombreux câbles de tous diamètres, branchés sur une sorte de caisson à l’intérieur duquel les faisceaux laser se croisent librement. Les câbles étaient tellement enchevêtrés de part et d’autre du caisson qu’ils formaient presque une muraille, et à en juger les volutes de fumées qu’ils dégageaient, mieux vaudrait pour éviter de les toucher. Sur le caisson était évidemment riveté un petit clavier, et gravé ces quelques mots :
''Marche dessus en vie, elles ne diront mie. Mais si elles ont péri tu leur arrachera des cris.''
Cherchant encore une fois une réponse qui lui paraissait introuvable au début, il tenta quelques solutions avant de trouver celle qui créa un passage lui permettant de continuer sa progression dans ce labyrinthe de plus en plus étrange et dangereux. Arrivant bientôt à une petite porte vitrée, ayant traversé d'autres laboratoires, elle-même enchâssée dans une cloison essentiellement transparente. Il la franchit, quittant pour quelques temps les laboratoires gris mat pour un bureau dans les mêmes tons. La pièce était divisée en petits bureaux numérotés de 1 à 6, séparés les uns des autres par des cloisons en liège d’un mètre cinquante de hauteur. Dans chaque petit bureau, on trouvait une console Holonet posée sur un bureau en métal gris mat, à coté duquel trainaient souvent quelques tas de feuilles manuscrites. Chaque bureau contenait 2 tiroirs, et une corbeille à papier glissée dessous. A coté de chacun d’entre eux, un petit placard avec quelques dossiers. Le tout étant éclairé par une lampe de bureau fixée aux la tables. A l’autre extrémité de la pièce, une autre porte vitrée semblable à celle qu'il venait de franchir semblait rejoindre d’autres laboratoires. Après avoir traversé une autre série de ceux-ci, toujours faits sur la même base, cela devenait monotone. Ses pas l'amenèrent dans un bureau plus ou moins luxueux, le sol en marbre noir, les murs tapisser de tissu doux, noirs,également éclairés uniquement d'une lampe de bureau créent une atmosphère tamisée, presque oppressante, rappelant celle de la pièces qui avait faillit l'écraser. La décoration est légère, quatre plantes d'intérieures alignées côte à côte, ainsi que deux tableaux accrochés aux murs. Il regarda tout autour de lui une fois arrivé devant le bureau et aperçu une porte sur la droite ainsi qu'une autre sur la gauche. Apparemment le propriétaire des lieux aimait pouvoir aller dans des secteurs différents. Il se demanda quelques instants s'il était sans cesse dérangé ou non.
Avant de se rappeler ce pourquoi il était ici, mais après tout qui ne commencerait pas à fatiguer après tout ce chemin. visiblement les portes ne sont pas fermées, c'est une bonne chose. Et il continuerais ainsi sans se prendre la tête. Jetant avant cela tout de même un œil plus attentif à la pièce. Un bureau en bois sculpté, noir, était installé au milieu de la salle, d'un côté deux fauteuils semblants vraiment confortables alors que de l'autre côté, il n'y en avait qu'un. Sur le bureau les documents semblaient ranger en ordre dans des ''box'' prévus à cet effet. Les deux tiroirs dont semblaient apparemment être munis tout les bureaux du bled étaient fermés. Tout dans cette pièce respirait l'ordre. Sans plus s'intéresser il continua et passa la porte de droite.
Et là, quelle surprise pour lui. Il se retrouva face à l'installation qu'il avait faite pour se sortir de la mauvaise relation qu'il avait avec la mine anti-personnel de tout à l'heure. Il avait tournée en rond? Il devrait refaire le chemin pour tenter un autre embranchement ou prendre la seconde porte du bureau, ce qui semblait plus judicieux. Cependant il trouvait cela étrange et décida de refaire le chemin une deuxième fois, plus attentif que jamais aux détails.
Luxo avança, heureusement il se rappelait de la réponse à chaque énigme qu'il avait rencontré. Et encore plus chanceux, le système anti-intrusion de John ne semblait pas être en mesure de les changer une fois résolues. Il pris pour finir l'autre ouverture, sortant de la pièce blanche et ronde. La lumière vive de la salle l'éblouit, Il a juste le temps d'apercevoir un éclair blanc et noir et d'entendre les bruits de pas d'un homme. Ses yeux s'habituent enfin à la clarté de la pièce, il examina donc celle-ci en vitesse, et pour cause, a vrai dire, il n'y avait rien à voir, aucun meuble ne se trouvait dans cette salle, en revanche, une salle attenante, visible puisqu'équipée d'une baie vitrée attira son attention. A l'intérieur il distingua un homme en tenue de stormstrooper, une matraque à la main. Il allait devoir s'en débarrasser avant qu'il n'aille donner l'alerte! L'amiral ne paniqua pas mais agis très rapidement. Ouvrit la porte à la volée et jeta le presse-papier en forme de dés à jouer à la tête du stormstrooper. Celui-ci surpris se retourna, la matraque prise en main fermement, l'air menaçant. Il ne disait rien mais semblait prêt à en découdre. Redoutant une formation au combat légèrement plus efficace que les gardes rencontrés précédemment, le rebelle n'avança pas.
L'opposant avait alors deux choix: soit attaquer et se défaire de l'intrus, soit renoncer à un affrontement immédiat et alerter ses confrères. Le règlement stipulait clairement que la deuxième solution était celle à choisir en toute circonstance, mais apparemment ce gaillard se préoccupait plus du mérite qui lui serait accordé si il réalisait cette prise seul.
Une chance pour Luxorion qui chargea tel un taureau. La matraque s'abattit sur son dos alors qu'il partait en vol plané avec le sotrmstrooper. Les deux individus se rouèrent de coups comme ils le pouvaient, par terre, avant que Luxo ne se relève enfin. Celui-ci donna quelques coups de pieds dans les côtes de son adversaire qui, étouffé par la douleur et l'énervement à la fois, trouva tout de même la force de lancer son arme en direction de l'amiral qui mit son avant bras sur la route de celle-ci. Transformé bientôt en shtrumpf par les bleus reçu, Luxo mis l'homme KO d'un dernier plaquage. Il resta là un petit moment, étalé sur le pauvre type. Mais il devait bouger, sortir de là, cela commençait à devenir long et ses rations de survies n'étaient qu'un souvenir, fort agréable d'ailleurs maintenant que la faim tenaillait allègrement son estomac.
Il cru d'autant plus s'être évanoui lorsqu'il entra dans la pièce suivante. Une pièce sombre, aucune lumière n'éclairant la salle. Il faudrais qu'il se serve d'une source de lumière afin de trouver votre chemin, mais il n'en avait pas. Tel un aveugle il commença alors son périple dans ce lieu qu'il ésperait le plus confiné possible et avec une sortie sans verrou. Avec un peu de chance il tomba sur la poignée d'une porte, il la poussa et quel soulagement lorsqu'elle s'ouvrit. Il se retrouve alors dans une salle étroite à première vue, remarquant cependant qu'aucun meuble n'était présent, seul une énorme porte bloquait le passage, et il semblerait qu'une corde puisse être glissée afin de pouvoir libérer l'accès à une prochaine pièce. De ça non plus il n'en avait pas... Il dût donc retourner chercher dans un bric à brac trouvé 2 ou 3 salles avant celle-ci. Il ne lui avait pas accordé d'importance, eh bien il aurait dût se dit-il.
[HRP] Certaines partie de ce RP ont été écrite par John, Ziliev et Namida. Les descriptions des salles par exemple. Je me suis permis de modifier quelque peut pour faire coller au reste. [/HRP]
luxorion_35 le 2008-04-21 18:24:59
"Ces couloirs ont-il une fin, se demande-t-on" |
Luxo venait à peine de finir la fouille du bureau de la pièce. Il reposait une boite métallique contenant des objets inintéressant selon lui. Einstein qui s'était débarrassé des trois gardes vint à sa rencontre.
« -Eh bien, je suis heureux de voir un rebelle ici. Je vais continuer la fouille, retiens la prochaine patrouille.
-C'est une affaire qui marche. »
L'amiral ramassa un dossier tombé durant sa fouille quelque peu agressive et se dirigea vers les gardes allongés sur le sol. Ils étaient simplement inconscient. Il posa les papiers sur le sol puis, par précaution, il décida de les trainer un peu plus loin et de les ligoter tant bien que mal avec leur propre veste (utilisant les manches comme noeud).
Des pas cadencés et de plus en plus forts venait de la porte. Luxo s'empressa de ramasser le dossier et de se coller au mur afin de passer inaperçu des gardes. Ceux-ci encore en dehors de la salle virent l'autre rebelle fouiller les colonnes de rangement. Ils s'engagèrent rapidement afin de l'appréhender.
Le premier n'eut pas le temps de réagir qu'un direct du droit vint s'enfoncer dans sa joue, l'étalant d'un coup. Luxo fit un bond en arrière pour éviter une contre-attaque d'un des deux autres.
Enervés, les collègues de l'homme K.O. se ruèrent sur l'amiral qui jeta à la figure du plus proche le dossier qu'il tenait. Ceci lui coupa le contact visuel suffisamment longtemps pour ne voir arriver que trop tard l'épaule de son adversaire qui l'avait chargé comme un taureau. Le garde se retrouva par terre, encore conscient un peu plus loin tandis que Luxo recevait un formidable coup de pied dans le ventre de la part du deuxième opposant. Il tituba légèrement en s'éloignant de quelques pas, tête baissé il attendait de voir le garde bouger. Pensant que le rebelle était à bout, celui-ci en profita pour aller aider son compagnon à se relever. Mais à peine eut-il tourné le dos qu'il subit un violent plaquage suivit d'un bon crochet. L'amiral se releva et en finit avec le dernier ennemi qui, relevé et matraque à la main l'attendait, en se laissant toucher volontairement par l'arme du garde pour lui saisir le bras et lui faire une prise qui le mit à terre.
Tout de même essoufflé et décoré de deux ou trois hématomes, Luxo fit la même chose qu'avec la patrouille précédente et attacha les hommes inconscients. Il se retourna ensuite vers Einstein:
« -Tu en es où de ta fouille? -Encore rien trouvé, répondit celui-ci.
-Surtout fouille bien partout, chaque détail est important.
-Je vais essayé, pour le moment la poussière qui s'en dégage me repousse à cause de mon allergie. »
Luxo eut un sourire discret et fit volte face à Einstein qui reprenait son examen des colonnes de rangement. Il pensait à chercher de son côté lui aussi, mais très vite il se rappela des patrouilles. Celles-ci bien que peu dangereuses (en effet les membres la composant jusqu'à lors ne semblaient pas avoir reçu une éducation au combat rapproché) n'en étaient pas moins dérangeantes pour les deux rebelles, et il était nécessaire de les retenir lorsqu'elles arrivaient.
« Pour la prochaine j'ai une idée amusante, pensait l'amiral »
Il traina ses victimes récentes devant la porte. Ces poids morts semblaient avoir trop manger la veille, ils pesaient un certain poids. En conséquence il décida de n'en prendre que trois. Il les disposa en tapis, allongés de tout leur long sur le dos, les uns à côté des autres espacés de plus ou moins 10 centimètres.
Déjà les sons caractéristiques s'approchaient. Luxo se mis devant les corps inertes sur le sol, droit et fière, attendant ses nouveaux opposants. Il cachait de sa présence, les collègues battus à la patrouille, qui venait de tourner à l'angle et d'apparaitre au fond du couloir. Les trois gardes la composant sortirent leur belles matraques et se mirent à courir vers l'intrus. Mais celui-ci se jeta sur le côté au dernier moment, atterrissant sur les genoux, il se releva rapidement.
Les gardes, eux, n'avaient pu stopper leur course et s'étaient encoublés dans le tapis de corps dressé en leur honneur. Tous, surpris, ne se relevèrent pas de suite. Luxo se jeta sur un premier et lui lança un coup de poing en pleine figure. Le deuxième et le troisième ayant enfin compris la situation se relevèrent. Alors que l'un des garde se relevait, le rebelle chargea et une fois à sa hauteur sauta, genoux en avant. Il percuta la poitrine du garde qui tourna de l'oeil sous la puissance du coup et tomba.
Sans comprendre, Luxo se retrouva pourtant au sol, sonné. En tournant la tête il eu le temps de voir une matraque s'abattre sur son estomac. Le coup l'avait fait se relever, assis, et alors que le garde donnait une seconde attaque il pu rouler sur le côté pour éviter. D'un bond il se jeta sur son adversaire et le plaqua au sol par une clé (non pas de sol, même si ça rimerait pensa-t-il).
Le combat était fini, légèrement blessé il ne pris pas la peine d'attacher les nouveaux venus et demanda à Einstein de prendre le relais. Mais celui-ci le regarda avec un sourire et dit:
« Regarde ça j'ai ouvert deux portes! »
En effet, pris par le combat l'amiral n'avait pas remarqué que son collègue avait trouvé les sorties.
« -On prend la même route, demanda Einstein.
-Non je préfère avancer seul, je prend celle de gauche.
-Très bien. »
Luxo pénétra alors dans une pièce plutôt sombre, dans celle-ci se trouvait un sofa en cuir noir sur sa gauche avec une table basse en ébène, le tout faisait face au mur opposé. Aucun papier en vue, rien pour le mettre sur la piste du code de la porte. Pour mieux réfléchir il s'enfonça dans le sofa. Le cuir était doux au touché et il se sentait bien dedans. Il remarqua cepandant que quelque chose le gênait, une télécommande entre deux plis du sofa. Il s'en empara et appuya sur le bouton. La lumière blanche s'arrêta et fit place à une lumière noire. Des inscriptions apparurent alors sur le mur d'en face, invisibles avant:
''Ou trouve-t-on des rivières sans eau, des forêts sans arbre, des villes sans maison?''
cela lui prit un certain temps mais en voyant une mappemonde posée dans un coin, il eut une illumination et tapota la réponse, qui s'avéra correcte, sur le clavier. La porte s'ouvrit alors vers la salle suivante. Celle-ci se referma automatiquement derrière lui à peine fut-il entré dans la pièce. Dans un premier temps Luxo resta choqué, le décors qu'il avait cotoyé auparavant venait de changer. Cette salle était totalement noire, du sol au plafond, il n'y avait qu'une lampe incrustée dans le plafond qui illuminait l'endroit. Le sol était recouvert d'un marbre noir reflétant la lumière et les murs noirs, la texture qui les recouvrait les murs semblait être un tissu tendu doux et moelleux. Sur le côté, se trouvaient 4 mandrins de bois noir de tailles différentes ainsi que des planches faites de la même matière, sans doute une armoire en kit qui n'avait pas été monté.
Soudainement Il entendit un bruit rauque et sourd, comme si un engrenage se mettait en marche. Il se rendit vite compte que la salle était plus petite. Les murs latéraux se rapprochaient dangereusement. Mais il y avait forcément un moyen de se sortir de cette situation. Il commença d'abord par tâtonner le mur afin de trouver une prise convenable pour commencer à arracher le papier, arrivé tout au bout du mur, il sentit un creux derrière le papier peint et enfonça donc sa main, en poussant à cet endroit là. Il finit par découvrir un petit bouton et sans hésiter il appuya. Espérant avoir trouver le bouton ''stop'' du mécanisme.
Et en effet le bruit s'arrêta tout comme les murs et la porte devant l'amiral se déverrouilla. Il arriva précipitamment dans la salle, ayant peur de se faire aplatir par les murs de la salle précédente. Le 'clic' caractéristique du mécanisme d'armage des mines antipersonnel figea l'intrus. Son instinct de survie ne l'autorisait à bouger que le haut de son corps, et encore, ceci en tremblant légèrement. La peur au ventre, il regarda autour de lui. Il tourna la tête à droite et vit des plaques métalliques d'un certain poids, sur des palettes. Il tourna la tête à gauche et se retrouva nez à nez avec quelques caisses, qui lui étaient accessibles.
« Tient ça faisait longtemps que j'avais pas vu de caisses, j'me disais aussi, pensa-t-il. »
Se rappelant le passage d'un livre d'aventure qu'il avait lu il y a quelques temps déjà, il décala le plus lentement et le plus délicatement du monde son pied. Un petit bouton apparu à moitié. Selon lui, le temps que ce bouton restera enfoncé il ne craindra rien. Mais si il venait à pouvoir remonter, alors cet entrepôt tout propre serait repeint. Et ça:
« Hors de question! Pour une fois que quelque chose est rangé dans ce labyrinthe on va pas y toucher! »
Luxo se resaisit et pris deux caisses qu'il posa devant lui empilées. Il les souleva et jaugea leur poids, elles ne seraient pas suffisamment lourde pour retenir le bouton de la mine. Il se tourna alors vers les plaques métalliques et remarqua que l'une d'entre elle était cassée. Il s'empara d'un morceau (en effet la plaque entière était bien trop lourde pour être déplacée) et le plaça sur les caisses. Sûr de lui il fit glisser lentement cette tour étrange jusqu'à son pied, qu'il retira avec une extrême précaution tout en avançant la pile de caisse surmonté du bout de plaque. Son pied fut dégagé, et il ne voulu pas tarder ici plus longtemps. Non pas qu'il n'avait pas confiance en sa construction mais l'idée d'être dans la même pièce qu'une mine armée n'était pas enthousiasmante.
Un petit bureau de garde, voilà apparemment la fonction de la pièce dans laquelle il venait d'entrer. Une chaise en métal, toute simple, un bureau muni d'un tiroir, du même matériau, de taille réduite sur lequel se trouvait quelques dossiers ainsi qu'une lampe, également en métal. En face, une porte avec un petit boitier alphanumérique à la place de la serrure. Commençant à avoir l'habitude il pensa immédiatement qu'il allait falloir trouver le code. Le mobilier de la pièce était complété par une colonne de rangement, posée dans un coin de la pièce et une étagère sur laquelle on pouvait voir des classeurs noirs posés sans ordre apparent. Sur le mur gauche, un tableau, plus précisément, une marine. Sur celui de droite, une photographie encadrée. Réfléchissant posément, il chercha rapidement une cachette commune pour quelqu'un de normal qui ne voudrait pas oublier le code. Souvent les gens cachait ce genre de chose avec quelque chose de personnel qui ne serait pas déplacé.
Il s'approcha alors de la photographie, le cadre ne semblait pas fixé solidement au mur, se penchant plus en avant, il remarqua sur la photo qu'un homme en uniforme de garde se trouvait juste à coté de la contrebandière Namida, et du contrebandier John, Luxo supposa que le bureau appartenait à ce garde et comprit quelque peu l'honneur que cela avait dût être pour lui de poser avec ces deux illustre personnages. Ceux-ci posaient devant un immeuble avec inscrit John's Compagnie, sûrement le siège de l'empire financier de john. Il décrocha le petit cadre et regarda au dos, trouvant la date de la prise du cliché. Il entra ces quelques chiffres sur le clavier et une nouvelle ouverture lui permit de continuer à avancer. Après avoir franchi le petit bureau du garde, il arriva dans un entrepôt plus grand que ceux déjà visités, une chaine avec un tapis roulant se trouvait au milieu, elle semblait quitter la salle, mais il serait impossible de passer par ce chemin, trop étroit. Des caisses étaient disposées ci et là, certaines en bois, la plupart en métal. Le sol était de poussière, quelques bouts de bois étant éparpillés à différents endroit de la salle. De l'autre coté de la machine, le décors était peu différent, si ce n'était pour un conteneur long de 5m, large de 3, placé juste a coté d'une porte ouverte. Ne cherchant pas plus loin l'amiral emprunta celle-ci et se retrouva dans un endroit étrange. Une salle ronde, murs et sol d'un blanc pur sans aucune ouverture. La porte par laquelle il était entré avait effectivement disparu, et il se voyait forcé de trouver un moyen de sortir au plus vite. Au centre de la pièce se trouvait un socle muni d'un clavier alphanumérique (pour changer), mais pas de phrase énigmatique, rien, seulement un pied aussi blanc que le reste de la pièce. Il leva les yeux et observa plus attentivement la salle quand soudain une phrase apparu sur les murs, tournant autour de lui comme sur un panneau d'affichage.
''Quand est-ce qu'une porte n'est plus une porte?''
« Cela ne veut absolument rien dire, s'insurgea-t-il »
Et il lui fallut de nombreuses heures, de réflexion, de grillage de fusibles, de délire et d'âneries pour enfin avoir une piste plausible. Suivant celle-ci il tenta quelques réponses, sans succès, jusqu'à trouver la bonne. La phrase disparu alors des murs et d'autres ouvertures apparurent. Il en emprunta une au hasard et continua son chemin, pouvant souffler de retrouver un peu d'espace. En effet ce n'était pas l'espace qui manquait ici. Une piscine olympique en centre, une chaine de montage immergée à l'intérieur semblait active. Des panneaux plantés un peu partout mettaient le visiteurs peu prudent en garde contre les effets néfastes et très dangereux du produit dont la piscine était remplie. Les vapeurs s'en échappant, colorées d'orange n'inspiraient pas confiance non plus. L'amiral se dirigea alors vers un panneau de contrôle. Il l'observa et découvrit que les molettes étaient toutes sur des positions différentes, aucune à zéro. La première étant au cran numéro 7, la seconde au cran 3, la troisième au cran 9 et la dernière au cran 1. Les interrupteurs à basculent n'avaient rien de spécial, leur fonction semblait sûrement évidente au créateur de la machine puisqu'il n'y avait aucune indication. Le reste de la machine n'était que voyants clignotants, ou simplement éteints. Quelques boutons positionnés à côtés de quelques voyants, ils ont sûrement des utilisations différentes, seulement rien n'est indiqué si ce n'est quelque lettre par ci par là telle que ''V'' ''A'' ''H'' ''P''. Le voilà guère plus avancé.
Il s'essaya alors à tirer un levier, mais une alarme très dérangeante se fit entendre, faisant remarquer que l'action était impossible. Il remis alors le levier en place et le bruit stoppa pour le grand bien de ses timpants. Sans doute fallait-il arrêter la chaîne de production se trouvant dans la solution aqueuse du bassin. Mais comment? Ayant noté l'emplacement des molettes au cas ou, il les règla toutes sur zéro. Et comme par miracle les machines céssèrent leur activité. Tirant à nouveau sur le levier un pont se plaça au dessus du bassin donnant accès à une autre pièce. Il traversa avec de grands doutes sur la solidité et la sécurité du pont, mais il ne pouvait faire autrement. Devant lui s'étala un gigantesque laboratoire, tout en longueur. Le sol dallé de marbre mat, les murs d’une sorte d’alliage gris anthracite tout aussi avide de lumière. Sur le coté gauche s’alignaient plus d’une vingtaine de petits ateliers, tous formés sur le même modèle: un piédestal magnétique où flotte un droïde plus ou moins achevé, entouré de deux armoires débordant d’outils divers et un casier contenant toutes sortes de pièces détachées. Dans certains traînaient par terre des boulons de différents calibres, voir même des flaques d’huile fraiches. Sur le coté droit, diverses machines outils alignées, ainsi que des conteneurs de pièces détachées. En bref rien de bien intéressant pour l'explorateur qui passait par là et qui continua d'avancer tranquillement. Dans l’un des gigantesques ateliers de recherche électronique du complexe. Le sol toujours dallé de marbre noir poncé, épargnait d’être aveuglé par le reflet des arcs électriques et autres faisceaux laser qui longeaient périodiquement les murs. Tandis qu'il traversait les lieux, absorbé par la contemplation d’une chaîne de montage entièrement automatisée, un éclair quitta subitement la cage métallique censée prévenir ce genre d’incidents pour le frapper de plein fouet. Sous le choc, l'amiral fut propulsé contre le mur, et sa tête cogna durement contre celui-ci. Le faisant rapidement sombrer dans l’inconscience.
[HRP] Certaines partie de ce RP ont été écrite par John, Ziliev et Namida. Les descriptions des salles par exemple. Je me suis permis de modifier quelque peut pour faire coller au reste. [/HRP]
luxorion_35 le 2008-04-21 18:20:21
De la promenade au début des casse-tête |
Une poignée d'heure plus tard, l'amiral se releva, secoua sa veste pour la débarrasser un tant soit peu de la crasse qui s'y était attaché et la remis sur le dos. Voyant qu'aucun autre explorateur égaré n'était arrivé, il s'approcha du coffre. Il examina le mur de débris, il semblait (pas comme les précédents) tenir debout sans difficulté. Luxo se saisi alors de la corde, tira jusqu'à soulever l'obstacle suffisamment pour passer, puis il attacha la corde à un bras métallique dépassant de l'amas bloquant le chemin. Après avoir observé, par simple précaution, la réaction de son action, il s'engagea dans le passage.
Une suite de conteneurs métalliques de 5 mètres de long sur 2 de haut et de large flanquaient le chemin. Les pas résonnaient dans cet espace clos perclus de rouille tandis que le rebelle passait d’un conteneur à l’autre par le biais de brèches pratiquées au chalumeau. Il finit par déboucher dans un conteneur en meilleur état que les précédents, dont la porte du fond était scellée. Sur le coté de la plaque de métal, un petit clavier alphanumérique était incrusté. Un morceau de papier sale gisant dans la poussière devant le clavier. Luxorion ne le remarqua pas tout de suite et fut angoissé à l'idée de devoir rebrousser chemin. Mais il finit par le lire:
''Je me produis une fois par minute, deux fois chaque instant et pas une seule en un millier d'années''
Il cligna des yeux, colla son nez sur la feuille pour être sûr de ce qu'il voyait.
« C'est bien une énigme, pensa-t-il. Mais alors mon raisonnement de tout à l'heure tombe à l'eau. Toutefois, je dois dire que j'aime les énigmes, pas besoin de chercher dans des boites de conserves putrides! »
Il se ravisa une heure plus tard, après avoir tenté deux mot sur le petit clavier. Il semblerait que cette petite devinette lui soit incompréhensible. Après un certain temps, il essaya autre chose, mais cela lui semblait tordu. Un voyant vert s'alluma au coin inférieur gauche du clavier. Le fond laissa passer Luxo qui déboucha sur un capharnaüm effarant de caisses et de débris divers. Au centre de la petite vallée aménagée dans l’amas métallique doté d’un toit que constitue ce hangar, se trouvent des poutrelles d’acier empilées tel un jeu de Mikado prêt à l’emploi. Sur la gauche, des caisses de bois et de métal sont empilées en pente douce jusqu’à frôler le plafond, dans un ordre tout relatif. En face de lui, ce sont des carcasses de landspeeders qui sont ''rangées'' comme des briques, et à droite 4 conteneurs métalliques alignés, tous la porte entre-baillée.
En fouineur confirmé qu'il était entrain de devenir par la force des choses, l'amiral s'approcha des caisses empilées tout en restant prudent. Elles semblait toutes être fermées convenablement, empilées de façon à créer une pente sur laquelle on pourrait grimper même si l'escalade semblait conduire inexorablement à la mort. Sur certaines d'entre elles l'indication John's Compagnie apparaissait, la plupart portaient l'inscription''high tech''. Aucune de ces caisses n'était accessible.
Le rebelle se dirigea vers les conteneurs sur la droite.Il jeta prudemment un coup d'œil à l'intérieur du premier qu'il atteignit. Il put apercevoir quelques caisses empilées sur un coté. Il aurait certainement pu s'y faufiler, mais cependant quelque chose ne lui inspirait pas confiance. Après quelques secondes de réflexions il décida de faire le tour du conteneur pour voir s'il n'y avait pas d'indication. Sur le seul côté visible, en grand et en vert était indiqué ''John's Compagnie'' juste en dessous, une ligne en blanc avec une inscription un peu effacée ''....ière génération''. Sur la grande porte, rien sauf la référence au contrebandier John ainsi que quelques chiffres: ''lot 1456 à 1912''. Continuant ses recherches, il alla examiner les poutres métalliques. Rien de bien intéressant, mais il les escalada sans trop de difficulté, avec pour but de voir de haut l'endroit pour découvrir éventuellement une sortie. Sans le succès espéré il redescendit et retourna aussitôt au premier conteneur. Il y entra en retenant son souffle pour se faufiler dans l'ouverture de la lourde porte. Il s'approcha des caisses en bois empilées, celles ci formaient un mur, tout au fond. Sur le côté, trois caisses de métal posées l'une à côté de l'autre. Elles portaient toutes l'indication ''John's Compagnie'', certaines aillant en plus l'inscription ''high tech'' en blanc. ''lot 1456-1506'', ''lot 1507-1557'' et ainsi de suite jusqu'au n°1912, ce sont là les seules autre indications qu'il découvrit dans ce conteneur. L'amiral en ressorti, s'assit sur une des poutres et dans un soupir, plongea sa tête dans ses main.
Il secoua la tête comme pour se reprendre et examina un second conteneur, sans interret, puis un troisième. Dans ce dernier quelque chose l'intrigua, un tapis posé au fond formait un cratère en son milieu, laissant supposer une ouverture. L'arrachant violemment, il découvrit en effet un passage vers une autre pièce. Sans attendre une seconde de plus il passa par l'ouverture et arriva dans un angle du bâtiment, sur la gauche et en face de lui apparaissaient les façades de tôle du hangar qu’une poutre métallique maintient en place. A gauche, un amoncellement de débris de plusieurs mètres de haut. En regardant de plus près, il put remarquer une trappe cachée sous l’amoncellement de métal. Seulement, un fil la reliait au tas instable de poutrelles. Et c'est sans nul doute que si il l'avait effleuré la montagne de débris l'aurait rapidement avalé. Comme si cela ne suffisait pas, au dernier moment il remarqua que plusieurs mines de proximité avaient été disséminées sous les poutres, et de leur clignotement rageur l'on pouvait aisément déduire que déplacer les poutres n’était pas vraiment une option non plus.
Heureusement, cela faisait maintenant un bon bout de temps que Luxorion s'était glissé dans la peau d'Indiana Jones, hero d'un film, aventurier se sortant de situations précaires à longueur de temps. La seule petite différence était que la vie de l'amiral était réelement mise en danger.
« Mais ce n'est qu'un détail se dit-il. » Il réfléchit donc comme le personnage fictif...
« Il m'est impossible de bouger quoique ce soit, je ne jouerais pas donc pas au Legos aujourd'hui. Ouvrir la trappe pour passer, en espérant être assez rapide pour éviter de finir en purée. Mouais pas terrible, il faudrait une idée moins stupide, je n'ai pas de cascadeurs pour le faire à ma place. »
Il s'avança vers la trappe afin d'examiner le fil la reliant aux poutres. Celui-ci semblait pouvoir être trancher, mais faudrait-il encore avoir un objet coupant. C'est alors que Luxo se souvenu de la boite de conserve qu'il avait emporté, son arrête tranchante pourrait faire l'affaire. Il la sorti de sa poche, la tourna dans ses mains en observant les parties coupantes comme pour choisir la plus effilée. Puis il se décida enfin et trancha net le fil d'un geste rapide. Il resta là quelques secondes à observer la construction scabreuse qui le menaçait, peu convaincu qu'il ai réussi. Enfin rassuré il posa la petite boite sur le sol, souleva la lourde trappe et descendit une petite échelle rouillée.
L'amiral se retourna une fois arrivé en bas et put admirer un couloir neutre, murs et sol en bêton froid, quelques lumières incrustées dans le plafond qui clignotaient accompagnées d'un petit grésillement. Il repris la marche dans ce bunker souterrain et, sans rien avoir vu, heurta du pied quelque chose. C'était une petite peluche comme celle que l'on donne aux enfants, à l'éfigie d'un mouton. Il se pencha et la ramassa quand celle-ci décida de souffler un gaz verdâtre. Se sentant partir en arrière, devenir faible, Luxo s'écroula et la peluche tomba devant lui. Il put voir le mouton le regarder avec des yeux malicieux avant qu'il ne perde totalement connaissance.
Se réveillant en sursaut bien des heures plus tard, avec un mal de tête extraordinaire en prime, il se releva lentement comme si il allait perdre l'équilibre. La poupée avait disparue, mais il n'allait pas se mettre à la recherche d'un tel jouet. Il continua donc d'avancer lentement dans le couloir, qui bifurqua plusieurs fois avant de l'amener toujours un peu sonné dans une petite pièce. Au fond contre le mur, plusieurs armoires de métal rouges étaient alignées autour d'un établis en bois. Les tiroirs de celui-ci débordaient d'outils en tout genre, des pinces, des marteaux. Sur l'établis quelques boites remplies de clous, d'écrous et de vis, des bidons plus ou moins plein d'huile et de produits divers ainsi que deux ou trois plaques de métal tordue par le bricoleur du coin.
« C'est bien beau tout ces outils, ils pourraient être pratiques, mais je ne vais pas emporter l'armoire avec moi non plus, pensa-t-il à haute voix. »
Il continua donc vers le couloir qui ne faisait que passer par cet endroit, manquant tout de même de s'étaler en glissant sur le contenu renversé d'un bidon. Ca ne devait pas être de l'huile, je n'en connait pas qui se serait mise à ronger la semelle de ses chaussures comme ce fut le cas. Le grésillement des lampes et leur volonté de s'éteindre s'amplifiait à mesure qu'il avançait. Jusqu'à en trouver la cause, il se demanda si il n'allait pas se retrouver dans le noir. C'était en réalité un câble éléctrique qui s'était détaché du réseau et virevoltait maintenant au milieu du couloir, créant quelques court-circuits. Il était impossible de continuer sans se faire griller, mais un boitier d'urgence marqué d'un éclair rouge laissa penser au rebelle qu'il pourrait couper le courant afin de passer. Une autre énigme en commandait l'utilisation, il la résolu et put passer, heureux que cela n'ai pas affecté les lampes déjà faibles.
Il semblerait maintenant que Luxorion arrive enfin au bout du tunnel. Devant lui, incrustée dans le mur de béton, se dressait une imposante porte métallique, verrouillé par des barres d’acier d’une vingtaine de centimètres d’épaisseur enchâssées dans le mur. Sur le coté de la porte se trouvait un boîtier doté d’un unique bouton et du plafond pendait un oeil mécanique au bout d'un bras articulé qui semblait avoir reçu un coup de blaster récemment. Celui-ci servait certainement à la surveillance avant que quelqu'un passé par là peu avant l'amiral, à en jugé par la petite fumée brune s'échappant encore des composants grillés, ne décide de rester anonyme. L'amiral presse sans trop réfléchir sur le bouton, mais rien ne se passe. Habitué à ce que certains appareils ménager lui fasse des caprices, il s'accroupit devant le boitier et l'ouvrit, découvrant 3 fils: un vert et un bleu, sectionnés et un rouge rafistolé d'une façon barbare.
Ceux-ci n'étaient pas dénudés, et voulant les tresser ensemble pour rétablir le contacte il s'intéressa à l'oeil détruis au dessus de lui. Il restait quelques bout de verre de la lentille, qu'il ramassa. Il les utilisa ensuite pour dénuder les parties de chaque fils coupés, par prudence il les pris par leurs bouts isolés, mais il n'arriva pas à faire tenir son bricolage. Il referma alors le boitier, se releva et fit marche arrière, avec l'idée de fouiller dans le bric à brac du petit atelier de bricolage par lequel il était passé. Arrivé dans la pièce il commença maladivement par remettre en place chaque outil sortit et à reboucher les bidons qu'il posa sous l'établi. Ne trouvant pas son bonheur cet attirail, il ouvrit une armoire au hasard, découvrant plus de désordre qu'il ne l'aurait imaginé. Excédé il sorti ce qui ne l'intéressait pas et le jeta derrière lui, fouillant les étages les uns après les autres. Soudain à l'étage le plus élevé il découvrit quelques fers à souder, ainsi qu'une petite pelote d'étain.
« Cela sera parfait pour mes quelques soudures, dit-il satisfait. »
De retour devant son petit boitier il entama son travail, bien plus propre que sur celui du fil rouge. Une fois les câbles reconnectés il tenta une nouvelle fois de presser le bouton mais toujours rien. Il tenta, après une petite réfléxion personnelle, de couper le fil vert. Et cette fois-ci les barres métalliques se retirèrent et la porte s'ouvrit en grand, dans un grincement de vieux fer.
Luxo passa la porte et il repéra tout de suite une caméra de surveillance qui clignotait rouge, il était sans nul doute observé et même repéré. Faisant une rapide reconnaissance de la pièce, comme la salle précédente, de couleur noire, le sol, d'un marbre noir réfléchissant inondant la pièce d'une douce lumière grâce au superbe lustre de cristal noir accroché au plafond. A l'ouest de la salle se trouvait une porte close, visiblement il n'y avait pas de digicode sur cette porte ni de système d'ouverture apparent. A l'est, un bureau massif en ébène où se trouve quelques documents, une lampe de style contemporain d'une couleur argentée. Au fond de la salle se trouvaient 4 colonnes de rangement avec des classeurs noirs.
Dans la salle il s'aperçoit tout d'un coup qu'un camarade est aux prises avec plusieurs gardes. Maîtrisant les gardes il explique que les patrouille de garde reviennent fréquemment et qu'il y doit surement y avoir un système d'ouverture caché dans la salle. Heureux de pouvoir fouiller pour une fois une salle rangée et tenue propre, Luorion se mit au travail. Il s'approcha du bureau, chichement éclairé par une lampe de style contemporain de couleur argentée. La lumière qu'elle diffusait lui permettait d'apercevoir le tas de dossiers rependu sur le plateau, certains n'ayant que des chiffres inscrit dessus, d'autre des mots en rouge, sûrement des dossiers importants. A côté, quelques boites de rangements où seules quelques feuilles sont restées. Quelqu'un avait l'air d'être partit précipitamment, en emportant tout les dossiers qui lui semblaient nécessaire, mais ceci n'était qu'une hypothèse. Deux tiroirs étaient à la disposition de la personne travaillant ici, l'un entrouvert, l'autre semblant fermé à clé. L'archéologue en herbe regarda sous les dossiers présent sur le plateau du bureaux, pour cela, une méthode, tout envoyer par terre. Malheureusement rien n'était visible sous le plateau, et sous le bureau lui même un chewing gum collé fut la seule trouvaille. Au tour des tiroirs, en commençant par celui entrouvert. Il trouva là des ciseaux, un presse papier, quelques feuilles, il les enleva et commença à tâter le fond, vérifiant la présence d'un double fond mais rien en semblait indiquer qu'il y en ait un.
Il récupéra le presse-papier, un dés en bois marqué du mot ''chance'', cela ne saurait que l'aider pour la suite pensa-t-il certainement. Il examina la lampe, celle ci ne portait aucune inscription, de couleur argentée, elle semblait être faite dans un métal tout à fait classique, économique et pratique. Il l'éteignit, la ralluma, peut-être que ceci aurait un effet mais là encore, rien ne se passe. Déçu il se concentra donc sur le seul élément laissé de côté. Déboitant violemment le tiroir fermé afin d'en examiner le contenu, son ouverture lui fit perdre quelque peu l'équilibre mais il arriva à rester debout. A l'intérieur une autre paire de ciseaux, des photos d'un homme brun accompagné d'une jolie blonde dans différents endroits, une note de frais pour un détective privé, quelques crédits, une boite en fer dont le contenu fait ''gling gling'' lorsqu'on la secoue, des trombones, quelques attaches parisienne, tout le nécessaire pour des tâches administratives, comme par exemple des tampons, des feuilles blanches, etc. A l'intérieur de la boîte en fer des pièces de métal de différentes formes, il doit sûrement manquer l'essentiel qui permettrait d'en comprendre l'usage.
[HRP] Certaines partie de ce RP ont été écrite par John, Ziliev et Namida. Les descriptions des salles par exemple. Je me suis permis de modifier quelque peut pour faire coller au reste. [/HRP]
luxorion_35 le 2008-04-21 18:05:02
Contexte: le lieutenant Ol arrive dans une nouvelle salle et voit l'amiral Golan Trevor se battre. Il lui prête tout de suite assistance...
Après cette petite baston, le lieutenant Ol salua avec déférence l'amiral Golan Trevor.
- Bonsoir Amiral, c'est un plaisir que de vous rencontrer. J'ai lu tant d'histoires sur vous, que je me demandais si vous existiez, ou n'étiez qu'un légende impériale afin de nous motiver!
Après cet éloge, ol cru s'être bien fait voir...
- Ben alors, tu vas rester là à rien faire ? Ou bien tu m'aides à trouver la commande de cette fichue porte ?!
- Euh... tout de suite, évidemment.
- Commence tout de suite, je vais un peu me reposer pour la prochaine baston!
Tout enthousiasme disparu, et ol se mit à chercher... Mais masqua d'abord l'objectif de la caméra avec un chiffon.
Il commença par le fond, et les étagères. Il lu tous les titres et les sommaires de chaque classeur afin de trouver un indice quelconque. Il cherchait évidemment tout renseignement utile pour l'Empire : position de flottes, sources de renseignements, traîtres éventuels, planètes avec stocks, ... Mais surtout, des informations sur la nouvelle technologie du contrebandier John, ainsi que des plans de cette base.
Quant il en eut fini avec les classeurs, maintenant éparpillés sur le sol, le lieutenant se pencha sur les colonnes de rangement, afin de découvrir un système d'ouverture... Il déplaça ensuite ces mêmes colonnes, mais ne trouva rien.
Il se mit alors au bureau, et le fouilla de fond en comble, retournant chaque tiroir, inspectant chaque classeur, bic, stylet, ... Puis réfléchit un peu. Il y a 2 endroits où l'ouverture pourrait se trouver. Soit près de la porte, soit près du bureau. Un autre endroit sera une abérration d'ergonomie. ol continua donc de fouiller le bureau. Il essaya ensuite les divers interrupteurs de la pièce, essayant également quelques codes avec les interrupteurs, Essayant entre autres John, contrebande, Sésame, ouvre, porte, en morse.
Il examina alors la porte et ses alentours, à la recherche d'une caméra, d'un micro, d'un lecteur d'empreinte, ou autre ...
Son jeu de lumières avait réveillé l'amiral Trevor, qui entreprit d'essayer toutes les commandes du super fauteuil. Il régla ainsi au mieux la hauteur et l'inclinaison du fauteuil, et le mit en position 'massage'. De petites vibrations vinrent le chatouiller et le détendre.
Il se repencha sur les étagères, et découvrit enfin le bouton dans un classeur...
ol le 2008-04-12 18:20:53
[Quête] Le choix de la porte |
[HRP] J'espère qu'il n'est pas trop tard pour débuter la quête, sinon c'est pas grave, je ferais la suivante. [/HRP]
Zerkan s'avança et regardit les trois portes qui se trouvaient devant lui. Il réfléchit à son numéro fétiche, mais bon, fallait-il vraiment compter sur sa chance. Il vit dans le lot des espions, une personne légèrement, différente celle qui avait réussi à provoquer le dysfonctionnement des droïdes, et il décida de la suivre, en prenant la même porte qu'elle. Peut-être avait-elle d'autres informations intéressantes et que Zerkan pourrait obtenir en temps voulu.
zerkan le 2008-03-23 10:31:48
L'embuscade de l’arène ... |
Encore une fois, la solution était la bonne, et le commandant avança dans la nouvelle salle …
Un grand espace circulaire dégagé tel une arène, et là comme surgit de nul part six … erreurs dans l’évolution robotique, des droïdes de combat B1. Le Commandant sentait bien que cet endroit était propice aux guets-apens, mais il ne se serait pas attendu à un arsenal si important. En évaluant rapidement la situation, il vit que l’affrontement direct ne valait pas la peine, l’armure Mandalorienne avait beau être efficace, seul et sans arme il ne fera quand même pas le poids face à six droïdes. Il regretta alors que son armure soit aussi détériorée, une grenade IEM l’aurait franchement bien aidé. Le Commandant mit alors un genou à terre, et leva les mains en signe de soumission. L’escouade avança vers lui pour le neutraliser comme il s’y attendait. Il attendit alors que les droïdes soient très proche de lui pour se mettre en action …
Quand ils furent à moins d’un mètre, d’un geste vif et précis, il se releva et se saisit du droïde le plus proche de lui et lui cassa le cou, qui est une zone fragile sur ce type d’unité. Les autres droïdes se mirent alors à tirer sur lui, le commandant se protégea alors avec le corps du droïde mort, tout en tentant de se saisir du blaster. Alors qu’il trifouillai les mains du droïde pour enlever le blaster, un coup partit et toucha un autre droïde, mais celui-ci ne vacilla même pas. Après avoir arraché violemment le bras de son droïde-otage, il se saisit du blaster de celui-ci mais ne put l’utiliser à cause de ses gants qui le gênaient dans l’utilisation de la gâchette. N’ayant plus d’autre solution, Gilb’ profita d’un petit temps mort dans le mitraillage de l’escouade, pour jeter le corps sur celle-ci, faisant tomber deux droïdes, et fonça, avec un bras de droïde dans la main comme arme, sur le droïde le plus proche de lui, et commença le massacre en se consacrant à la destruction méticuleuse des articulations des bras et du cou par de grand coup de boutoir. La technique était archaïque mais très efficace, le second droïde s’effondra dans un amas de pièce en tout genre. Gilb’ se saisit de ce monticule de pièce et le balança violemment sur les quatre droïdes. Les deux à peine relevés se ré-écroulèrent et étaient quelque peu gênés par cet amas diffus. Gilb’ profita du chaos provoqué dans les rangs droïdes pour leur rentrer dedans et en mettre un troisième à terre. Puis il cassa le coup du quatrième avec un violent coup de bras-droïde. Avant que les trois ne se relèvent, il se jeta sur eux, et dans un accès de rage et de fureur entama un massacre avec son arme improvisé. Des coups de boutoir volèrent dans tous les sens, et des cous, des bras et autres parties droïdes furent réduite en un amas de pièce bonne à la casse.
Quand tout fut terminé un silence de plomb régnait sur l’arène, Gilb’ se releva et s’inspecta, ses bras le faisaient souffrir, et il saignait douloureusement, mais rien de très grave, les parties les plus importantes du corps ayant été protégées par son armure, qui était d’ailleurs assez endommagé. Gilb’ prit donc le temps de se soigner grâce à ses doses de bacta.
Puis il nettoya l’arène en planquant les pièces de droïdes dans le conteneur d’où ils étaient sortis et se dirigea non sans appréhension à l’assaut d’une nouvelle partie du hangar … Il dut malheureusement faire demi-tour, cette pièce étant un cul-de-sac …
Gilbertaes le 2008-03-18 16:58:55
Première avancée dans l’Usine ... |
Fait prisonnier depuis la veille par de vils contrebandiers, anciennement ces amis, le Commandant Gilbertaes était ; avec d’autres amiraux de tout rang, de tout clan et de toutes espèces, issus de toute part de la galaxie ; baladé à travers la principale ville de Mirana. La ville était d’un maque d’intérêt tel que le commandant fut un moment perdu dans ses pensées. Il se demanda si quelqu’un allait le sortir de cette mascarade vite fait, il avait mieux à faire que de se balader dans une ville aussi miteuse, Theed et son charme de vivre lui manquait. D’un autre coté il repensait à la cérémonie donnée la veille au soir, il regrettait qu’elle fût si courte, il n’avait même pas eu le temps de goûter tout les amuses-bouches… Alors qu’il rêvassait en regardant négligemment deçà-delà le paysage urbain, il ressentit comme une excitation soudaine des autres prisonniers près de lui. Le groupe s’était arrêté devant une usine, et les amiraux rentrait en hâte par une des trois portes présente. Gilb’ remarqua alors que les robots CB ne fonctionnaient plus. Intrigué il s’avança vers l’un d’eux pour vérifier que ce n’était pas un piège ou je ne sais quelle autre mascarade CB. Il vit alors que non, les robots étaient bel et bien altérés. Il pensa alors que les CB étaient vraiment de piètre commerçant, incapable de reconnaître un matériel défectueux, et prompt à se faire arnaquer auprès de n’importe quel charlatan. Le commandant regarda alors autour de lui, il ne vit rien d’autre qu’une petite usine qui ressemblait plus à un hangar en fer soutenu par des poutrelles d'acier, et se dit alors que le goût des CB en matière d’architecture laissé vraiment à désiré. Il se dit alors que cette usine miteuse ne devrait certainement rien contenir d’autre que des épaves inintéressantes, peut-être y avait t-il là un vieux vaisseau avec lequel il pourrait fuir cette horrible planète sous contrôle CB. Alors qu’il avançait vers l’usine et qu’il vérifiait son équipement pour remarquer que rien d’autre que les fonctions simples de son caque fonctionnait, et qu’il aurait du faire vérifier son armure avant de partir, le commandant se souvint que les CB étaient des gens vicieux, et se dit que certainement cette usine d’apparence miteuse contenait certainement un centre hyper sophistiqué où la fameuse arme était sans doute gardée. Il accéléra donc le pas pour réduire l’écart qu’il avait avec les autres amiraux, et se dirigea vers la porte 3, non sans une appréhension …
Après avoir poussé la porte, le Commandant se trouva dans un local encombré de caisses en tout genre. A part une chaise et une table rien ne se trouvait dans cette pièce. Il n’y avait à cette pièce qu’une seule issue. Gilb’ s’y dirigea donc d’un pas ferme et tenta de la forcer, d’abord en la poussant à la main, puis en y assenant quelques coups d’épaules. Voyant qu’il ne faisait rien d’autres qu’abîmer son armure et l’épaule qui est en dessous, Gilb’ arrêta de molester la porte, et vit qu’il y avait une plaque à coté du clavier qui faisant office de poignée. Là une phrase obscure était écrite :
'Tu me donnes à manger je vis, tu me donnes à boire je péris.'
Perplexe, Gilb’ se demanda ce que cela pouvait bien signifier, et l’évidence lui sauta aux yeux, ça devait être une énigme qui donnait le code pour ouvrir la porte. Le formidable cerveau du Commandant se mis alors en route … que pouvait-donc être cette réponse ? Etait-ce un animal, une chose psychique ou une chose abstraite ? Sans doute était-ce un sentiment tel l’Amour, à moins que ce ne soit abstrait comme l’Intellect/le cerveau, mais ceci n’avait pas de sens. Perdu dans ses réflexions, Gilb’ remarqua soudain qu’il tournait en rond, et ceci commençait à lui mettre la nausée, il prit donc la chaise et s’assit en face de la porte … Il réfléchit, réfléchit, puis s’endormit tellement il réfléchissait intensément … A son réveil, il avait la bouche pâteuse, et se dit qu’il faisait soif, alors là en pensant à sa soif, il se leva et cria « Euréka ! J’ai la solution !», mais se rassit de suite en remarquant que la solution n’était sans doute pas la bonne. Désespéré, il pensa à maints et maints choses autres que cette fichue phrase, et se dit que s’il trouvait celui qui avait écrit ça, il l’enverrait illico brûler dans les flammes de l’enfer… C’est alors qu’il se leva, bouscula la chaise, et alla au clavier, il tapa « Le Feu » et attendit la réponse de la porte …
Après avoir fièrement triomphé de l’énigme ouvrant la porte, le Commandant Gilbertaes se trouva dans un couloir sombre et lugubre, il activa alors le mode « vision nocturne » de son casque afin de mieux y voir… Le couloir semblait bouché de toute part, et il n’y avait qu’un trou béant pratiqué dans une grille protégeant une entrée réservée au camion. De l’autre coté du trou, il faisait toujours aussi sombre, de plus il y avait là de nombreuses caisses de tout genre empilées d’une manière fort dangereuse. Gilb’ soupira en voyant que les Contrebandiers ne savaient vraiment pas ranger leurs objets … Il se dit aussi qu’il ferait mieux de se dépêcher de quitter fort vite cet endroit, car il ne souhaitait pas être enseveli sous cette masse informe de caisses. Après mainte précaution pour avancer en faisant le moins de mouvement d’air possible, le commandant se trouva dans un cul-de-sac. Il pesta d’abord, puis regarda avec attention autour de lui, il y avait bel et bien qu’une seule issue, il s’en approcha donc, et vit avec un grand étonnement mêlé d’exaspération un clavier à la place de la poignée. Gilb’ tenta malgré tout de forcer la porte, mais il vit que ça n’en valait pas la peine, il lut donc l’énigme :
'Devant le soleil ai beau passé, aucune ombre je ne fais.'
Un grand sourire apparu sur son visage, mais personne ne pouvait le voir, vu qu’il était seul et qu’il avait son casque sur la tête. Il alla composer une réponse, mais hésité, il ne savait choisir entre air, vent et atmosphère. Après un petit trou-trou mental, il composa « Vent », et attendit la réponse de la porte…
Gilbertaes le 2008-03-18 16:56:59
Progression entre débris rouillés et poussières |
L'amiral était endormi depuis une dizaine de minutes, assis sur le sol froid de l'usine. Sa tête tombait étrangement sur le coté, sur son épaule, comme désaxée. Il semblait être partit pour une bonne heure de sommeil réparateur quand soudainement il ouvrit les yeux, étouffant un cri. Les muscles de son cou se tendirent sous la douleur d'une crampe et il poussa avec ses poings fermés sur le sol, comme pour se soulever. En glissant dos au conteneur il se releva bien droit puis se pencha en avant et en arrière dans des bruits de craquement d'os à donner la chair de poule.
''Pourquoi doit-on vieillir, soupira-t-il.''
L'odeur infecte du liquide sorti des boites de conserves ramena Luxo à la réalité en venant picoter gentiment ses narines. Il jeta alors un coup d'oeil rapide autour de lui afin de réévaluer la situation.
''Il me reste bien ce distributeur mal en point à examiner, mais j'ai éliminé cette solution trop peu probable. Il doit bien y avoir quelque chose que j'ai loupé.''
Il s'avança vers la paroi de caisses en tout genre et tenta d'en retirer une. Il se ravisa bien vite voyant la réaction hostile du mur qui avait été parcouru par un frisson de bas en haut, le faisant pencher dangereusement. En y regardant mieux, une des caisses blindées était accessible. Il souleva avec précaution le couvercle, l'espoir se lisait sur son visage. Ce qui contrasta d'autant plus l'expression qu'il prit à la vue du contenu. Il se défit du couvercle en le jetant un peu plus loin sur le sol. Trop concentré sur sa découverte il n'avait pas remarqué l'inscription sur celui-ci. Il était marqué en relief ''Cérafrir'', un mot que le rebelle n'avait que trop vu. Il vida rapidement la caisse des boites de conserves passées de date. Espérant trouver quelque chose d'autre, une inscription, n'importe quoi d'utile! Mais il se retrouva face à un fond de caisse gris légèrement bombé et désespérément dépourvu de toute marque intéressante ormis le ''Cétafrir'' qu'il ne pu supporter de voir une nouvelle fois. En reculant brusquement il manqua de trébucher sur les boites de conserves don il venait de se débarasser.
''Je vais devenir fou si je reste ici avec cette bouffe périmée, lâcha-t-il comme si cela le soulageait quelque peut.''
Il saisi l'une de ces horreures et voulu la broyer pour se défouler. Mais un détail qui lui avait semblé futile s'interposa. Lui faisant comprendre qu'il avait eu tort, et que si il y a ici autant de conserves, il y a une bonne raison. En se basant sur son premier raisonnement, quelqu'un aurait pu laisser dans cette endroit la combinaison, sur un objet par exemple. Mais pourquoi pas sur tous les objets, toutes les boites? Il enjamba le petit tas de haricots renversés qui le séparait du conteneur verrouillé et porta la boite de conserve vide qu'il avait en main à hauteur du clavier. Reportant sûr de lui, les chiffres inscrits sous la marque ''Cétafrir'' correspondant à la date de consommation limite. A la dernière touche enfoncée un bip se fait entendre, quelques secondes passent, puis enfin la porte blindée se décroche. Dans un soupir de soulagement l'amiral ouvre le conteneur. Il met dans sa poche la boite vide:
''Le coté tranchant de la tôle de ces boites pourrait servir si quelqu'un venait à m'entraver.''
Il doit grimper pour continuer, sur une plateforme vaguement plane faite de caisses en bois dont les craquements laissent présager qu’elles peuvent se rompre à tout moment. C’est d’ailleurs ce qui semble s’être passé au milieu de la plateforme, où gît un homme en arme empalé sur les débris d’une caisse qui a manifestement cédé sous son poids. Ce semble être un humain, de taille moyenne, arborant un uniforme vert de gris et une casquette dans les mêmes tons. Evidement Luxo s'en approcha. Il l'examina avant tout, mort depuis pas si longtemps que ça vu son état de conservation. Puis il entreprit de le fouiller, mais mis à part un papier de bonbon il ne trouva rien. Lorsqu'il remarqua sous le bras du cadavre, un fusil blaster standard. Il le saisi et tenta de tirer quelque coups pour vérifier son fonctionnement. Malgré les pressions frénétiques de l'amiral sur la gachette, rien ne se produisit. Certainement amoché par la chute, l'arme n'était plus utilisable. Luxorion continua donc sa route et descendit des caisses trop fragiles afin d'éviter la même fin que le pauvre homme.
En à peine une minute de marche à travers la poussière et la rouille, il arriva devant une énième barricade de débris métalliques. Un tunnel semble avoir été aménagé à sa base, mais il est bloqué par un coffre fort en fonte qui doit bien peser dans les 300 kg. Du sommet du coffre sort un anneau auquel est attaché un filin métallique, qui par un complexe jeu de poulies accroché à l’une des poutrelles porteuses du hangar rouillé, pend à quelques 5 mètres du coffre. En tirant sur cette corde, il parvient sans trop forcer à soulever le coffre et libérer le passage. Le seul léger problème c’est qu'il est impossible de tirer la corde et de passer en même temps!
Dans un coin est assis une autre personne.
''Et pourquoi ne pas demander à ce type là de m'aider, pensa-t-il?''
Il s'approcha de lui, il semblait s'être assoupi. Il reconnu Einstein à son air hébété lorsqu'il le réveilla d'un coup de pied léger dans le bras. Après une brève discussion, les deux rebelles se mirent d'accord et Luxorion laissa passer en premier le commandant. Lui attendrait un moment qu'un autre pigeon le rejoigne, puisqu'il avait laissé ouvert les passages derrière lui. Ou alors il finirait bien par trouver une solution si il en avait marre d'attendre. Il se dit qu'une sieste ne lui ferait pas de mal. Et, se souvenant de la crampe dont il avait été victime en étant resté assis par terre, enleva sa veste et s'en servi comme d'un coussin au confort douteux, se couchant parterre devant le coffre blindé.
''Pourvu que je puisse rattraper le retard que je prends ici, ou sinon la chose qui est cachée ici, je ne la verrais jamais. Et avec un peu de chance je me fait coincer par John ou Namida. J'veux même pas savoir ce que ces deux là me feraient.''
Il se tourna sur le coté et ramena la boule de tissus sous sa tête. En a peine quelques secondes il fut partit et dormais profondément.
[HRP] Certaines partie de ce RP ont été écrite par John, Ziliev et Namida. Les descriptions des salles par exemple. Je me suis permis de modifier quelque peut pour faire coller au reste. [/HRP]
luxorion_35 le 2008-03-15 00:06:00
HRP : Nouvelle série de précisions |
Il semblerait que quelques problèmes de communication entre les quelques CBs chargés de l'animation de la quête aient donné lieu à des inégalités. Après réunion et harmonisation, nous avons prix les décisions suivantes:
- Changer de salle est une action, et doit donc être demandé 6 heures au moins après la dernière action effectuée. Lorsque vous résolvez une salle, un Contrebandier vous le signifiera en réponse à votre action, en vous faisant la liste des salles dans lesquelles vous pouvez vous rendre.
- Aucun message ne sera pris pour être appliqué plus tard. Inutile de nous envoyer un message à 8 heures pour qu'on fasse comme si on l'avait recu à 10, on ne se basera que sur les heures indiquées par le système de messagerie. Tout message arrivé trop tot, même de quelques secondes, sera supprimé et une réponse vous le signifiera. De même si vous postez plus tard que 6 heures après votre dernière action, le temps est perdu. Encore une fois l'heure de la messagerie est notre seule référence.
- Soyez précis ! Ce n'est pas forcément le même contrebandier qui validera deux de vos actions successives, donc ne prenez aucune connaissance comme acquise, donnez tous les détails nécessaires. Pas de 'je refais pareil avec ...', 'je fouille ce qui reste' etc ...
Ziliev le 2008-03-13 23:22:43
Sans avoir eu le temps de souffler, Luxo se retrouva dans l'usine.
Déjà, les autres espions rebelles et impériaux empruntaient l'une des ouvertures se proposant à eux pour s'enfoncer dans le bâtiment. Une connaissance lui demanda si il voulait l'accompagner, argumentant que cela serait plus sûr. Mais l'amiral refusa poliment prétextant que se séparer est la meilleur façon d'explorer rapidement l'endroit. Le rebelle s'en alla donc d'un pas pressé, laissant pour seul retardataire Luxo. Il prit le chemin marqué d'un 3.
Je ne peux croire possible que John ai abandonner une usine sur sa planète si bien organisée, lui qui aime tant profiter des meilleurs biens, pensa l'ex prisonnier. Cela ne peut être qu'une couverture pour ce que je suis venu chercher.
Il se décida donc finalement à passer par l'ouverture de gauche portant le chiffre 2. Deux énormes poutrelles rouillées encadrent l’ouverture, et semblent maintenir tant bien que mal les plaques de tôles formant les murs de ce taudis. Sur le dallage en béton grossier s’étend le rectangle de lumière formé par l’ouverture, matérialisant l’épais nuage de poussières en suspension.
Plus avant dans la bâtisse, un amoncellement de caisses diverses, de la simple cagette en bois au conteneur métallique de 5 mètres sur 2 forme une barricade impénétrable. Aucune issue n’est visible, mais un petit engin de chantier rutilant destiné à déplacer les caisses ressort particulièrement dans ce décor apocalyptique. S'en approchant il pu constater sur le tableau de bord, une petite plaque de métal vissée à coté d’un clavier. Il semblerait que pour mettre en marche l'appareil il faille résoudre une énigme :
'A peine parlé, déjà brisé'
Luxorion resta quelques instants perplexe devant ces instructions peu communes à l'utilisation d'un engin quel qu'il soit.
Il osa, après une seconde d'hésitation, essayer de taper un mot sur le clavier du tableau de bord.
Cela lui semblait être la réponse à la phrase inscrite sur la petite plaque métallique.
Légèrement angoissé par le décor lugubre de cette pièce, il espérait pourvoir utiliser cette machine assez vite pour ne pas ressembler à ce cadavre décomposé qu'il avait aperçu dans un coin d'ombre de la pièce.
Et si je me suis trompé, pensa-t-il? Est-ce qu'un piège tordu de John me tombera dessus, s'exclama-t-il en scrutant attentivement les moindres recoins poussiéreux comme si il allait en surgir un Voxyn enragé. Mais soudain un petit bruit éléctronique attira son attention. L'engin venait de se mettre en branle. Etonné que sa réponse fut correcte du premier coup, il pris les commandes et s'employa à dégager un chemin. Le dernier conteneur géant retomba bruyament faisant trembler l'engin. Un passage était désormais empruntable, au bout duquel, sur un caisson, était imprimé le chiffre 1.
Luxo enjamba alors un tas de caisses en bois de cagettes qui a du jadis contenir des boites de conserves, manque de s'étaler en glissant sur un distributeur de glaçons fracassé et arrive dans un petit espace circulaire dont les murs sont formés d’un assemblage hétéroclite de caisses blindées, de cages en fer poussiéreuses et de boîtes en carton. Face à lui se trouve un mur de caisses métalliques d’une hauteur (et d’une instabilité) hallucinantes, dans lequel est incrusté un conteneur rouillé fermé d’une porte épaisse. A la place de la poignée se trouve un petit clavier à chiffres, mais nulle trace de la combinaison dans les alentours.
L'amiral rebelle, face à ce conteneur fermé et verrouillé par un code numérique, stoppa sa progression. Il scruta la zone en cherchant un indice, même infime. Il venait de passer le n°1 auparavant caché par les caisses après être entré par le chemin n°2. 2 puis 1, serais-ce 21? Non, trop simple se dit-il.
Si il n'y a pas d'énigme comme pour l'engin de chantier, c'est qu'il n'était pas prévu qu'un intrus arrive ici. La dernière personne à être passé par là (il y a certainement quelques millénaires s'amusa-t-il intérieurement) connaissait la combinaison. Il se rappela du cadavre dans l'autre pièce. Mais très vite il lui apparu clair que quelqun possédant la combinaison n'avait aucune raison d'avoir pourri dans cet endroit. De plus, le corps se trouvait devant le mur de caisses et conteneurs.
Il s'accroupit pour regarder de plus près à la porte rouillée. Mais elle semblait parfaitement étanche à toute tentative d'ouverture sans le code. Ha si seulement il avait pu garder son couteau et son terminal portable, il aurait alors pu désosser ce maudit boitier et laisser son matériel trouver la clef. Considère toi heureux d'être en vie se dit-il en se remémorant John, son sabre à la ceinture, devant l'assemblée désarmée de l'autre soir.
Il se redressa et réfléchit encore quelques instant à une combinaison possible. Il abandonna et se retourna. Devrais-je continuer de déplacer ces conteneurs pour peut être découvrir une autre voie? Non, je ne peut déçament abandonner sans rien avoir tenter s'affirma-t-il.
Emprunt d'une volonté renouvelée, il fit un pas dans cet espace restreint en direction du distributeur de glaçon. Ce objet sortait du lot de cageots et autres caisses. En cas d'oubli, on pourrait avoir écrit la combinaison quelque part ici. Et pourquoi casser un distributeur de glaçon, franchement? Mise à part pour en resortir le code. De plus c'était bien la seule chose qu'il pouvait toucher ici sans qu'une avalanche meurtrière de caissons ne s'abatte sur lui.
Mais au moment même où il allait se décider, un nouveau doute s'empara de l'intrus. Et il y a mis comment dans le distributeur... j'suis con ou quoi? Il est tellement ancien qu'il s'est cassé de fatigue!
Ces murs de caisses blindées, en cartons ou encore en fer n'étaient pas réguliers et il pourrait certainement en sortir quelques une de celui-ci sans mourir écrasé. Avec un peu de chance il y trouvera du matériel qui pourra l'aider, ou une cachette moins saugrenue pour la combinaison de ce fichu conteneur!
Il se souvint également des caisses de bois enjambées. Il alla de suite en vérifier l'utilité. Dans les cagettes l'amiral trouva tout un tas de boite de conserves portant la marque ''Cétafrir''. L'odeur qui s'en échappe le fit avoir un mouvement de recul. Je ne sais pas depuis combien de temps elles sont ici, mais elles sont à coup sur périmées!
Aussi étrange que cela puisse parraitre, surmontant son dégout, il décida d'ouvrir une boite, puis deux jusqu'à en avoir ouverte une dizaine. Il ne trouva dans la première que des haricots, jadis, blanc, trempant dans du jus d'une couleur noirâtre. Toutes les autres étaient pareilles. Se prenant au jeu il se mit à vider les boites sur le sol, s'écartant d'elles afin de ne pas se tâcher. Rien ne se trouve à l'intérieur des boites à peine vidées, ni dans la mixture qui s'étale à présent sur le sol.
Décidément rien de concluant. Au fond de lui le pauvre intrus pris au piège savait très bien qu'il ne trouverait rien de plus en fouillant là dedans. Seulement ces fouilles le calmait, et une fois finies il pourra se reposer tranquillement un moment avant de tenter autre chose pour continuer sa progression. Ce fut tout de même une journée éprouvante...
Il regarda attentivement la boîte qu'il tenait encore en main puis la balança par dessus un tas de caisses assez haut. Celui-ci oscilla dangereusement, ayant pour effet de faire fuir l'amiral à l'autre bout au cas où l'état d'équilibre précaire de la construction ne veuille plus s'assurer. A la suite de cette petite frayeur il s'assit dos au conteneur verrouillé et ferma les yeux un instant.
[HRP] Certaines partie de ce RP ont été écrite par John, Ziliev et Namida. Les descriptions des salles par exemple. Je me suis permis de modifier quelque peut pour faire coller au reste. [/HRP]
luxorion_35 le 2008-03-11 21:42:53
partie1 : la préface de Miranna voire plus bas partie2 : projet Miranna voire plus bas partie3 : action discrete voire ci dessus:
La flotte rebelle sortit de l'hyperespace et engagea les vaisseaux impériaux qui se mirent en formation. Des soutes des bâtiments, sortaient de toutes sortes de chasseurs, tie fighters, a wing, x wing, bonbardier tie.... TAndis que les cieux étaient strié de lasers de toutes couleurs. Pris par surprise, le vaiseau amiral de Golan Trevor, le Lady Mac Beth avait déjà été détruit par un a wing. Pendant ce temps là, l'escadron Téta commandé par le Capitaine Sckhratpénétrait dans l'atmospère de Miranna pour se poser à environ 1 kilomètre du complexe. Les trandoshan qui venaient de se poser se faisaient hacher menus par les TB-TT impériaux sous les regards amusés des dirigeants rebelles qui regardaient la scène depuis un petit vaisseau atmosphérique. L'équipe du Cpt Sckhrat se posa au milieu d'une clairière. une fois sorti de leurs appareils, les 6 commandos-pilotes se dirigèrent précipitement en direction de la station. d'entre eux étaient humains, le dernier était un droïde de type HK capable d'enregistrer d'énormes quantité de données. Une fois les trandoshans exterminé, les pilotes de TB-TT rentrèrent à la baseen se tapant des délires sur les trandoshans qui couraient en tous sens. une fois à l'inrérieur du complexe, les commandos désormaient au nombre de cinq suite à l'attaque subite d'un mynock mâle en rut. une formidable explosion secoua le laboratoire lorsque le comm
sckhrat le 2008-03-11 21:42:33
Quelques petites précisions sur le déroulement de la quête, au vu des premiers messages recus.
- Aucune action par Message Privé ne sera validée ! On a dit Message Clan, et avec le tag [Quête] écrit correctement (bon l'accent je pense qu'on survivra si vous l'oubliez ...), merci. Pensez bien que vous n'êtes pas seul à participer, donc si on s'organise pas un minimum on va pas y arriver.
- Pas de pavé pour les messages ... Ecrivez nous juste ce dont on a besoin, le numéro de la salle ou les actions à effectuer, pas plus. Vu le nombre de messages qu'on recoit par jour, on peut pas se payer le luxe de lire vos RPs bonus en route. Si vous voulez faire un RP sur ce qui vous est arrivé pas de problème, c'est même encouragé, mais dans ce cas là faites le par Messagerie Role Play, une fois que vous avez quitté la salle en question. Rassurez vous, ils ne seront pas publiés avant au moins 10 jours, ce qui évitera à vos concurents immédiats de profiter de vos découvertes ...
- Evitez de trop vous éloigner du background. On vous fait des descriptions, pas la peine de broder sur ce que vous pensez voir ou trouver, ca mène à des incohérences avec ce que nous on a prévu et ce que les autres voient ou imaginent voir.
Quelques rappels sur le mode de fonctionnement enfin:
- Vous pouvez effectuer une action dans la salle où vous vous trouvez toutes les 6 heures (vous pouvez tenter tout ce qui vous passe par la tête, du moment que c'est expliqué clairement). Ces 6 heures sont comptées entre les envois de vos messages, ca veut dire que vous n'êtes pas obligé d'attendre une réponse (même si c'est vivement conseillé).
- Vous devez rester au minimum 12 heures dans chaque salle que vous traversez, changer de salle est une action suivant les règles énoncées précédemment.
- Si le CB vous demande des précisions sur votre action, vous n'êtes pas obligé d'attendre 6 heures pour les lui envoyer. Tant que l'action n'a pas été validée (c'est à dire qu'on vous a envoyé la totalité ou une partie des réponses à ce que vous demandez), vous pouvez la préciser. Naturellement ca ne veut pas dire que vous pouvez faire des actions à rallonge, le CB coupera s'il le juge nécessaire. Les précisions d'action se font par MP avec le CB vous les ayant demandées.
Ziliev le 2008-03-11 20:16:13
La flotte rebelle s'etait stationnée a 1 UA de Mirana, afin que Steph et un equipe d'elite MarXiste puissent partirent en navette camouflée. Les preparatifs et le depart furent rapides, ils atteignèrent la planete au bout de 2 heures.
Le petit groupe d'assaut scanna la planete, des brouilleurs ne laissait pas la possibilité de scanner l'unique cité de la planete, demesurement grande. Ils se poserent donc a quelques kilometres d'elle, au milieu d'une foret dense.
Malheureusement, a peine descendus de la navette, les rebelles avaient chuté dans des pieges artisanaux disposé dans la foret, invisible pour l'oeil. 'Maudits contrebandiers, pourquoi les detecteurs ne voient pas ces foutus machins archaique...', pesta Steph.
Une escouade contrebandiere vint les prendre, puis amena les soldats dans un hangar desafecté de la ville. Steph lui fut envoyé dans un hotel, et parqué dans une chambre, luxueuse. Il ne comprenait pas pourquoi il se trouvait dans cet endroit, c'est bien le dernier coin auquel il s'attendait se trouver, surtout pour cette mission.
Un costume, de Lark Garlerfeld, etait disposé sur le lit.Un petit mot l'invitant a se presenter au bar de l'hotel a 20h30 etait placé sur la veste. 'Et bien, les contrebandiers me feront toujours autant flipper...Tordus, ceux la...'
Steph se presenta dans son costume neuf et beau au bar, 5 minute auparavant, pour boire un coup, apres tout.Prisonnier dans une cage d'or, autant ne pas se gener. Un nombre important de personnes arriverent a l'heure fatidique: des rebelles,et steph crut halluciné, des imperiaux! Vetus dans le meme smoking(a croire que les contrebandiers achetent en gros...) ils se posterent pres du bar, sirotant moultes mixtures alcoolisées.Avec moderation, pour la circonstance.
Apres son second verre, Steph et les autres se figerent: un individu se presenta dans la salle. John!! Ainsi ce que les mon-calamaris lui avait dit se confirmait, John, seul apparement, etait au commande de ce machiavelique manege. Il fut rejoint par deux femmes, victimes de la chirurgie esthetique et refaite de toute part, eclatante de beauté et de jeunesse, qui se posterent de chaque coté de lui.
John declara qu'il etait responsable de notre parquage dans l'hotel, qu'il nous suivait a la trace, chacun, depuis son arrivée sur son territoire de magouille. Il promit a tous de visiter ses installations( encore un traquenard, se dit Steph), puisque tout le monde etait la pour ca. Clou du spectacle, Namida, son acolyte feminin de toujours, apparut a la fin de son speech. Pas etonnant, toujours ensemble pour les coups foireux, releva quelqu'un accoudé au bar, le nez dans son verre.
Les contrebandiers s'eclipserent, laissant seul tout les 'invités' a leur massacre, se saouler au bar, certainement une ruse un peu tordue pour les torturer.
Steph monta dans sa chambre et se coucha, verifiant qu'aucune arme etait dissimulée dans sa chambre.
Le lendemain, des escortes vinrent chercher Steph, ainsi que les autres, pour leur fameuse ballade vers l'enfer. Dans le hall de l'hotel, des droides de protocoles furent presenté pour amener les 'hotes' de John, visiter une partie des installation administratives et industrielles de la ville.
Cependant, peu apres leur depart de l'hotel de ville et a quelques ceintaines de metres de l'usine, les droides furent desactivés. Tout seul apparement(La qualité CB se perd, se dit Steph). Steph courrait vers l'usine, accompagné d'autres espions. Trois portes, 2, 3 et 4, se presenterent devant eux. Steph essaya les trois portent; seul la 3 s'ouvrit; il s'y engouffra.
Steph le 2008-03-11 19:54:52
Carrie entra dans le bar du Mirana's Palace, l'hôtel le plus chic de la planète. Elle se rendit directement dans une room VIP. Elle tira avec délicatesse le rideau de soie rouge qui donnait sur cette petite pièce où se trouvait John et Annael. La salle, somme tout petite possédait une table en bois d'acajou ainsi que des fauteuils de cuir noir. Une applique noire propageait une douce lumière dans la salle. A son entrée, elle vit qu'Annael susurrait un mot à l'oreille de John. Elle se retira avec un large sourire à son siège. Carrie la fustigea du regard. John prit la parole.
« Pourquoi as-tu l'air si pressée, une mauvaise nouvelle?
- Apparemment plusieurs espions se sont infiltrés sur la planète et rodent dans la ville. Je les ai tous mit sous surveillance comme tu me l'avais demandé. Ils ne se doutent de rien et font une enquête chacun de leur côté.
- Je l'avais senti, mais je te remercie de m'informer des opérations de nos services de sécurité. Je sais tous parfaitement où ils sont, de plus certaines présences me sont familiaires. Plus important as-tu des nouvelles de cette chère Namida. Il ne faudrait pas qu'elle loupe le spectacle cela va être divertissant de leur faire croire que le senseur se trouve dans la ville.
- Mais tu ne crains pas qu'ils le trouvent?, lança Carrie.
- Pas du tout d'ailleurs j'avais dans l'idée de faire une petite réunion avec tout ce beau monde. Pourrais-tu les faire venir dans ce palace, on va organiser une petite réception en leur honneur. Bien sur, tout sera à mes frais que se soit les chambres, les amuses bouches, le champagne ou encore les vêtements que je vais leur prêter. Son visage s'adoucit et il leur dit. Les filles si vous alliez faire les boutiques, il faut que vous soyez parfaite pour se soir. Pendant ce temps, je m'en vais me reposer dans ma chambre, je compte sur vous deux pour tout organiser. Et pas de chamailleries merci.
- Bien mon amour. S'exclamèrent les deux jeunes femmes d'une seule voix. » Elle se regardèrent aussitôt avec dédain l'une pour l'autre.
Les deux femmes partirent et John se retira dans sa suite afin de profiter pleinement du jacuzzi pour se reposer. La journée fut courte, les invités furent tous emmenés avec douceur à leurs chambres respectives. Dans chacune des chambres une tenue de soirée était déposée sur le lit avec comme instructions de la mettre et de descendre pour 20h30 précise dans le bar de l'hôtel, qui pour l'occasion était entièrement reservé pour la réception. La salle avait été redécoré dans un temps record pour l'occasion. Le décor respectait à merveille les exigences de John, c'est à dire de magnifiques drapés noirs sur les murs une lumière d'ambiance très douce et sur le côté moulte tables où se trouvaient des amuses bouches ainsi qu'une quarantaine de bouteilles de champagne.
A l'heure prévu tous les invités étaient arrivés, et les discussions allaient bon train. Les invités étaient séparer en deux groupes bien distinct, à gauche les espions de la faction rebelle et à droite les espions impériaux. Ils se demandaient tous ce qu'il se passait, après s'être fait prendre, ils furent emmenés dans cette hôtel, puis invités à cette réception où certaines personnes ne se sentaient pas à leur place dans ses habits de dandy et dans ce décor très classe. Tous se demandait ce qui allaient leurs arriver, cette réception était-elle comme le dernier repas d'un prisonnier avant d'aller à la mort? Peut être, mais les actions de John étaient assez étrange voir incompréhensible.
Quand tout à coup, la porte s'ouvrit, ce n'était pas des retardataires mais Carrie et Annael qui faisaient leur entrée dans cette arène hétéroclyte. Tous les invités furent transportés par la présence que dégageait les deux jeunes femmes. La première affichait un sourire étincelant, combiné avec une mini robe noire en satin stretch, bretelles en cuir et métal, ses bonnets moulés mettaient sa généreuse poitrine en valeur tandis que sa coupe courte lui conférait de mettre en valeur ses magnifique jambes qui paraissaient interminable. De longs gants noirs finissaient la panoplie de la jeune femme. Quant à la seconde, un sourire tout aussi charmeur à la bouche, elle portait une robe mi longue en satin recouverte de dentelle et de tulle. Une allure beaucoup plus sobre que l'autre jeune femme beaucoup plus provocante. Elles se dirigèrent toutes deux vers le centre de la salle et se tournèrent vers l'entrée comme si elles attendaient quelque chose ou quelqu'un. Les invités se demandaient qui étaient ces deux magnifiques jeunes femmes et ce qu'elles venaient faire ici, des hôtesses peut être.
Au bout d'une petite dizaine de minutes, les portes s'ouvrirent toutes seules, une silhouette se trouvait en pleine lumière. On ne pouvait voir le visage de cette personne à cause de la lumière plus violente qui arrivait de l'extérieur de la salle de réception. Ce que l'on pouvait distinguer, était sa tenue, une tunique noire de jedi, d'un style qui datait de l'ancienne République, l'âge d'or des jedi. Un pantalon noir rentrer dans des bottes de la même couleur ainsi que des gants de cuir tout aussi noirs que le reste de la tenue de l'individu. Un objet d'apparence cylindrique pendait à sa ceinture, il était tout aussi noir mais se reflétait dans la lumière. Après quelques instants, l'homme s'avança et tout le monde le reconnu. C'était John en personne, qui se présentait devant toute l'assemblée médusée. Des murmures se firent entendre « Il vient nous narguer, c'est bien son style », « Il nous a tous bien piégé et maintenant, il doit jubiler de nous avoir tous capturé. », « Quelle mascarade!!! ». Il se dirigea vers le centre où se trouvait les deux charmantes créatures. Chacune d'elle prit un des bras que John leur proposait. Ils se dirigèrent ensuite vers le fond de la salle, puis se tournèrent vers les convives. John prit la parole:
« Bonsoir, j'espère que la soirée se passe bien?, lança-t-il avec un large sourire narquois
- Qu'est-ce-que tout cela veut dire John ? Pourquoi toute cette mise en scène?, répondit une personne dans l'ombre.
- C'est pourtant bien vous qui êtes venus sans qu'on ne vous invite, soyez plutôt heureux d'être encore en vie. Je vous ai tous fais suivre, j'avoue que certains ont eu de l'imagination et d'autres pas du tout. J'ai beaucoup rit à vrai dire. Et pour vous récompensez, j'ai donc organisé cette petite soirée.
- Petite soirée, ne te moque pas de nous c'est le grand luxe apparemment chez les contrebandiers, on mène grand train et on le montre.
- Je n'aime pas ce qui est médiocre, ce n'est pas de ma faute si j'aime ce qu'il y a de meilleurs et pourquoi s'en priver quand on en a les moyens. Toutes mes ressources financières ne viennent pas de la contrebande mais cela ne vous regarde en rien. Je souhaite que vous vous amusiez se soir et demain je vous ai programmé une petite visite guidée de la ville, apparemment elle vous intéresse particulièrement. Je tiens à vous avertir, pas la peine de tenter de s'enfuir mes gardes sont à l'extérieur et je suis le seul qui possède un sabre laser dans cette pièce.(Un homme tenta d'utiliser la force pour prendre le sabre qui se trouvait à sa ceinture). Inutile aussi de tenter d'utiliser la force, j'ai placé des ysalamaris un peu partout dans la ville , ce qui rend impossible son utilisation. Donc restez tous bien sage.
- Tu te moque de nous là?
- Je n'oserais pas. Il pouffa de rire. La dernière invitée n'est toujours pas là, elle se fait désirer.
- Mais de qui tu parles John ? Demanda Carrie perplexe, Encore une de tes anciennes conquêtes?
- Non, loin de là. Ah,, je crois que la voilà. »
Les portes s'ouvrirent, on y découvrit deux silhouettes qui s'avancèrent vers le centre de la salle. Au bout de quelques instants, les invités purent découvrirent qui étaient ses deux arrivées de dernière minute. Namida fit son entrée sans grand éclat, vêtue d'une simple robe de soirée bleue nuit avec quelques broderies argentées. Elle ne portait même pas de diadème indiquant son statut. Coiffé simplement, Namida avait décidé de paraître la plus discrète possible. Une Larme se tenait derrière elle, assurant sans doute sa sécurité. Non pas que Namida doutait de la capacité de John à la protéger, mais elle avait l'habitude de laisser Megami l'accompagner dans ce genre de soirée. Cette dernière était vêtue de rouge sombre, avec des broderies en or représentant le symbole MeDaichi. John, Carrie et Annael s'approchèrent des dernière venues. Ils se saluèrent, ignorant complètement les convives médusés. D'autres murmures se firent entendre. « Elle aussi est ici, les informations étaient donc vraies. », « Ils nous font quoi les contrebandiers là, un défilé de mode? », « On ne s'en sortira pas avec les deux là. ». John se retourna et regarda avec dédain ses insectes qui s'étaient fait prendre dans la toile qu'il avait tissé. Il se tourna ensuite vers Namida et lui proposa de prendre congé de ses misérables afin de pouvoir parler tranquilement sans être dérangé ou écouté. Ils sortirent tout deux avec pour John à chacun de ses bras Carrie et Annael, et pour Namida sa suivante Megami. Ils se dirigèrent vers la suite de John où le petit salon avait été aménagé en salle de réunion avec quelques victuailles et boissons à disposition. La réunion dura une bonne partie de la nuit et il se donnèrent rendez-vous dans la salle de contrôle de la base secrête afin de surveiller la petite ballade programmée pour les intrus, pour ne pas qu'ils repartent déçu.
Le lendemain, tous les protagonistes furent regroupés dans le hall de l'hôtel, une escorte de droides les attendait, droides prêtés par Coincoin DuK pour l'occasion. La visite commença par l'hôtel de ville puis les grandes infrastructures de la cité. Puis ils partirent vers la zone industrielle, arrivé sur place on ne trouva qu'une petite usine qui ressemblait plus à un hangar en fer soutenu par des poutrelles d'acier. Quand tout à coup John perdu le signal des droides, un dysfonctionnement les intrus étaient donc de nouveau libre. John pesta contre cet escroc qu'est Coincoin DuK. Mais Carrie intervint, et lui annonça qu'ils avaient été piraté de l'intérieur. Carrie accusa la nouvelle amie d'Annael. John se brancha sur le système de sécurité de l'usine et vit les intrus s'introduire dans celle-ci, ainsi que la jeune femme que Carrie accusait. La colère se lisait sur le visage de John et elle allait retomber sur Annael, au grand bonheur de Carrie. Namida prit la parole:
« Ne sont-ils pas là où il ne faudrait pas qu'ils soient mon cher?
- Je le crains, j'étais trop négligent avec ses droides. Mais ne t'inquiète pas l'usine à son propre système de sécurité.
- Je l'espère.dit-elle froidement. »
John avait perdu de sa superbe et il se persuada que son système anti intrusion ferait l'affaire.
[HRP: Tout message en rapport à la quête devra être envoyé par messagerie swing au clan contrebandier avec comme Titre: [Quête]puis titre secondaire. Vous êtes devant l'entrée de l'usine et face à vous, se trouve trois portes. Chaque porte mène à une salle. Vous devez choisir quelle porte prendre. Envoyez donc un message avec le chiffre 2, 3 ou 4 puis attendez les instructions du CB qui vous répondra. Et gardez le mêle protocole tout au long de la quête.]
John le 2008-03-10 19:38:08
Jeen Hangzar, pilote réputée pour sa grande incompétence au combats depuis qu'elle avait essayer de comparer la solidité de la proue d'un TB-TT avec celle de son aile-X. Elle se réveilla soudain lorsque son comlink se mit à biper. Toujours entrain de renfler espece de lambin!!
Jeen:_ excuser moi major, que voulez vous major? dit-elle sur un ton endormi. Major:_en tenu de combat dans le hangar pricipal dans quinze minute!!
Jeen:_major, oui major!! Et elle s'executa en grommelent quelques juron inaudible en jawanais.
Quinze minute plus tard, sous les rires et les jurons de son escadron, elle arriva dans la salle de briefing en sueur après s'être perdu à plusieurs reprises dans les ponts inférieurs.
Major:équipe un et deux, vous vous occuperez du secteur de Miranna aujourd'hui.
Dit il à Jeen et à son ailier, le pilote Stan Eck, un duros drogué qui s'était retrouvé dans le siège d'une aile-X en croyant postuler pour un boulot d'été de facteur. Sans aucunne expérience, celui-ci se retrouva dans l'escadron Z-999 en compagnie des pires sous-doués de l'alliance rebelle.
Au commande de son vaissdeau, Jeen ne redoutait rien, sauf peut-être des mynocks dont elle avait horriblement peur. Son vaisseau, le collecteur de déchets intersidérals apparut dans le système de Miranna avec à ses cotés le duros camé.
Plusieurs heure plus tard, s'inquiétant de la disparition de deux de leurs meilleurs collecteurs d'ordure, le Vaillant envoya une sonde dans le système Miranna qui les informa qu'une imporatntes flottes de défenses impérailes était stationné là...
sckhrat le 2008-03-10 19:11:14
Il faisait sombre dans les appartements de L’amiral John, malgré l’immense hublot qui surplombait la galaxie offrant le magnifique spectacle d’une comète lointaine et d’un gigantesque aquarium éclairé, parsemé de poissons des plus divers.
Les regards échangés entre John et Anaël étaient emplis de souvenirs passés dans des ébats torrides où leur corps ne faisaient plus qu’un et la présence de cette Carrie et son blaster n‘y changeait rien.
Cependant John eu la sensation bizarre que Anaël n’était pas celle qu’il avait connu, était-ce la présence de cette rivale ou bien la chaleur suffocante régnante du Néo-Mébahel. (mon Arry vend des clims ^^)
Après avoir quelques peu discuté John proposa donc à Anaël de venir s’allonger….
Anaël sourit un instant puis s’adressa de nouveau à John :
Merci de cette délicieuse invitation je suis très touché, mais avant je me doit de te présenter la personne qui m’accompagne.
John fut un instant surpris puis acquiesça .
Anaël se retourna en direction de la porte puis l’ouvra, d’un geste délicat, laissant apparaître une femme Arkanienne d’une beauté captivante.
Elle était vêtu d’une toge noire recouvert de symboles cabalistiques, et lorsqu’elle s’avança en pleine lumière ce sont ses yeux blancs fascinants qui interpellèrent visiblement John. Elle était de grande taille, svelte et charnelle à la fois, se tenant avec fierté et arrogance, et d’immenses griffes faisaient paraître ses mains encore plus longues et plus fines.
Lorsqu’elle s’adressa à John :
Mes hommages Amiral John, je me nomme Arrynenette, nenette pour les intimes. Anaël , mon amie m’a longuement parlé de vous …En bien je vous rassure, mais c’est mieux que je ne le l’imaginais…Ses yeux blancs brillaient de malice.
L’Arkanienne sourie quelques instants encore puis continua :
Elle a pensé que je vous serai de la plus grande utilité ; en effet je suis une scientifique spécialisé en parthénogénèse thélytoque artificielles…une cloneuse de femmes si vous préférez…
Son sourire devint des plus ambiguës…
Quelques semaines plus tôt Anaël et Arrynenette s’étaient rencontrées lors d’une soirée organisé par des hauts dirigeants de Corrucentre.
Des bruits couraient sur le projet technologique de John, les Rebelles et les Impériaux n’avaient qu’une idée en tête, sachant Anaël très intime avec John, ils comptaient la capturer pour lui inoculer sous la peau une puce programmé avec des ordres bien précis et surtout un capteur accéléromètre de positions tridimensionnel à mémoires sélectives.
Alors lorsque l’Arkanienne vit au loin parmi la foule une jeune femme au visage fin qui attirait tous les regards, elle su à l’instant même que c’était Anaël,, la même, trait pour trait de l’image holographique qu’on lui avait présenté.
Elle s’avança vers elle d’un pas décidé…
Pardon de vous aborder de la sorte mais j’ai à vous parler en privé, retirons-nous dans ce salon , nous y serons mieux et surtout pas dérangé.
Anaël surprise dans un premier temps suivi cette étrange Arkanienne comme si elle se sentait presque attiré…………….
Une lueur de plus en plus vive agressa la jeune Anaël ses yeux étaient légèrement collé, allongé dans un somptueux lit drapé de soie de vers d’arkania de couleur pourpre, elle s’étira félinement le souvenir de cette soirée avait disparu de sa mémoire...et seul une très agréable sensation de bien être était omniprésente.
La cabine du vaisseau HURRICANE était des plus magnifique l’étrange et envoûtante odeur d’encens accentua son appétit. Anaël était comme étrangement habitué au lieue et à ses occupants.
J’ai faim lança t’elle Cela faisait 1 semaine qu’elle était endormi l’arkanienne avait reprogrammé totalement son cerveau, afin qu’elle lui appartienne de corps et d’esprit . Ainsi l’intervention était une réussite. Son arme d’intrusion était enfin opérationnel.
Tout était parfait…murmura t’elle :
il ne restait plus cas se rendre sur le vaisseau de l’Amiral John et laisser leurs charmes agir………
Arrynenette le 2008-03-10 19:00:26
L'entretien avec sa seigneurie avait été plus bref que d'habitude,Joak Drysso était habitué à parler des heures avec l'amiral et que celui-ci ne le tienne pas au courant de ses projets vis à vis des contrebandiers avait quelque peu dérouté le capitaine. Après 10 minutes de marche dans les couloirs gris et froid du Poing d'Acier,Drysso arriva devant la porte du labo d'équipement.Après avoir effectué bon gré mal gré le traditionnel scanner rétinien imposé par le droide de sécurité,il se retrouva en présence d'une charmante jeune femme,brune,les yeux noires comme une pierre mee'tilk qui le regardait avec insistance.Drysso ne se démonta pas,on était capitaine ou on ne l'était pas.La femme fit mine de ne voir les galons de Drysso une fois que celui-ci se trouvait à quelques mètres d'elle et salua à ce moment en disant: -Gara Velar,aide au labo d'équipement,à vos ordes monsieur -Gara,dit Drysso,il me faudrait un équipement classique d'officier terrestre en infiltration:macro-jumelle,blaster de poing à crosse repliable,un fusil sniper RP-400 avec une lunette de visée nocturne et son rangement,genouillères,bottes anti-gravité...ajoutez moi un petit peu de charges lourdes,ça pourrait servir...si j'ai à partir précipitemment termina Drysso sans un sourire. Il regarda s'afférer l'aide,elle était attrayante et jettait des regards en coin au capitaine,mais il était comme toujours obnubilé par le travail et se demandait surtout si il n'avait rien oublié pour cette mission qui s'annoncait difficile. Drysso se diriga vers l'air d'embarquement son sac réglementaire sur le dos.Son TIE/Raptor était prêt à décoler,il s'installa dans le cockpit et décola. Il devait se rendre de l'autre coté de Dathomir,là ou toute la flotte du seigneur de la guerre stationnait. La plupart des vaisseaux étaient en réparation,dans des quaies gigantesques montés sur répulseurs.Il cherchait du regard le Sourire du Serpent mais ne le voyait pas.Il rentra en contact avec la tour de contrôle: -Oui,bonjour caporal,je cherche le destroyer Sourire du Serpent,mission spéciale,code 3 8 12,vous devez etre au courant. -Attendez un petit instant.Ah oui capitaine Joack Drysso,le Sourire du Serpent est en réparation,quaie 23,vous avez de la chance,la propulsion vient de retrouver 90% de ses capacités. -Merci Caporal. Drysso fit une boucle parfaite avec son raptor,se dirigeant vers le Destroyer qui venait d'ouvrir sa soute sans aucune indication de la part du capitaine.Une fois posé,il sortit immédiatement et une voix du haut d'une passerelle l'alpagua: -dépechons Drysso,je n'ai pas tout mon temps au contraire de vous! C'était le général Kashrin,l'autre ame damnée de Zsinj.Le capitaine ne répondit pas à la provocation et gravit les marches menant au général une à une.Kashrin et Drysso était en concurrence sur presque tous les commandements que le seigneur de la guerre confiait.Drysso avait néanmoins perdu du terrain sur son adversaire du fait de la victoire de celui-ci sur Korlock V et l'anéantissement des forces d'un seigneur de la guerre impérial. -J'ai une rébellion sur Sulust qui vient d'éclater et vous vous permettez de trainer Capitaine grommela Kashrin bon,voilà ce fameux dossier top secret Drysso le prit et le feuilletat,prise de vue aérienne de la base contrebandière,nombre de batiment contrebandier en orbite de Mirana,effectifs de la garnison,un plan d'une ville qui semblait etre la capitale de Mirana,rien néanmoins sur la sécurité en elle meme de la base,enfin,une enveloppe avec écrit budget illimité contenant une galactica Card et des papiers en règle d'un banal artilleur.En espérant qu'il n'y ait pas de mauvaises surprises une fois sur place... Le capitaine laissa Kashrin,sans meme regarder comment celui-ci quittait le destroyer.Il prit le turbo ascenseur et monta jusque sur la passerelle de commandement.Un homme d'age mur,balafré en uniforme de capitaine de vaisseaux l'attendait et dit d'une voix rauque: -Bienvenu à bord mon capitaine,je suis le nouveau lieutenant Guntark,on vient de m'annoncer que je n'étais plus capitaine et que je passais sous vos ordres... -Très bien lieutenant coupa court Drysso il n'y a pas une minute à perdre.Navigateur!entrez les coordonnées que j'ai sur mon data bloc et confirmez la destination. Après un petit discours très chiffré de la part de son nouveau capitaine,le navigateur confirma le voyage vers Mirana.Le Sourire du Serpent malgré ses batteries toujours à l'état de métal fondu pour la plupart et la piètre allure de sa structure,couverte d'impacts s'écartait lentement du quaie.Une fois rendu hors de la zone de Dathomir,le navigateur fit le décompte avant le saut hyper-spatial. -3,2,1...GO! Des traits argentés apparurent sur toutes les baies de la passerelle de commandement signe qu'on était rentré en hyper espace -Lieutenant,à vous le commandement,vous savez ou me trouver...prevenez moi 5minutes avant la sortie d'hyper espace. Sans attendre de réponse,Drysso se dirigea vers les appartements du capitaine.Pas vraiment à son goût mais ça devrait aller,le temps de contacter les Bothans encore sur place,si ils avaient du nouveau...
Une sonnerie sonna,Drysso avait du s'endormir en pleine conversation holocom. -J'arrive dit il. Sur la passerelle,toujours les traits argentés. -Lieutenant? -Comme prévu j'ai sonné 5minutes avant la sortie d'hyper espace mon capitaine,un sourire déformant sa balafre -Bon... Les traits s'estompèrent,une planète et un trafic important apparurent. -On ne vas pas tarder à recevoir un appel pensa tout haut Drysso En effet,un visage apparu sur l'écran de la passerelle,un contrebandier barbu qui regardait sur son écran de contrôle surement un visuel du Sourire. -Bonjour,dit il d'un air soupconneux,savez vous qu'officiellement les destroyers de classe impérial sont interdits dans le système de Mirana -Je viens pour des réparations,il montra la Galactica Card,à moins que vous préfereriez me laissé partir dans le système contrebandier suivant...Nous sommes très pressé et je suis prêt à payer le double,en 48h j'aimerais que tout soit bouclé. -Un moment,que je vérifis dit le contrebandier L'homme devait parler à un supérieur -Une partie de mes hommes méritant auront une permission de sortie de 24h,ajouta Drysso,et ils sont très largement dotés par mes soins,de quoi faire la fortune de tous les bars et bordels de la ville assurément. -Il semblerait que votre destroyer soit fiché en tant que propriété du tyran Zsinj...lacha le contrebandier toujours aussi soupconneux -Nous avons fait sécession il y a plus de 2 mois mes hommes et moi,et après une campagne victorieuse dans les mondes de la bordure extérieure,nous venons prendre un peu de repos dans votre affreux système...d'ailleurs si je n'ai pas la permission de rester en orbite et que mes réparations soient prises en charge par vos hommes,nous nous en allons de ce pas,je suis las de discuter avec vous mon brave dit Drysso dans une quasi dernière tentative. Une nouvelle voix se fit entendre sur la fréquence se fit entendre: -Pardonnez ces fonctionnaires,ils se bornent à appliquer la loi sans réfléchir,je suis le chef du trafic de Mirana dit l'homme,nous envoyons immédiatement une navette pour vous et vos hommes!Nous réglerons dans nos bureaux les formalités de réparation de votre vaisseau. -A la bonne heure répondit Drysso!
Il fila immédiatement dans sa cabine,enfila des vétements de civil,ses papiers de simple artilleur,son sac,décoiffa ses cheveux blonds,mit des lentilles de couleur noire non repérable à l'oeil nu et monta dans la navette avec une poignée d'hommes,armés légèrement,recommandés par le lieutenant pour leur sérieux et leur incorruptibilité.Ils ne participeraient sans doute pas à la mission en elle meme,néanmoins le capitaine les avait tout de meme briefé sur le fait qu'il ne devait pas parler meme sous la torture.La navette les déposa sur Mirana sans encombres et Drysso pensa que c'était le moment de sortir une phrase héroïque: -je serais le 1er à poser le pied sur cette planète et le dernier à en repartir...
Zsinj le 2008-03-10 18:58:07
Quelque part, dans un secteur peu frequenté de la galaxie. La flotte du MarXiste Excité voguait a un rythme de croisiere peu soutenu, se laissant aller a de simple missions d'observations. Steph sur son vaisseau principal, baptisé 'Hervé Villard', un illustre comique d'une planete de bordure, avait decidé de prendre ses RTT et de se reposer dans sa cabine, en s'amusant dans une holosuite a jouer a la chasse aux escargots.
Pendant une traque terrible avec un gasteropode sanguinaire, l'alarme de niveau 5 retentit. Steph s'empressa de rejoindre la passerelle pour faire un etat des lieux.
'Mon capitane, on a relevé un signal de detresse. Des cargot Mon-Calamariens se sont fait attaqués, on ne sait rien d'autre de precis.Une balise automatique indique la position et l'etat piteux de la flotte.' 'Tres bien lieutenant Wilson, allons sur les lieux. Levez les boucliers et armez les torpilles, sait on jamais.'
La flotte rebelle arrivait sur les lieux trois heures plus tard.Aucun vaisseaux a l'horizon, il n'y avait aucun danger apparent, meme si une embuscade pouvait etre préparée. Un detachement marxiste arrivait pour secourir les survivant. Seul une dizaine de personnes monterent a bord du vaisseau de commandement de la flotte de Steph.
Apres avoir été soignés, les mon-calamaris furent interrogés par Steph. Le capitaine de la flotte marchande expliqua ce qui c'etait passé.
'Nous etions en hyper espace lorsque d'un coup nous sortimes du vortex. Un champ d'interdiction deployé par une flotte contrebandiere nous attendais.Nous disposions de technologies de pointes que nous transferions vers Mon-Calamari, je ne sais pas a quoi elles servaient mais elles avaient une extreme importance. Je pense que les contrebandiers qui nous ont attaqué avaient prémedité leur coup et savaient le contenus de nos soutes.'
Steph ecoutait avec attention le recit du capitaine marchand.
'Dites moi, n'avait vous pas vu ni entendus de details precis, qui etait le contrebandier, ou allait il, pourquoi vous avait-il attaqué?'
'Je ne sais pas pourquoi, mais j'ai reconnu la marque des hommes de John, j'en suis certain.Ils parlaient d'une planete située en territoire contrebandier que je ne connais pas, Mirana je crois. Cela doit etre une place forte de John, pour qu'il s'y rende avec cette technologie.Cependant, j'ai cru entendre que ce qu'ils avaient volé n'etait pas leur but ultime.'
'Continuez, c'est assez intriguant'
'Eh bien, voyez vous, un des chef de ce groupe avait l'air d'etre en liaison directe avec d'autre personnes, et apparement d'autre choses devait arriver sur cette planete. Je pense que John, ou les contrebandier je ne sais pas, doivent construire quelque chose d'important, en se servant de ce qu'ils ont pris.'
'Mmmh...Si ils nous ressortent une vieille arme ou des moutons degénérés, on est pas sortis...En tout cas, c'est trop serieux. Une corvette va vous ramener sur votre planete pendant que ma flotte et moi meme iront jeter un coup d'oeil chez John.'
Steph se dirigea dans son bureau, l'air determiné. En entrant, il se posa sur son fauteuil en moumoute et alluma le reseau holonet.
'Message codé pour le conseil de la flotte rebelle. Ai trouvé un signe d'activité menacant du contrebandier John, risquant de mettre en peril la galaxie. Demande coordonnées du systeme Mirana et autorisation d'investigations. Terminé.'
Quels seraient les dangers que Steph et ses hommes trouveront sur place? Que pourrait bien construire John avec toute ces technologies avancées? Toutes ses reponses se trouveront sur Mirana. Ou non...
Steph le 2008-03-09 23:04:46
En route pour de nouvelles aventures ... |
Il faisait frais et beau ce matin là, le Commandant Gilbertaes s’était levé de bonne heure afin d’aller profiter des charmes de sa nouvelle conquête. La planète était calme et s’éveillait doucement. D’un balcon du Palais Royal, il observait Theed qui s’animé. La ville était on ne peut plus belle par ce beau matin, et le commandant était fier d’en avoir fait son fief, et de l’avoir libéré du joug des infâmes républicains. La journée s’annonçait chargé aujourd’hui, avec au programme une visite-inspection de Theed, puis une reconnaissance dans les plaines non loin de la ville, avec certainement une chasse au veermoks si ceux-ci daignaient se montrer. Sur Naboo, tout semblait si calme et la vie si douce qu’on en oubliait la guerre qui faisait rage dans la galaxie. Les habitants de la planète étaient heureux d’être enfin dans un système sur, qui leur assurait paix et prospérité.
Alors qu’il errait dans les plaines en plein milieu de l’après-midi afin de profiter de la douceur de la vie, le Commandant vit des ombres évolués dans la stratosphère, il sortit ces jumelles binoculaires, et remarqua alors qu’il y avait plusieurs chasseurs qui se déplaçaient dans le ciel en formation de quadrillage. On aurait dit qu’il cherchait quelque chose. Deux Chasseurs Naboo N-1 entouré un vaisseau à l’allure particulière que le Commandant a reconnu directement. Un bombardier Hetrinar à la peinture jaune et avec un symbole de l’Empire était entre les deux chasseurs. Ce bombardier était le vaisseau personnel du second de l’armée libre du Commandant. Celui-ci se demanda alors pour quelle raison son second avait quitté le palais ? Il activa alors son Comlink portable et sa balise de repérage qu’il avait éteints pour être entièrement tranquille. A peine eut-il activé sa balise que les vaisseaux au loin changèrent de cap et se dirigeaient vers lui. Arrivé à hauteur les trois vaisseaux ralentirent et se posèrent à à peine cent mètres. Le commandant se dirigea alors vers eux intrigué de ce déploiement.
Un pilote en uniforme sortit alors du bombardier, et enleva son casque. C’était une humaine d’une très grande beauté, du fait de ses origines Hapiennes, elle était de taille moyenne, avec les cheveux long et brun et un visage harmonieux. On l’appelait Linda, son vrai nom Hapien étant inconnu ou imprononçable pour beaucoup de personne.
« Linda ? Que fais-tu ici ? Pourquoi a-tu quitté le Palais Royal ? Ce passe t-il quelque chose de grave ? Je connais tes talents d’administration, et je me doute que si tu me cherchai c’est que ça doit-être important ! - Mon Commandant, nous avons intercepté un chasseur dans l’espace de Naboo. - Ah ? Et c’est pour cela que vous interrompait ma journée de repos ? Nous sommes en guerre, les tentatives d’assaut rebelle sont monnaie courante. Même s’il est rare je l’avoue qu’il n’y ait qu’un seul chasseur, c’est certainement un pauvre erre égaré. Maintenez-le en détention et j’irai voir demain l’interroger sur ce qu’il faisait. - Oui, nous l’avons mis en détention dans les cellules V.i.p du Palais - Les cellules V.i.p ? Pourquoi aurait-il droit à un traitement de faveur ? Mettez-le dans les cellules normales du sous-sol plutôt. - Commandant, le pilote prétend vous connaître. Dans le doute j’ai préféré le mettre en détention tout en prenant soin de lui. Je ne voudrais pas vexer un de vos amis, bien que celui-ci n’apparaisse nullement dans les fichiers impériaux, c’est la raison pour laquelle je vous ai cherché. De plus, il prétend avoir des informations précieuses et intéressantes à vous retransmettre en personne. C’est sans doute une excuse pour que vous l’approchiez et commettre un attentat sur vous. - Un de mes amis dite-vous ? Mais qui ne figure pas sur mes listes ? Etrange, quel était son vaisseau ? A t-il un signe distinctif ? Vous a t-il donné un nom ou une preuve qu’il me connaissait ? - Son vaisseau est un IG-2000 nommé « Fou de Guerre ». Le pilote ne portait pas un uniforme distinctif, mais une drôle d’armure intégrale avec un symbole en forme de tête d’animal de couleur rouge sang. Il porte aussi un casque avec une visière en T. Il prétend avoir combattu à vos cotés maintes fois, et se fait appeler K. Il a dit que vous le connaissiez son le nom de « Guerrier de l’Ombre ». - Non ! Pas possible ! Vite, direction le palais ! - Mon Commandant ? - Pas le temps de discuter, on y va, je ne tiens pas à le faire attendre plus longtemps. »
Le Commandant se dirigea d’un pas pressé vers le Bombardier, et pris la place de pilote, il attendit que Linda prenne la place d’artilleur, et décolla prestement accompagné des deux autres chasseurs. En moins de deux minutes le bombardier était garé dans le Hangar du Palais juste à coté de la Nef Royale Naboo et près de nombreux chasseurs. Le Commandant se dirigea directement vers l’aile du palais qui avait était sécurisé et transformé en prison de luxe pour ces opposants de haut rang. La plupart des cellules étaient bien entendue vide. Son second le suivait et lui montra la chambre dans laquelle l’ami du Commandant avait été enfermé. Il fit s’écartait le soldat de garde, et entra dans la pièce. La pièce était d’un grand luxe, avec de grandes fenêtres, qui étaient fermées et gardées par des robots. Le reste de la pièce était cossu avec de nombreuses œuvres d’arts accrochés au mur, un parquet luisant au sol, et beaucoup d’autre chose magnifique. Au milieu de la pièce se trouvaient différents fauteuils. Le Commandant et son second entrèrent dans la salle, et à peine la porte fut-elle refermé qu’un homme de grande taille et d’une robustesse impressionnante se leva d’un fauteuil et se retourna pour voir qui était entré. Même sans son armure le colosse était impressionnant. Dès qu’il reconnut le Commandant, il sourit et s’approcha de lui. Les deux hommes se serrèrent la main chaleureusement.
« Gilb’, alors, c’est comme ça qu’on traite ses amis ?, dit le colosse, enfin au moins ta prison est tout confort. - Tu as eu de la chance, normalement c’est dans le sous-sol humide qu’on met nos prisonniers, enfin même si tu n’en es plus un maintenant, je suis désolé du malentendu, j’ai depuis peu un nouveau second, enfin une nouvelle seconde … et elle ne pouvait pas te connaître, et comme tu n’es pas sur les fiches impériales, elle t’a pris pour je ne sais quel vil gredin… Tiens d’ailleurs je te présente Linda, ma nouvelle seconde, que j’ai débauché pendant mes guerres au coté d’Hapès. Linda je te présente K, un de mes anciens fidèles lieutenants avec lequel j’ai combattu chez les Mandaloriens, quand ils existaient encore. - Enchanté, dit K, mais qu’est devenu ton ancien second ? Le brave Fritz, si je me souviens bien - Il est malheureusement mort au combat, comme un vrai guerrier, bon, allez asseyez-vous, on ne va pas rester debout. Que me vaut l’honneur de ta visite ? Et comment savait-tu que j’était sur cette planète ? - Haha, j’ai gardé de nombreux contacts, et je sais encore où et comment marchandé des informations … Te trouver à été plus facile que mon périple sur cette planète où on m’a baladé de ton cuirassé à ton Palais. Et justement en parlant d’information, j’en ai certaine qui risque de t’intéressé … - Ah ? Quoi donc ? Va s’y crache le morceau ! Tu veux peut-être quelque chose à boire ? - Non ça ira, je n’ai pas soif, la pièce est-elle sûre ? Il ne faudrait pas que mes informations s’ébruitent trop facilement - Euh, attends … »
Le commandant sortit deux secondes de la pièce et revint avec un brouilleur, qu’il posa sur la table basse près d’eux et qu’il activa, après avoir pris le soin de bien refermer la porte à clef pour ne pas être dérangé.
« C’est bon la pièce est sécurisée en écoute, tu peux y aller ! - Euh, tu es sur ?, le colosse fit un discret signe de la main et dirigea son regard vers le second. - Dois-je-m’en aller mon Capitaine ? , fit celle-ci - Non, reste, ne t’en fais pas K, c’est une personne de confiance, d’ailleurs c’est pour ça qu’elle est mon second, si je ne peux lui faire confiance, je ne peux faire confiance à personne ne ce bas-monde. - D’accord, je me doute de la loyauté de tes soldats, mais j’ai de par mon expérience appris à m’en méfier tout de même. C’est toujours les plus proches collaborateurs qui vous déçoivent le plus, et vous trahissent en premier. - Je le sais ne t’en fais pas. Bon alors, que sais-tu de si important ? - Comme tu le sais, j’ai encore le contact avec de nombreux mercenaires et autres chasseurs de prime en tout genre, et l’autre jour alors que je traînais dans la cantina d’un bouge sur une planète perdu et mal famé, j’ai rencontré un vieil ami qui m’a mis au courant d’une information étrange, il m’a parlé d’une activité anormale dans un secteur éloigné de la galaxie. Des flottes contrebandières ont l’air de fortement défendre une planète, nommé « Mirana ». Je suis alors allé voir ce qu’il en était, tout en restant discret, je me suis donc dirigé dans le proche espace de Mirana, sans toutefois m’approcher de l’orbite, j’y ai alors distingué deux flottes contrebandières relativement puissantes. Enfin rien de plus qu’une base contrebandière bien défendue, mais c’est à ce moment-là alors que je m’apprêtais à m’en aller et rentrer dans mon monde que j’ai vu une flotte rebelle tenté de contourner le système et se poser sur la planète. Alors je me suis dit que certainement que cette rumeur de super arme, enfin encore une de plus, était peut-être fondée, et quelle pourrait intéresser quelqu’un, j’ai alors cherché dans mes connaissances, et me suit dit que tu étais le seul avec les capacités et à être à la hauteur. De plus je sais que tu feras bon usage d’une arme quelle que soit sa puissance … Voilà pourquoi je suis ici, je me propose pour t’amener près de Mirana, afin de t’aider à dérober cette arme ou je ne sais quoi, il ne faudrait pas qu’elle tombe en de mauvaises mains … - Humm … intéressant … tu n’en sais pas plus à propos de cette arme ? Et cette rumeur est-elle fiable ou alors est-ce une ruse contrebandière ? - Une rumeur reste une rumeur mais d’après l’activité que j’ai vu, et les personnes qui m’ont informé, je pense que c’est plus que fiable, et au pire s’il n’y a pas de super arme, piller une planète de contrebandier peut toujours être intéressant. - Je suis d’accord sur le principe, le problème est de savoir comment faire, mon armée n’est pas assez grande, ni forte pour affronter deux vaisseaux amiraux contrebandier, de plus mon Cuirassé, le « Knyaz' Potyomkine» est actuellement en réparation dans l’orbite de Naboo, il ne nous reste que nos chasseurs personnels si nous voulons aller là-bas. - Pas de problème pour moi, mon Ig me convient largement - Ok, partons alors, il faudra juste passer au cuirassé, mon chasseur personnel y est encore. Second, vous nous accompagné ? - Avec plaisir chef ! - Dans ce cas en route ! »
Les trois sortirent alors de la pièce et se dirigèrent vers le hangar du Palais. Là le Commandant alla demander à un officier de logistique d’enlever les systèmes de blocage et de sécurité installés sur le IG-2000, puis se dirigea vers le Bombardier Hetrinar dans lequel il monta. Les deux chasseurs sortirent du hangar du Palais et montèrent en ascensionnel en direction du Cuirassé. Une fois dans la soute de celui-ci, le Commandant descendit du Bombardier Hetrinar et se dirigea vers son chasseur personnel. C’était un Chasseur Miy’til modifié par ses soins, il avait une peinture grise et jaune, avec le symbole de l’Empire sur chacune de ces ailes latérales. Gilb’ fit décoller son chasseur, et alla rejoindre ses deux compagnons qui étaient déjà repartis dans le vide spatial. Le Mandalorien retransmis alors des coordonnées d’HyperEspace à ces deux compagnons. Les trois chasseurs se mirent en formation triangulaire avec l’IG à l’avant, et partirent en vitesse de croisière ….
Le voyage dura à peine une heure et les trois chasseurs émergèrent en même temps en formation dans le proche espace de Mirana. Ils étaient néanmoins assez loin pour ne pas être repéré, la planète au loin ne ressemblait qu’à un disque de plusieurs centimètre de large. Les chasseurs commencèrent alors leur approche rapide doucement, tout leur radar et autres matériels de détection étaient en route, ainsi que les brouilleurs et autres boucliers. Quand la planète fut assez proche, les trois chasseurs s’arrêtèrent. Gilb’ pris alors la parole. « Second, je voudrais que vous retourniez sur Naboo et que vous preniez le domaine en main ! - A vos ordres mon Commandant ! Je m’en vais de ce pas administrer le domaine pendant votre absence. Avez-vous des consignes particulières ? - Toutes les consignes d’urgence se trouvent dans mon bureau, dans la console principale avec un codage classique … K ? Voudrais-tu escorter Linda vers Naboo, je vais continuer seul à partir d’ici, je vais en profiter pour tester le nouveau système de brouillage/camouflage installé sur mon chasseur, si j’ai de la chance ils ne me verront pas, sinon j’aviserai … - Si tu le souhaite ainsi ! Je retournerai sur Naboo et profiterai de l’hospitalité de mes hôtes quelques jours, si dans trois jours je n’ai pas de nouvelle de toi je débarquerai sur Miranda avec le maximum de mercenaires que je pourrais débaucher. Bonne chance à toi ! »
L’Ig-2000 et le Bombardier Hetrinar manœuvrèrent et repartirent dans l’Hyperespace en direction de Naboo laissant Gilbertaes seul. Il se mit alors à avancer doucement en direction de Mirana. Les déflecteurs avant étaient mis à une puissance supérieure à la moyenne au dépend de ceux des cotés, et le radar scrutait le vide autour du chasseur. Gilb’ activa alors les modules de brouillage, ainsi que son nouveau module de camouflage. Il espérait que celui-ci fonctionnerai correctement, car c’était la première fois qu’il le testait. En s’approchant de plus en plus de la planète, et en entrant dans l’atmosphère supérieure, le Commandant remarqua des patrouilles de chasseurs planétaires au loin, proche de la surface. Il faisait tellement attention à leur direction, afin de vérifier s’il avait été repéré, qu’il ne remarqua pas la grosse forme qui évoluait vers lui. Soudain, il remarqua l’ombre qui était projeté à la surface de la planète, instinctivement il fit virer son chasseur pour faire face à la masse … C’est alors qu’il se retrouva nez à nez avec un vaisseau contrebandier, sans même l’analyser longuement Gilb’ reconnut ce vaisseau, c’était l’AibuSHi, le vaisseau amiral de Namida, contrebandière qu’il avait déjà rencontré sur maints champs de bataille. Gilb’ activa doucement ces rétro-propulseurs pour s’éloigner doucement de cette zone dangereuse. Le vaisseau se mit à reculer à vitesse réduite, le module de camouflage avait l’air de faire l’affaire, car aucune activité ne permettait de dire si le contrebandier l’avait vu. Dans le doute, le Commandant redoubla de vigilance et se tint près à inverser la propulsion et à partir dans de magnifiques acrobaties aériennes. Le vaisseau reculait, reculait, et soudain le commandant crut déceler comme une perturbation électromagnétique et puis soudain un éclair de lumière jaillit autour du vaisseau. « Hé merde ! C’est râpé pour la discrétion …Encore un système à la noix qui tient vingt minutes et vous lâche au mauvais moment » pensa le Commandant. Il stoppa alors les moteurs en remarquant qu’il était trop près du vaisseau contrebandier pour fuir discrètement, mais trop loin pour s’y coller et échapper ainsi à des salves de missiles ou autres cadeaux de la part d’un contrebandier … Il bascula alors de son poste de pilote pour fouiller dans la soute à la recherche d’une solution. Il y trouva là quelques grenades IEM, et d’autres thermique, un couteau simple et un à pointe de diamant, qui pouvait couper de nombreuses matières assez facilement, du fil résistant, de la colle super forte, un système avancé de piratage électronique déguisé en comscan et son armure légère de type mandalorienne, mais rien de bien intéressant pour réparer le module ni de plan de secours magique pour sortir du foutoir dans lequel il était. Gilb’ enfila alors son armure qui était légère mais résistante et qui avait certains gadgets intéressant comme une lame rétractable intégrée dans la manche droite, et un lance-grappin dans la manche gauche, ainsi qu’un lance-fléchette, équipé de fléchettes soporifiques. Il enfila ensuite le casque avec visière en T, si caractéristique, où été intégré un système audio avec lequel on pouvait communiquer sur les longues fréquences, et surtout un système de vision type « nocturne » et « Infra-rouge ». Le système armure et casque contenait aussi un système de survie, avec une bouteille d’oxygène bien protégé dans le dos et un masque à gaz dans le casque. Il y avait aussi des doses de bacta dans les poches utilitaires. Gilb’ ne savait pas s’il allait réussir à se sortir de cette situation, mais en tout cas s’il était coulé, en s’éjectant, il pourrait survivre quelques jours dans le vide stellaire. Le Commandant réfléchit aux solutions qui s’offrait à lui quand il entendit sa radio grésillait.
« Vaisseau Inconnu, Ici le AibuShi, veuillez vous identifier sur-le champ, vous êtes dans une zone restreinte, identifiez-vous ou nous vous abattrons. - Bonjour AibuShi, ici le Chasseur Miy’til « Freedom » du Commandant Gilbertaes. Une zone restreinte ? Ah ba désolé j’avais pas fait attention ! Je crois que je me suis égaré … - Ne bougez-plus, nous allons vous tracter à l’intérieur de notre vaisseau, n’essayez pas de fuir ou vous serez inévitablement abattu »
L’AibuShi dans un grondement activa son rayon-tracteur, le Freedom se mit alors à avancer doucement vers le vaisseau. Après quelques instants, celui-ci se posa doucement dans un vaste hangar où de nombreux soldats et système de sécurité tenait en joue le chasseur. Une fois posé, des systèmes d’amarrage encrèrent solidement le chasseur. Les moteurs coupés, Gilb’ ouvrit son cockpit et descendit de son vaisseau en enlevant son casque, le posant par terre puis leva les mains pour signifier qu’il ne tentera rien. Là deux groupes de soldats s’écartèrent laissant place à un homme de grande taille, sec et élancé, qui portait un uniforme rouge avec divers dessins montrant son appartenance à l’armée Larmienne. Arrivant à hauteur du Commandant, il pris alors la parole. « Bienvenue à bord de notre vaisseau, je me présente, je suis Seyku, Commandant Suprême de la flotte Larmienne. Ce n’est pas tous les jours que nous avons des invités surprise. Veuillez-me suivre, je vous pris ! - Ok, après vous. »
Gilb’ ramassa son casque et suivit Seyku, deux Larmes les précédaient, et deux autres les suivaient. Ils avancèrent dans le vaisseau, en évoluant de coursives en coursives. Il passèrent devant de nombreuses salles, puis arrivèrent dans un hangar, plus petit que l’autre. Dans celui-ci se trouvait une navette lambda repeinte des symboles contrebandier. Seyku demanda à Gilb’ de rentrer à l’intérieur, celui-ci lui obéit, et deux des quatre soldats entèrent avec lui dans la navette. Les portes se refermèrent, et la navette décolla. Une fois sortit du vaisseau, elle se dirigea droit vers Mirana. N’ayant pas de hublot pour voir, Gilb’ se demanda ou cette navette l’emmenait. Une sensation étrange mêlée de stress et d’excitation s’empara de lui. Il ne pensa alors plus à rien, et fit le vide dans son âme. Au bout d’à peine cinq minutes, la navette ne fit plus un bruit, Gilb’ émergea alors de sa torpeur quand un soldat lui somma de descendre de la navette et de le suivre. La navette s’était posé dans un hangar sombre et glauque, fait tout en béton, et avec une grande porte en ferraille à moitié rouillée qui fermait le sas d’accès aérien dans un bruit affreux. Escorté des deux soldats Gilb’ suivait sans vraiment savoir ce qui l’attendait. Après avoir traversé différents couloirs, les soldats l’emmenèrent dans un ascenseur. Ils montèrent alors au moins cinq étages plus hauts. Quand la porte s’ouvrit le décor était tout à fait différent des couloirs sombres qu’il avait traversé jusque là. Les minuscules coursives en béton étaient remplacées par de large couloir tapissé. Les soldats le menèrent alors devant une grande porte en bois. L’un d’eux rentra puis ressortit et fit signe à Gilb’ de rentrer dans la salle. La salle était grande et richement décoré, son parquet luisant reflétait les tapisseries qui ornaient les murs. Au fond de la pièce, une immense porte-fenêtre amenait à un balcon, on pouvait voir l’extérieur, la végétation de la planète était luxuriante avec des forêts et des plaines dans le lointain. Au milieu de la pièce se trouvais différents fauteuils en riches étoffes. Sur la droite se trouvait un bar qui était rempli de bouteille en tout genre. C’est là que Gilb’ y vit Namida, celle-ci s’était servi un verre et alla s’asseoir sur un fauteuil.
« Gilbertaes, c'est une agréable surprise. - Namida ? Je ne m'attendais pas à... - Comme si tu n'avais pas reconnu AibuShi, voyons mon ami, ne feints pas l'ignorance.. que fais-tu par ici ? - Je me suis dit que je pourrais te rendre visite... - Sans avoir reconnu mon vaisseau et en étant camouflé ? »
Namida partit d'un petit rire bref, cristallin, tandis que Gilb' commençait à transpirer
« Je me suis perdu ? - Tu as déjà trouvé mieux comme excuse...' un silence ' en fait, non, tu n'as jamais su mentir. Et si tu en venais directement au fait ? - Bien, l'impérial déglutit, des rumeurs circulent au sujet de cet endroit, j'ai voulu vérifier si elles étaient vraies... - Des rumeurs ? Tiens donc, et sur quoi portent-elles ? - Une arme serait en construction, ou même terminée et entreposée ici... j'ai voulu m'assurer que si c'était le cas elle ne tomberait pas dans de mauvaises mains alors... - ... Veux-tu un verre ? - Manzana pomme. Alors, comme je disais, me voilà. »
La Suzeraine prit le temps de servir Gilbertaes, avant de lui sourire et de répondre.
« Tu as raté la réception que John a donné hier, peut-être peux-tu rejoindre ceux qui veulent visiter la ville pour s'en assurer ? - Ceux ...? - Oui, tu n'es pas le seul à vouloir t'assurer du fondement de cette rumeur. » …
Gilbertaes le 2008-03-09 22:36:43
05/03. - Voyons un peu nos messages... :
Clone 2312 : -salut jaité insecri a ossu il faut que je re
- Ouh là ! Euh... C3PO ! J'ai besoin d'une traduction !
...
- Ah il veut simplement que j'ouvre son accès à Ossus ? Ok mais dis lui que s'il s'exprime dans ce dialecte inconnu, il aura des problèmes de communication.
...
- Hein ? Pas inconnu pour toi C3 ? Oui, je sais que tu parles 6 millions de formes de communication... et blablabla...
- Bon ben dis-lui que ce son accès sera ouvert plus tard parce que Ossus rame à mort et j'ai plus le temps là.
Réponse de Clone 2312 : ok je lui fkrtaf maka
- C3PO ! J'ai encore besoin de toi !
Cette fois-ci, les yeux lumineux de C3PO devinrent rouges et il se mit à baragouiner bizarrement : « Mirana... Contreb... Techno... Senseurs... »
C3 ? Que racontes-tu là ? Je ne sais pas maître, c'est... ce message de Clone 2312... Je crois que je vais aller réclamer un bain d'huile et une révision de mon processeur de traduction après cette dure épreuve !
Quelques jours plus tard, un technicien frappa à la porte du bureau... « Conseiller Einstein ? J'ai révisé le processeur de traduction de C3PO et j'y ai trouvé un fragment de message codé... Je crois que vous devriez y jeter un coup d'oeil... Mmmh ? Oui bon... posez ça là... entre Ossus qui déconne, l'élection pour le gouverneur de Hoth, les dossiers du Conseil et la défense de mon PdF à organiser, je n'ai pas le temps... merci quand même. »
Dimanche 9 mars, le nouveau Gouverneur de Hoth venait d'être désigné officiellement à toute la rébellion, le nouveau Conseil se mettait en place tranquillement, Einstein pris le temps de ranger un peu les papiers qui encombraient son bureau. Il retrouva le message apporté par le technicien.
« Mirana... Contreb... Techno... Senseurs... Contreb, ça doit vouloir dire contrebandiers ; techno, c'est technologie ; senseurs, c'est on ne peut plus clair ; Mireva... c'est peut-être le nom d'une planète ? Effectivement, il faut que la rébellion examine ça de plus près ! Que nous mijotent encore ces filous de contrebandiers ? »
Un coup d'oeil sur Ossus (qui cette fois fonctionnait normalement, pourvu que ça dure !) lui permis de constater que d'autres rebelles avaient capté le message. Il était question d'une nouvelle technologie de senseurs développée par un contrebandier sur une planète non répertoriée appelée Mirana.
Einstein décida de mener lui aussi son enquête. Puisqu'il s'agissait d'une technologie de senseurs, mieux valait ne pas y aller trop équipé. Même un sabre laser pourrait sans doute être repéré. Il faudrait se contenter de la Force pour cette aventure. Une planète contrebandière ? Mieux valait se faire passer pour un modeste marchand... un marchand d'épices aux vertus... disons persuasives pour qui sait s'en servir.... Une twilek qu'Einstein connaissait bien pourrait lui en procurer sans difficulté...
Après un détour aux archives Jedï qui lui donnèrent les coordonnées de la planète Mirana, Einstein s'embarqua dans son vieux X-Wing avec ce strict minimum.
L'arrivée sur Mirana se passa sans difficulté. Par précaution, il avait choisi de se poser à quelques distances d'une petite ville marchande pour ne pas attirer l'attention. Chargé de son sac rempli de sachets d'épices diverses, il se dirigea vers la ville. Près de l'entrée de celle-ci, il adopta une démarche fatiguée correspondant davantage à celle d'un marchand ayant parcouru un long trajet à pied.
Einstein, 09/03/08
Einstein le 2008-03-09 22:32:49
A bord du vaisseau amiral L'Executeur, tout l'équipage etait en ébulition depuis la récente victoire de l'Empire sur les rebelles. Mais l'amiral Piett n'était pas aussi joyeux que tout l'équipage car il avait entendu parler d'un certain contrebandier dénomer John qui aurait découvert une toute nouvelle technologie qui permettrait de donner un énorme avantage sur cette guerre à l'homme qui la possèderait. L'amiral Piett avait demandé a son meilleur pirate informatique de vérifier si ces inormation etaient vraies, et si oui de trouver où se cachait cette fameuse invention. Tout à coup, l'amiral piett fut interrompu dans ses pensées par Triggit son pirate informatique. T:_ Amiral, j'ai tyrouvé ce que vous cherchiez tout est vrai... A.P:_ Ou as-tu trouvé ces informations Triggit? T:_ ma source est sûre, il y a peu de temps un contrebandier en provenance de Mirana s'est fait capturer par un vaisseau rebelle; ils l'ont interrogé et il a dit qu'un certains contrebandier john avait conçu quelqechose qui pourrait faire tourner la guerre en faveur de celui qui la possède..... l'amiral Piett l'interrompt A.P:_ Je sais déjà tous ça! ce qui m'intéresse c'est de savoir où est cacheé cette fameuse technologie. T:_ Toute mes escuses, amiral.Apparemment, le cotrebandier l'auraitcahé dans une base secrète sur Mirana. A.P:_ Très bien, Capitaine Darillian cap sur une planete où une lune la plus proche de Mirana D:_ A vos ordres. Pendant que le capitaine Darillian donnais ses ordre l'amiral Piett se dirige vers sa cabine, et demande qu'on lui amène le lieutenant Sunber. Quelques instands plus tard dans la cabine de l'amiral: A.P:_ Lieutenant Sunber, j'aurais bessoin d'un équipement de survie adapter a l'environement de Mirana ainsi qu'un appareil qui me permettrait de forçer n'importe quelles serrures. S:_ Bien amiral je vais vous trouvez tous cela. Sunber s'en va et Triggit rentre. A.P:_ Triggit, il me faut les plans détaillés de cette base sur Mirana.Vous avez 24 heures; ce délaipassé vous risquez de ne plus pouvoir pirater quelquechose de toute votre vie. T:_ A vos ordres, amiral je ne vous désevrait pas, je mes au travail tout de suite. Triggit sort,laissant l'amiral Piett tout seul avec ses pensées. L'amiral Piett savait qu'en faisant régner une discipline de fer sur ses subordonnés, il obtiendrait tout ce qu'il voudrait. 20 heures plus tard, triggit détenait le plan de la base de John.Pour cela il avait du infiltré tout le réseau informatique de Mirana. Tandis que de son côté Sunber s'était procuré l'equipement nécessairepour une infiltration c'est à dire: -L'équipement de survie. -Un décodeur de mots de passe pour ainsi ouvrire n'importe quel porte de la base secrete de John. -Un sniper avec silencieux. -Et un camouflage optique adaptable à n'importe quel environement. A.P:_ Bon, maintenant Lieutenant vous aller m'expliquer par où je devrais m'infiltrer pour récuperer cette technologie. S:_ Bien, pour commencer vous devrez... Quelques heures plus tard, tout etait mis au point.L'Executeur etait en orbite autour de la lune de Folor tout près de Mirana. A.P:_ Capitaine Darillian, je vous confie le commandement de l'Executeur, je serais de retour tres vite normalement si je n'est pas pris contacte avec vous d'ici 1 semaine envoyer une équipe sur place. D:_ A vos ordres, Amiral. Quelques heures plus tard l'amiral Piett arrivait à destination du spatioportr de Mirana. Il soudoya les controleurs pour qu'ils ne laissent aucune trace de son passage sur la planete.
Piett le 2008-03-09 14:03:13
Une nouvelle saison de chasse galactique commençait. Déjà, sur la planète Isélia, les bataillons de marines se regroupaient sur le site d'embarquement.
Il faisait beau et le soleil réchauffait les soldats levés de bonne heure, se reflétant dans leurs casques. Mais rapidement celui-ci disparu, laissant place à l'ombre imposante d'une frégate d'assaut rebelle. Ce bâtiment, frappé des armoiries du <> était le vaisseau amiral de la flotte <>, sous le commandement de Luxorion.
Le ciel tout entier fut bientôt totalement rempli de chasseurs et autres croiseurs sortis d'hyper espace. Un groupe de canonnière d'assaut se détacha de la masse et vint se poser non loin des marines. Ceux-ci embarquèrent et rejoignirent le reste de la flotte qui se mit alors en mouvement pour quitter la planète.
A l'intérieur de la frégate principale, un officier de communication marche à pas pressés en direction des quartiers de l'amiral. Arrivé à sont but, il entre dans la pièce s'apprétant à interpeler son supérieur. Mais à sa grande surprise, il n'était pas là.
Il se remit donc en route, sillonnant les couloirs étroits du bâtiment à une vitesse peu raisonnable. Au tournant de l'un de ces couloirs, il ressenti un choc sur le front et fut repoussé en arrière. Ce fut si soudain qu'il en tomba sur son postérieur. L'objet qu'il venait de percuter se révéla être l'amiral, qui avait une drôle d'expression, entre l'étonnement, la colère et la moquerie.
''-Ah monsieur! Je vous cherchait justement.
-On peut dire que vous êtes <> sur moi, répondit le supérieur d'une voix calme.''
Un peu gêné l'officier repris: ''-La femme que nous soupçonnions être un agent infiltré d'une faction ennemie, Anael je crois.
-Vous croyez, coupa l'amiral.
-J'en suis sûr. Elle s'est volatilisée, enfin non puisque nous avons pu la suivre en réalité.
-Venez en au fait s'il vous plait.
-Elle s'est rendue sur la flotte du contrebandier John monsieur, qui s'est mise en route peu après.
-Et bien entendu vous n'avez pas eu le temps d'intercepter les coordonnées de saut et vous avez perdu sa trace comme toujours.
-Hehe, non monsieur! Nous avons pu suivre John et sommes tombé sur la planète Mirana répondit fièrement l'officier.
-J'en suis, je dois l'avouer, surpris mais content. Vous venez à peine de vous éviter une semaine de corvées, car cette discution était pour le moins inutile jusque là.''
Luxorion s'avança alors d'un pas vers son subordonné qui recula instinctivement. Il donna l'ordre de faire retourner le Luxor sur Isélia.
Une planète contrebandière n'est pas à attaquer de front, surtout si il s'y trame quelque chose de peu clair pensa l'amiral. Il décida donc de rassembler quelques affaires et de prendre un petit cargo furtif pour aller vérifier la situation sur place.
Cet équipement comprenait: Des jumelles à filtres thermique et énérgétique, une ration de survie, trois ampoules contenant un sérum universel en cas d'infection ou empoisonnement, un passepartout contrebandier qu'il avait pu s'offrir pour quelques crédits dans un bar mal fréquenté, un terminal portable pour la récupération de données éventuelles et évidement... un couteau Usisse avec tire-bouchon!
Il embarqua dans le cargo et pris la direction de Mirana, qu'il atteignit rapidement. Tous systèmes de brouillage et camouflage activés il engagea la rentrée atmosphérique. Une fois la couche de nuage traversée, la planète semblait déserte. Recouverte d'une mer et d'une foret immense.
Le cargo se posa en foret, sur une petite clairière. L'amiral, harnaché d'une combinaison supportant son matériel posa pied à terre. La combinaison comportait un brouilleur de senseur et une commande d'appel du cargo.
Luxorion vérifia une dernière fois son équipement, puis se mis à marcher un direction du seul bâtiment de la planète qu'il avait pu repérer.
luxorion_35 le 2008-03-09 13:31:21
« Transmission du vaisseau amiral Nightbringer depuis le secteur contrebandier au général Kirtash à Trantor. Début de transmission. Général, j’ai considéré cette affaire assez urgente pour vous la faire parvenir personnellement et cela sans passer par la voie hiérarchique. J’espère que vous me pardonnerez cette effraction. Nous avons, il y a quelques jours, intercepté un message contrebandier venant de Mirana signalant qu’une nouvelle technologie soit disant dévastatrice découverte par des contrebandiers. Si je puis me permettre mon général, mon intuition me dit que cette technologie ne devrait pas être négligée. Fin de transmission. »
L’hologramme de l’amiral Pritcher disparut. Kirtash considéra avec calme la situation. Il savait que l’intuition de Pritcher avait déjà fait ses preuves de nombreuses fois. Mais quelle serait donc cette nouvelle technologie ? Il fallait le découvrir à tout prix car les contrebandiers commençaient à devenir gênants ces derniers temps pour les voyages en trous noirs. Il devait donc y envoyer un homme, mais en cette période si difficile politiquement il ne pouvait compter que sur son conseiller Millambert. Mais lui ? Aller en mission ? Il n’était que bon diplomate alors que lui, Kirtash, avait fait ses débuts dans les forces spéciales. Il devrait donc y aller lui même. Trois jours plus tard, il était à bord de son X-Wing avec pour destination Mirana. Millambert assumerait le commandement pendant que lui serait en mission. Il espérait en revenir car il savait combien les contrebandiers étaient retors. En un bond hyperspatial, il fut en vue de Mirana, il traversa son atmosphère et se posa dans la clairière abandonnée que lui avait indiquée Kirtash.Le cockpit du X-Wing j’ouvrit, il posa pied à terre et enfila sa combinaison d’espionnage. La mission allait maintenant commencer.
kirtash le 2008-03-08 10:02:36
Le lieutenant Ol se met en campagne |
[Jour J]
Tout avait été de travers en ce jour. Pourtant la journée avait bien débuté. Et maintenant, voici que le jeune lieutenant Ol est dans une cellule, quelque part sur Mirana, prisonnier des Contrebandiers. Enfin, après réflexion, c'était peut-être une journée de chance, puisqu'il n'était pas mort...
[J-3]
- Lieutenant, Lieutenant!! crie un enseigne de vaisseau, courant dans les couloirs - Bonjour, qu'y a-t-il de si important aujourd'hui? Ne me dites pas que nous avons perdu nos def TIE, comme hier... (menacant) - Non, nous avons détecté une sortie d'hyper espace de le flotte du contrebandier John près de Mirana. - Et alors, c'est une de ses planètes, quoi de plus normal? - C'est pas le coin le plus intéressant de la Galaxie... Et puis des rebelles ont l'air de s'en préoccuper... - Peut-être veut-il prendre des vacances, cela lui ferait du bien. Quant aux rebelles, localisez-les, nous irons leur dire bonjour. - ... - Merci
Après cet intermède, il était temps pour le lieutenant de faire son rapport devant l'amiral Barnabe. - Enseigne, mettez-moi en communication avec l'amiral Barnabe
- Bonsoir Amiral - Bonsoir Lieutenant. J'espère que vous avez fait de bonnes prises ces derniers temps
Mais pas de planète prise, pas de flotte détruite, aucun résultat montrant sa bravoure.
- Euh ... Nous avons de bonnes raisons de croire que le contrebandier John soit construit une nouvelle flotte puissante, soit développe une nouvelle technologie, dit Ol tout en pensant 'Soit il prend du repos avec quelques Twi'lek' Je pensais donc pouvoir mener une mission de reconnaissance ...
Et voilà, mission remplie. Ol est investi d'une mission (inintéressante, mais bon) et surtout il a pu cacher son manque de réussites!
[J-2]
- Préparez deux vaisseaux avec camoufleurs. Seuls ces 2 vaisseaux, des Croiseurs légers carraques modifiés pour l'infiltration, partiront, la flotte sera gérée par le sergent Foo en mon absence. - Vous partez? Ne devriez-vous pas laisser les droides effectuer la reconnaissance, et diriger votre flotte? - Votre avis ne m'intéresse pas, sergent!
/* A bord du vaisseau transpa1 */ - Pilote, Calculez la trajectoire, et GO! - A transpa2, dès que nous approcherons à moins de 10 parsecs de Mirana, commencez vos mesures d'energie, voyez combien de personnes vivent sur la planète, détectez tout ce que vous pouvez. Nous ferons 2 passages, enregistrez tout. - Arrivée sur cible dans 40h, dit le pilote
[J, quelques heures plus tôt]
Le deuxième passage se déroulait bien. Quelques sites sans importances, John était assurément là pour profiter des belles plages et du sable fin, comme Ol l'avait tout de suite pensé. Pensant justement aux regrettées plages de 11, le lieutenant fut interrompu par le pilote - Accrochez-vous, 2 missiles sur nous. Impact probable dans 25 secondes - Quoi? Mais comment se fait-il? Nous sommes invisibles! - Apparement pas! Le missiles se dirigent droit vers nous. 5 secondes Boum - Ouf, on dirait que vos acrobaties ont servi à quelque chose! - Non, c'est transpa2 qui se l'est pris. Le deuxième missile se dirige vers les débris! Re-Boum - Nous sommes atteints! Le générateur est en endommagé! - Et me***! Essayez d'atteindre la planète, Peut-être serons-nous prisonniers, mais nous serons vivants! Ol pensa que faire 2 tours avait été une mauvaise idée. Leur signature, bien que très faible, avait dû attirer l'attention d'un controleur trop zelé lors du second passage. Par contre, il était étonnant d'avoir de telles mesures de sécurité, lancer presque au hasard deux missiles... Finalement, peut-être John n'est-il pas là que pour la plage...
[J]
Evidemment, prisonniers, ils l'étaient. Son pilote, lui-même, et quelques barres chocolatées que les mercenaires à la solde du contrebandier John leur avait laissé. Pas brillant! Ah, et aussi beaucoup de courage, sa montre étanche avec 2 fuseaux horaires, et sa ceinture. Ceinture améliorée d'une puce qui le localisait et enregistrait tous les sons, avant de les transmettre au vide sidéral. Enfin, tant que son vaisseau ne sera pas totalement ravagé par le feu.
Le croiseur carraque transpa1 transmis donc, avant d'exploser - 'Objectif 1 accompli. Suis dans la base. Venez me cherchez à ces coordonnées. Le secret est' Communication interrompue. Diagnostic : perte de l'émetteur.
ol le 2008-03-08 09:50:02
Un cri perçant déchira le sombre voile de silence qui pesait sur cette nuit sans lune. Un volatile gigantesque aux couleurs lugubres quitta une des hautes branches d’un arbre séculaire ; probablement en quête de sa future proie. Au pied de l’arbre deux yeux couleurs de glace semblaient vouloir suivre sans cesse l’envol du prédateur. Uriel se tenait la, assis depuis des heures et son esprit divaguait a nouveau vers ses souvenirs, pas si lointain que ça pour une fois. Comment s’était il encore fourré dans ce pétrin se demandais t’il.
Deux jours plus tôt, planète Corneria dans la bordure extérieure.
« Une fois de plus cette cantina ne déroge pas a la règle ! » dit Uriel en poussant la lourde porte de l’établissement. D’un pas sur il se dirigea vers une petite alcôve sombre et crasseuse. A peine installé devant un breuvage à l’allure douteuse, un petit être emmitouflé dans une cape jaunâtre vint s’asseoir face a lui. Ses petits yeux luisants parcourant rapidement toute la salle, il semblait inquiet et pressé.
« Allons donc Heineken, cesse donc de jouer les espions furtifs et consciencieux, nous savons très bien toi et moi que tu n’est qu’un petit rat puant ! » dit brusquement Uriel. Le petit être tortueux sembla s’offusquer un instant mais cessa immédiatement ses simagrées pour se renfrogner au fond de la banquette.
« Veuillez m’excusez Capitaine mais je suis porteur d’une information extrêmement inquiétante concernant toute la galaxie. »
« Allons donc » répondis le jeune capitaine «Et cela est sûrement plus important que mes affaires en cours pour que tu fasse déplacez jusqu’ici en utilisant le code d’urgence que je t’ai donné; cela concerne donc directement la sécurité de l’Empire je suppose; du moins je l’espère pour ton intégrité physique ! »
Un brusque frisson glacé secoua l’espion l’espace d’un instant.
« Mon seigneur cela concerne ..un …..contrebandier »
Uriel se leva brusquement et commença à quitter la table
« Abot ! » souffla le petit espion.
S’arrêtant net, Uriel se força au calme avant de se retourner et de planter son regard glacé dans les yeux de son interlocuteur.
« Dit moi tout » dit il d’un ton froid.
Sans un mot, Heineken fit glisser une datacarte sur la table quand soudain il stoppa net son geste. Les yeux grands ouverts, un trou fumant au milieu de ceux-ci, Heineken expirait son dernier souffle. Des dizaines de commandos d’élite faisait déjà éruption dans la cantina a la recherche du tireur mais il était trop tard. Ramassant négligemment la précieuse datacarte Uriel rejoignit son escorte afin de rallier le Vengeur en orbite au dessus de la planète.
Planète Mirana, secteur Gamma.
Une main solide agrippant son épaule vint tirer Uriel de sa torpeur. Amrael, son dévoué second, se tenait près de lui.
« Les premières reconnaissances sont terminées capitaine, nous allons pourvoir commencer la progression. »
Le regard encore flou, Uriel regarda le jeune homme.
« Très bien lieutenant, vérifier nos troupes et rendez compte. »
Joignant le geste à la parole, Uriel commença à vérifier son équipement. Outre les divers attributs de son plastron camouflé qui renfermait le parfait petit nécessaire de survie galactique dans ses nombreuses poches, il avait pris soin de prendre avec lui quelques outillages spécifiques a la mission, tel que des macro jumelles N-tech2356, un lot de crochetage universel, un datapad spécialement préparer par son analyste afin de pouvoir pirater d’éventuelles données, une trousse de soin complète contenant assez de sérum en tout genres pour vacciner un régiment de stormtrooper.
Las de fouiller son sac, Uriel leva les yeux sur ses troupes. Un petit commando d’une douzaine d’homme spécialement affrété pour cette mission dangereuse. Tout c’était passé si vite depuis cette fameuse datacarte.
La veille, passerelle du croiseur Vengeur, secteur Gamma.
« Capitaine nous venons d’entrer dans le secteur Gamma, balayage en cours ! »
Uriel se tourna vers la baie de transpacier pour faire face à son second.
« Merci lieutenant, dès que tout est en ordre mettez le cap vers la cible, approche lente et scan passif, je ne veut pas être repéré trop tôt. »
Replongeant les yeux sur son écran où défilaient les données de la datacarte récupérée la veille, Uriel était plongé dans une intense réflexion.
« John, John, John, qu’est ce que tu mijote encore ! Assurément quelque chose de rentable pour toi et tes petits amis mais quoi donc. »
Le voyage jusqu'à la cible s’annonçait long et cela allait lui laisser assez de temps pour étudier cette sombre histoire de nouvelle technologie.
Planète Mirana.
Un rouge noirâtre recouvrait la clairière. Les hautes se couchant sous les vents violents. Assis sous un arbre en bordure Uriel observait le terrain. Une bourrasque fît voler à ses pieds un casque noir rayé de vert. Baissant la tête il examina le morceau d’armure qui contenait encore la tête de son propriétaire. Relevant les yeux Uriel contempla le spectacle désolant de son unité de reconnaissance qui gisait ça et la au milieu de la clairière. Les corps décimés, les visages tordus par le douleur et l’effroi et l’odeur insoutenable du sang répandu. Six de ses hommes avait trouvés la mort ici. Une mort violente et abominable.
Se tournant vers le reste de son unité, qui malgré l’horreur du tableau, ne laissait transparaître aucune peur dans leur regard, il se leva doucement.
Rassemblant ses affaires il s’adressa a son lieutenant :
« Amrael, prend les gars avec toi et repart a la zone d’atterrissage, établis un périmètre de sécurité et attend moi la bas. »
Le jeune lieutenant aurait aimer protester mais il avait compris, au ton de la voix de son supérieur, que cela ne servirait a rien.
Alors que les rescapés repartaient vers la navette, Uriel entama sa progression vers le nord. Au milieu du paysage apocalyptique de la planète maudite, il était désormais seul et cela était mieux ainsi.
« John, mon très cher John, tu vas me payer ça mon ami ! »
Sa quête commençait donc ici mais au delà de la recherche de cette nouvelle technologie, Uriel poursuivait un autre but, qui lui tenait d’autant plus a cœur.
uriel le 2008-03-08 09:04:33
Dans les confins de l'univers , une scène maintenant courante depuis le début de la guerre se déroule dans une petite ruelle arriérée d'une grande citée , un groupe de jeune individu encercle quelque chose à terre .
_ Pt'ain , j'ai même pas envie de lui faire les poches , hey ! Clébard ça va ? Tu chlingues sac à merde !
_ Oh vas y gros, j'lui pisse dessus !
Un groupe de jeune voyou était donc entrain d'extérioriser leur envie de révolte auprès de la société , évidemment sur un pauvre clochard à l'agonie régurgitant , peut à peut ,les litres emmagasinés auparavant . La bande de jeune continuait toujours leurs rite humiliant jusqu'à ce que de lourds bruit de pas résonnant sur le sol vinrent perturber leur étrange coutume . Un homme se présenta devant eux , blaster à la main , le vent froid parcourait sa cape noir et sa magnifique chevelure . Bien que possédant un seul oeil, le regard de l'homme dénoué de crainte et son visage balafré imposait une terrible pression . Une tête de mort ornait son torse , le doute n'est plus possible , il s'agit du puissant corsaire : Albator .
_ Dégagez .
Troublé par cette apparition , et surtout intimidé par le blaster et la prestance de l'homme , les petits délinquants ne cherchèrent pas complication et s'en allèrent .
_ On m'avait prévenu , mais je ne m'attendais quand même pas à sa . Je perd sûrement mon temps ... Aldo , j'ai un service à te demander !
L'ivrogne ne pouvait pas répondre , l'on distinguait juste quelque grossièretés aux milieu de balbutiement presque inaudible . Le corsaire décida donc de ramener son ex compagnon d'arme à bord de l'Atlantis . Deux jours après ( le temps de décuver) une conversation sérieuse pu enfin avoir lieu dans les appartements du célèbre capitaine .
_ Tu me pardonneras de m’initier dans ta vie Aldo , mais je pense avoir besoin de toi pour une mission relativement importante . Les contrebandiers se sont emparés d’une nouvelle arme , nos troupes sont dispersé pour le moment , et nous n’avons pas d’indication précise . Nos espions Bothan ont été affirmatif uniquement sur une chose , cette nouvelle arme se trouve sur Mirana . Cette planète est gouverné par l’infâme John , un type véreux et fourbe . Et tu le sais tout aussi bien que moi , les bothans ne sont pas dignes de confiance , ils peuvent retourner leur veste d’un moment à un autre , il est difficile d’avoir confiance en eux . J’ai bien réfléchi à la question , et tu me sembles la personne la plus adéquat pour cette mission .
Les mains du Céréen tremblaient à cause de l’inexistence d’alcool dans son sang , ses liens avec la force avaient été rompu depuis plusieurs années . Cependant , une lueur était enfin réapparut dans ses yeux , on pouvait distinguer l’excitation monter en lui .
_ Qu’attends tu de moi ? Je suis partant .
*Une légère satisfaction apparut sur le visage habituellement impassible du capitaine corsaire.
_ Alors voila, il est assez difficile de s’introduire sur Mirana , cependant , les cargaisons de whisky corellien passent toujours , tu me suis ? Tu embarqueras donc sur un cargo qui se rendra sur Mirana transportant du whisky. Tu joueras le rôle du négociant en whisky ,il n’est pas rare de voir des vendeurs d’alcool abusez un peut de leur produit … Avec tes traits durcis et coloré par ton abus de consommation d’éthanol tu seras parfait dans se rôle , et tu profiteras de ton escale pour débarquer sur la planète . Dis moi si je me trompe , le whisky sa te connaît ?
*Aldo se mit à saliver
_ Bien , une petite cale protégée contre les différents rayons qui pourraient sonder le vaisseau sera aménagé et camouflé . Tu y trouveras le minimum nécessaire pour ta mission d’infiltration , à savoir :un Scanner Portable , Module de Défense Personnel A3AA , un disrupteur , un comlink , des vivres , tes vêtement de clochard et pour finir , un transmetteur miniaturisé que l’on appel « poussière » , des crédits , une paire d’electrobinoculaires , et pour finir une petite unité astromech ( pour plus d’info http://www.starwars-holonet.com/index.php?url=holonet_complet§ion=6&classe=1 ) . On te feras un gros paquetage, du haut de tes 2m10 , tu devrais arriver à caser tout sa sur ton dos .Tu l’as donc compris, tu infiltreras cette planète en temps que clochard , je suis sur que tu seras parfait dans ta couverture . Bonne chance , on interviendra peut être si tu peut nous fournir plus de précision .
Aldo le 2008-03-08 00:51:32
Luc était tranquillement installé dans son bunker de commandement , regardant les rapports de défaites tomber les uns après les autres , quand un message du Service des Opérations Spéciales lui parvint :
'Avons captés par erreur message . Origine inconnue . Non-Crypté . Le voici :
-N'oubliez pas les gars , cette opération doit rester secrète , personne ne doit savoir que nous savons que les contrebandiers développent une nouvelle technologie sur Mirana , sinon ils sauraient que nous savons et ils nous tendraient un piège !
-Harry , t'es sur la mauvaise Fréquence ...'
Luc resta pensif à l'écoute de ce message . Comme d'habitude le SOS ne lui avait donné que le strict minimum à savoir ...
Il pris contact avec le Service Galactique de Cartographie :
-Allo , le SGC ? J'ai besoin de toutes les informations sur une planète nommée Mirana , et ce le plus vite possible !
-Les infos sont déjà prêtes , le SOS vous a devancé Monsieur .
La carte holographique de la Galaxie laissa place à l'image de la planète Mirana , la planète semblait peu défendue à la vue des senseurs et une seule ville pouvait y arbiter la nouvelle technologie , mais pouvait-on leur faire confiance ? Les contrebandiers auraient très bien put camoufler une puissance de feu colossale ...
Envoyer la flotte n'était pas assez discret et trop risqué , et si le message était un leurre ? De plus , s'ils se savaient découverts , les contrebandiers préfèreraient sans doute détruire la technologie plutôt que de laisser quelqu'un s'en emparer ...
Il n'y avait pas le choix : il fallait s'infiltrer dans cette ville , et récupérer la technologie discrètement . Luc se souvint avec nostalgies de son passé d'espion avant d'arriver à la tête de Betrayal , et décida de s'y rendre lui-même .
Après avoir emporté une dague pour se défendre , un cristal de mémoire contenant un virus informatique afin de voler les plans de la technologie puis de détruire ceux-ci , de sorte à ce que personne d'autre ne puisse s'en emparer , des explosifs assez puissants pour détruire des prototypes de cette technologie , un cutter laser afin de pouvoir crocheter des serrures ou de percer des vitres d'une épaisseur moyenne et s'être muni d'une fausse carte d'indentité au nom de Barimalek , Luc demanda à ce qu'on affrète le vaisseau le plus discret de toute la flotte , un vaisseau sans armement ni bouclier , pour se rendre sur Mirana ...
Après un trajet de plusieurs heures pour se rendre dans le secteur contrebandier et vers Mirana , Luc amorça enfin l'atterrissage vers une position suffisamment éloignée de la ville pour ne pas se faire repérer , même si cela signifiais beaucoup de marche à pied ...
L'atterrissage ne se passa pas dans d'excellente conditions et le vaisseau failli se cracher sur la planète , mais Luc en sortit quasiment indemne ... Ce qui n'était pas le cas du vaisseau , impossible de repartir dans cet état ...
Luc commença à marcher vers la ville , résolut de trouver cette technologie ...
Luc555 le 2008-03-07 19:39:11
Une Magnifique trouvaille... |
Il était 8h27, le réveil sonnait, ce qui est rare car souvent les gens règlent sur des heures piles ou avec des « 5 » à la fin, mais le réveil sonnait quand même. Le commandant de la Flotte €uro se leva alors avec difficulté. Soudain, un bruit assourdissant retentit dans les tympans du commandant : - Mais ce n’est pas vrai **** !!! Qui est-ce qui a foutu ce ***** de blaster au pied de mon lit ! J’ai failli me le prendre entre les deux yeux !!! Le coup de Blaster avait transpercé son tableau peint lors de sa victoire sur la planète Mygito. Comme à son habitude le commandant Jacky-Rider, alors surnommé Jacky par son équipage, avait un peu bu la veille, c’est avec la gueule de bois qu’il se rendit à la cuisine des officiers. Il ouvrit délicatement la porte, les yeux encore mi-clos : - Euh… Pourquoi ‘ y a personne ici ? s’interrogea-t-il en regardant le cuisinier au self service. - Bin ?! Vous n’êtes pas au courant ? bops…à priori le commandant n’avait pas bu seul la veille. - Au courant de quoi !!! M’enfin, parlez ! Je suis votre plus Haut Supérieur, alors si vous ne voulez pas finir avec un balai à chiot en train de gratter la merde des Greïks, je vous conseille très fortement de vous exprimer, tout en gardant son calme. - Bin ?! Y z‘ont découvert ce truc bizarre, là ! Vous savez! El truc qui c’était paumé là, bin il est revenu avec des photos d’un bidule étrange ! Bops, vous êtes vraiment po au courant ? Bops, vous m’en voulez pas mais j’ai d’la vaisselle, alors vous seriez bien aimable de vous dépêcher, conclut le cuisinier, dévisageant le commandant avec un sourire débile. - Dites-moi !!! C’est quoi votre nom ? Jacky sortit alors de sa poche un carnet ayant comme titre : « Personne à virer absolument !!! » avec en sous-titre : « Jacky, même si tu es beurré ne jette pas ce calepin !!! ». - Rooo, et le monsieur veut faire peur au grand Boss de la cuisine, « Mr Stagliati ! ». Mais MONSIEUR ne fait pas peur !!! Bops… - Jacky inscrit soigneusement : « Stagliati » sur le calepin avec un petit dessin d’une jolie potence à côté ! Bon ce n’est pas tout ça, se dit-il, mais faudrait bien que j’aille voir ce que notre Sonde d’exploration nous a ramené. Jacky arriva sur le pont, il commença à ouvrir la bouche quand subitement, le sous-officier Derlin arriva à hauteur de son épaule et lui murmura : - Monsieur on a trouvé un truc … - Mais qu’est ce que vous avez tous avec vos « truc, bidule, machin chose… ». Exprimez-vous mon brave ! - Et bien, c’est à dire que l’on ne sait pas ce que c’est ! Il tend alors les photographies prises par la sonde XR-8545H. Vous en pensez quoi monsieur ? - Et bien, j’en dis que ça ne peut-être qu’une nouvelle arme de l’ennemi ! Et qu’en conséquence, il faut impérativement les en priver ! Où se situe cette « Arme » ? - Et bien sur une planète contrebandière détenue par un certain John mais que personne ne connaît ! Cette planète se nomme « Mirana ». - Très bien sautez en Hyper Espace immédiatement, vous arriverez 2h avant d’avoir la cible de visu ! Et convoquez-moi IG-88 ! - Oui mon Commandant !!
Aussitôt les ordres distribués, la sirène du vaisseau signalant une opération retentit. Le commandant savait se faire obéir, et ses officiers savaient de quoi il était capable ! Peut-être un rebelle, mais un rebelle exigeant ! Jacky se dirigea vers la salle de BFO (Briefing For Opération), attendant l’ex Chasseur de Prime, ce dernier avait été enrôlé de force par Jacky pour servir la Rébellion ! Jacky, assis dans un fauteuil confortable, dévisagea un à un les 7 frères d’armes. Une fois qu’il eut fini, il se leva brusquement et commença son briefing : - Mon cher frère, tu m’as souvent rendu d’immenses services, je te demande encore aujourd’hui ton aide qui m’est si précieuse. Nous avons récemment découvert une « Arme » dont la Rébellion a besoin pour handicaper notre ennemi, cette arme se trouve chez John… Un gros « AaaHahaa » d’étonnement se fit alors ressentir dans la salle de BFO ! Oui, je sais que ce nom te dit quelque chose, c’est pourquoi, cette opération doit être ULTRA top secrète, d’après nos sources il y’aurait un système de défense encore jamais vu, c’est pourquoi je te demande la plus haute précaution. Donc tu as compris que je ne peux te briefer plus ! Nous n’avons pas plus d’informations, je fais donc appel à ton expérience ! Ce que je te propose pour arriver sur Mirana sans te faire repérer, c’est de faire le coup de Yan Solo et son Faucon Millenium, c’est à dire, de te larguer avec les déchets du vaisseau pour passer inaperçu sur les radars de l’ennemi. Tu te trouveras à l’intérieur d’une petite capsule de sauvetage avec un pilote automatique qui est en train d’être réglé pour t’emmener en territoire hostile. Une fois arrivés sur la planète, tu ne seras en totale autonomie ! Je te rappelle que la Rébellion sera fière de toi si tu y arrives ! Pour la Rébellion ! Pour la Rébellion ! … - Pour la Rébellion !!! cria-t-il joyeusement. - Mon ami as-tu dess questions au sujet de l’opération ? - Non mon commandant ! Je suis fier d’être placé sous vos ordres ! - Très bien dans ce cas début de l’opération a 1h00 lorsque que l’ennemi roupillera ! - Oui ! mon commandant, rétorqua-t-il. - Ok, dans ce cas, rendez-vous à 00h45 pour les derniers préparatifs. Soldat, vous pouvez disposer. Jacky n ‘était pas un très grand orateur, mais il était fier de son discours. Il se dirigea tranquillement vers sa cabine a fin de se reposé. Son réveil sonna pour la deuxième fois de la journée, et oui 00h40, il était donc l’heure. Jacky se releva prenant garde à un quelconque Blaster gisant sur le sol, et se déplaça d’un pas rapide vers la salle des capsules de sauvetage. Il y retrouva IG-88 qu’il avait laissé 3 heures plus tôt: - C’est l’heure ! Tu vas donc descendre pendant 15 min ! Une fois arrivée en bas, plus aucune communication radio ne sera toléré sous risque de se faire repérer. A mon top tu seras largué en même temps que nos ordures mécaniques. Tu es prêts ? - Oui mon, commandant ! s’exclama-t-il avec une légère crainte au cœur. - Dans ce cas 5…4…3…2…1…Top ! Un brouhaha retentit dans tout le vaisseau, la capsule ainsi que les ordures venaient de quitter le bâtiment. Jacky ne put se retenir de penser qu’il venait de l’envoyer à la mort. La capsule se déclenchèrent direction Mirana, après de longues minutes d’attente pour IG, la capsule se posèrent enfin, en toute délicatesse sur le sol vert du domaine de John. Le cockpit s’ouvrit de façon très lente, se qui ne fit qu’augmenter le stresse de notre aventurier. IG se leva alors et mit pied à terre …
Jacky-Rider le 2008-03-07 18:15:58
Le pot de miel attire toujours les abeilles |
Jour 1
Sous un ciel sombre et tourmenté, un Q.G. avancé de l’Empire essuie tour à tour tempête de sable et pluie battante. Les nombreuses guerres qui ont eu lieu au cours des années ont eu raison de l’équilibre écologique du Puit De Force de Hoth.
Il y a peu un nouveau gouverneur y a été nommé, et la noirceur de son âme égale sans effort celle des nuages qui couvre son nouveau lieu de résidence.
L’amiral Golan Trevor contemple le déchaînement des éléments avec une certaine délectation.
« Bis ! _ Oui mon frère, que me vaut un ton si hargneux ? _ Tes badineries avec John et ton manque de retenue face à la boisson et la nourriture. _ C’est une vieille histoire que tout cela mon frère… _ Justement, voilà trop longtemps que j’attends de pouvoir lui rendre la pareille. _ Et que compte tu faire ? _ Lui dérober un bien précieux… _ Ah…. Qui se présente sous la forme de ?... _ C’est là mon problème, je n’en ai aucune idée… »
Malgré le regard perplexe de son frère jumeau Bis, Golan reste concentré sur les rapports apparaissants petit à petit sur son Holocom. Une planète nommée Mirana, quelque peu éloigné du bastion impérial de l’Amiral Trevor, semble attirer ostensiblement nombre de rebelles et d’amiraux de l’Empire. En toute discrétion, du moins le pensent-ils, des chefs de guerre de tous les horizons gravitent et pénètre sur la planète, avec plus ou moins de succès.
La situation est claire, il y a sur cette planète un objet de grande valeur qui attire la convoitise de tous, et cet objet appartient à John.
« Bis je vais te laisser le commandement de la base, ainsi que la responsabilité de ma flotte, je vais me rendre sur une planète éloignée qui je penses abrite des trésors et des secrets de grande valeur. Agit comme si c’était moi aux commandes. _ Nous ne sommes pas jumeaux pour rien… »
Jour 2
Le petit vaisseau furtif «Silk » (ou soie en Galactique Standard) est arrivé en orbite de Mirana, transportant à son bord Trevor et un équipement léger qui sera potentiellement utile une fois arrivé sur place. Au début ce dernier avait voulu prendre quelques armes classiques telles que sabre laser ou blaster, mais ne voulant pas trop se charger il avait privilégier un équipement moins agressif mais tout aussi utile. Aussi avait-il pris une « Soie de Caméléon » qui ne lui permettait pas d’être invisible mais au moins de se fondre dans le décor. Il y avait aussi son matériel de Slicer, totalement illégal dans l’Empire, mais permettant de pirater terminaux informatiques et autres verrouillages électroniques divers. Un cordon en plastacier de quelques mètres de long ainsi qu’une micro arbalète aller permettre d’escalader ou de traverser les passages difficiles, et peut être si nécessaire d’étrangler un intrus. Quelques seringues de Kolto concentré permettront de guérir des blessures et empoisonnements éventuels. Un Holocom modifié qui permet lorsque c’est possible de capter les transmissions alentour. Une boite de microbilles traçantes pour retrouver le chemin emprunté, de la pâte ultra adhésive et un petit canif complètent cet équipement léger.
C’est donc fort de ces ustensiles et de sa capacité d’adaptation et ses talents innés que Golan Trevor envisage de s’infiltrer sur la planète. Son plan est simple, il va atterrir sur la planète avec son vaisseau, sans aucune discrétion, et déclencher les systèmes de défense planétaire afin d’être détruit, du moins pour les habitant de la planète. Pour cela il a chargé ses torpilles à neutron d’Holograph et de simulateur d’interférences propres aux vaisseaux de combat léger. Il espère ainsi tromper la vigilance de la défense et passer à travers les mailles du filet pendant que ses torpilles se feront passer pour ce qu’elles ne sont pas.
Jour 3
Le plan semble avoir fonctionné, un déluge de feu s’est abattu sur les torpilles à proton et les senseurs de défense, saturé par les données des explosions multiples ne semblent pas avoir vu le « Silk » atterrir. Prudence quand même, qui sait si ça ne fait partie d’un plan du Contrebandier. Un pot de miel si attirant ne peut pas être complètement blanc.
« Voyons donc ce qui attire tant de monde sur ce caillou… »
Golan Trevor le 2008-03-07 17:42:55
La lumière du jour plongeait derrière l’horizon et les premières ombres apparurent sur Coruscant. En parcourant les rues de la capitale impériale, on pouvait voir les gamins qui rentraient chez eux, les passants qui entraient au gré des heures dans les bars pour prendre du bon temps, ou bien encore les patrouilles de police qui entamaient leurs rondes dans les différents coins de la ville. La journée, Coruscant était une ville vivante. En effet, les différents marchés attiraient des foules incommensurables venues des quatre coins de la galaxie. C’était la grande force de Coruscant. On y trouvait absolument tout : marchandises, informations, plaisirs…
Il en était tout autre chose la nuit. En effet, Coruscant était aussi connu pour sa criminalité. Dans certaines zones, la police avait complètement désertée tant les rues étaient mal famées la nuit : prostitués, violeurs, assassins, dealers, tous arpentaient les ruelles à leur guise. La loi avait complètement abandonné ce secteur, maintenant sous le joug du Gang d’El Silencio. Ancien chasseur de primes, El Silencio était devenu aujourd’hui sans conteste l’homme le plus puissant des bas-fonds. Il avait acquis son surnom de ses différents crimes. Il avait, comme le disait les rumeurs, l’habitude de tuer sans faire le moindre de bruit, ce qui expliquait manifestement son surnom. En fin de compte, Coruscant était sans conteste la planète la plus contrastée de la galaxie. Paradis la journée, elle était un véritable enfer la nuit.
Une ombre traversa la ruelle, encapuchonnée, et se rendit contre le mur de l’imposant bâtiment. De là, elle patienta, une heure durant, à l’affût, tapis dans les ombres nocturnes. La nuit était glaciale, un temps surprenant en cette saison, se dit l’ombre. Alors qu’elle patientait, songeant à cette histoire, un groupe de personnes sortît du bâtiment. L’ombre se redressa et observa l’un des membres du petit groupe. Grand, roux, avec une stature de colosse, le membre au centre était réellement imposant. « Allons-y, se dit-il ».
L’ombre surgît de la ruelle et se dirigea d’un pas rapide vers le groupe. Lorsqu’enfin ils se rendirent compte qu’un individu approchait, il était déjà trop tard. L’individu avait fait voler les pistolets laser des ceinturons et les pointaient maintenant tous vers le groupe, suspendus dans les airs. Si la peur avait prît place sur les visages de la plupart des membres du groupe, cela ne semblait pas être le cas de l’individu qu’il avait observé auparavant. Au contraire, même, l’individu approcha de quelques pas avant de prendre la parole :
« Ca alors, un Seigneur Sith en personne. Que me vaut cet honneur ? - J’ai besoin d’informations. On dit que tu es la plus grosse mine d’information de toute la ville, El Silencio, alors me voila. - Hum… Cela va te coûter très cher.
Un des pistolets fît feu et un des gardes s’effondra, mort.
- Je n’ai pas de temps à perdre. - Ok, ok, on se calme. Que veux-tu savoir ? - J’ai entendu parler d’un objet appelé censeur. Peux-tu m’en dire plus ? - Jamais entendu parler, répliqua le chasseur de primes.
Les pistolets se mirent à faire feu et les gardes s’effondrèrent un a un, autour d’El Silencio. L’air se mît alors à vibrer et le chasseur de primes se prît la gorge, comme si une main cherchait à l’étouffer. L’ombre s’approcha, et reprît : - J’avais dit que je n’avais pas de temps à perdre, tu m’écoutes ? - Je… Je… Plus… Respi… Rer…, gargouilla-t-il L’étreinte qui l’étouffait se desserra et, après avoir reprît sa respiration, répondît : - On… On m’a dit qu’un marchand du nom de Fligo était venu la semaine dernière, et qu’il cherchait un truc que je ne connaissais pas : le censeur. On l’a enlevé le lendemain, et on l’a cuisiné jusqu'à ce qu’il crache le morceau. Il disait avoir vu le Mébahel près d’une planète complètement paumée, à deux années lumières à l’ouest de Byss. - Où puis-je trouver Fligo ? - Sûrement à la sortie des égouts. Il est mort peu après l’interrogatoire, et on l’a balancé dans les égouts. - Sais-tu ce que le Mébahel faisait là-bas ? - Non, je le jure. Le marchand pensait que pour qu’un contrebandier soit si éloigné de son territoire, il devait y cacher quelque chose de particulièrement puissant. En repartant, il a dit avoir aperçu une flotte qu’il ne connaissait pas mais qui était verte pétante. Il soupçonnait un autre contrebandier d’être dans les parages. - Bien. Puisque tu as finalement parlé, je vais te laisser la vie sauve, pour le moment du moins. S’il s’avère que tu m’as entubé, soit en sûr, je te retrouverai et tu finiras par me supplier de te tuer.
Le Sith lâcha le chasseur de primes, qui tomba, exténué après ce qu’il venait de subir, et disparût à travers les ombres qui l’avaient accompagné. Sur le chemin du retour, le Sith repensait à ce que le chasseur de primes venait de lui dire. Si deux contrebandiers se trouvaient au même endroit, cela ne pouvait être une coïncidence et ils devaient cacher quelque chose, c’était une certitude. Sinon que feraient deux contrebandiers au même endroit ? Le Sith rejoignît son vaisseau et se rendît dans la salle de commandes. Il rejoignît Vecto : - Bonjour, Amiral. Que s’est-il passé là-bas ? J’ai entendu des coups de feu. - J’ai du employer la force pour obtenir ce que je voulais. Bref, apparemment, il semblerait que les contrebandiers remettent le couvert. Un marchand en aurait croisé deux, donc John, près d’une planète paumée. Il semblait dire qu’ils devaient cacher quelque chose de puissant, car pour lui ce n’était pas du tout normal qu’ils se trouvent à deux au même endroit. - Le marchand a-t-il identifié le deuxième contrebandier ? - Non, il a juste dit que le vaisseau était vert pétant. La localisation de cette planète serait à deux années lumières à l’ouest de Byss, tu peux regarder ?
L’informaticien pianotait à toute vitesse sur son clavier et fît son rapport : - Il n’y a que deux planètes dans ce secteur, les planètes Ligato et Mirana. Je suis désolé je ne peux pas… Attendez j’ai une petite idée. Il se remît sur son écran et les chiffres défilaient devant son ordinateur. - Que fais-tu, Vecto ? - J’essaie de reconfigurer notre réflecteur. Vous avez dit que le second vaisseau était vert pétant. Cela semble dire qu’il doit bien renvoyer la lumière. Si j’arrive à aligner notre réflecteur sur la bonne trajectoire, nous devrions pouvoir capter leur position. - Mais si le vaisseau est caché ? - J’ai jamais dit que ca allait marcher, Amiral, j’ai juste dit que j’essayais. De notre position, l’ordinateur calcule une probabilité de 30% de réussite. Je l’ai ! Youuuuuuuuhouuuuuuu, ça a marché ! - Comment diable peux-tu penser à des trucs pareils ? C’est insensé ! - Sans l’information du marchand je n’aurais jamais pu essayer de tracer cette planète. Le vaisseau est proche de la planète Mirana, Amiral. - Excellent Vecto ! Je vais m’y rendre avec un de nos vaisseaux annexes. Tu sais s’il reste des vaisseaux contrebandiers ? - Heu, je ne suis pas aller voir Sliff depuis un bon moment, mais il me semble qu’il avait réussi à monter un chasseur manta. - Merci Vecto ! Prend le vaisseau et rentre sur Syndrom. Je te contacterai lorsque j’aurai besoin de toi. - Bien compris, Amiral
Le Sith patrouilla durant une heure dans tout le vaisseau à la recherche d’objets qu’il pourrait prendre avec lui. Sa mission était périlleuse et mal se préparer pourrait lui être fatal. Lorsqu’il eût fini, il regardait le contenu de son sac. Il avait pris une bobine de fil tressé en nylon, un traducteur universel, du papier, un stylo, une lampe, un Tupperware, un grappin, un mousqueton et enfin une petite trousse de secours contenant des rations alimentaires ultra concentrées, des aiguilles, du talc, des ampoules d’extraction de venin et un scalpel. En fin, il gardait à sa ceinture son sabre laser. Le Sith était prêt. Il rejoignît le garage et, après avoir réglé certaines commandes sur son nouvel appareil, décolla pour la planète Mirana.
Une heure plus tard, il arrivait sur la planète. Après avoir obtenu son autorisation d’atterrir, il rejoignit le secteur 9 et posa son appareil. Le Seigneur Sith Bigdelir sentît un trouble dans la force. Il mît cela sur le compte de la fatigue et descendît de l’appareil. Arrivé à terre, il regarda autour de lui et s’exclama : « Ca alors… »
Bigdelir le 2008-03-07 16:24:19
L'homme qu'il nous fallait... |
Dathomir:vu de l'espace cette planète semblait calme et ses couleurs chamarrées rassurantes.Néanmoins un petit triangle noir se déplaçait lentement sur la surface de la planète.Si on observait mieux,on pouvait même distinguer que c'était une ombre:celle du Poing d'Acier!le super destroyer de classe impériale était comme neuf, après pourtant de nombreux combats,repeint aux couleurs Rebelles.
Le Grand Amiral Zsinj, titre qu'il n'avait vraiment eu que par sa propre volonté, était lourdement assis sur son fauteuil peu confortable afin de favoriser la concentration quand son Comlink sonna:
« Seigneur, on a retrouvé les restes de la patrouille envoyés à l'Ouest de la base...dévorée par un rancor en rute surement -Bande d'incapables...lacha Zsinj »
Et il coupa aussi sec la communication. 1 mois qu'ils attendaient en orbite de Dathomir et les espions Bothan n'étaient toujours pas revenus de leur mission dans le secteur des Contrebandiers...Le seigneur de la guerre avait évidemment tenté d'acheter la rapidité et la discrétion de ces extraterrestres à fourrure à coup de crédit et de menaces sur les familles,mais cela faisait 2 semaines qu'il n'avait plus de nouvelles. Zsinj se servit un verre d'un vieux cognac corrélien afin de se réfléchir au problème et non sur cette bouteille qui lui faisait de l'oeil depuis tout à l'heure. John était malin.Peut etre que les rumeurs de cette nouvelle technologie Contrebandière (elles aussi achetées à coup de crédit et de menaces comme le voulait la coutume) avaient été créées de toute pièce,il était assez tordu pour ça... Zsinj entendu des pas précipités dans le corridor de son bureau,les portes s'ouvrirent et un homme de bonne taille,brun,en uniforme impérial apparu.
« Ah Drysso!dit Zsinj en se levant d'un bond combien de fois devrais vous dire d'enlever cet uniforme certes bien plus classieux que ceux de l'alliance...enfin,un verre de corélien? -Merci Seigneur dit Drysso en faisant un bref garde à vous mais j'apporte des nouvelles importantes,les Bothans,après de lourdes pertes, ont repéré la planète sur laquelle se tère les contrebandier! » Zsinj lui arracha les papiers des mains et parcouru celui-ci « vous appellez ça de lourdes pertes??2 hommes tués lors d'un banal accident de voiture,un autre aplatit par un cargo corellien,qu'est ce que c'est que ces espions du Dimanche?liquidez leur famille respective pour la peine.Enfin, s'exclama Zsinj,qu'on transfère 5 Millions de crédit sur le compte de l'espion qui a repéré la planète contrebandière,il l'a mérité! -Qu'allons nous faire seigneur maintenant que nous savons ou sont ces immondes marchands?envoyer la flotte là bas afin de raser la planète ou avez vous prévu des festivités plus réjouissantes? -J'ai bien mieux.Capitaine...vous partez pour...comment déjà?Mirana!prenez le Sourire du Serpent avec vous,il a été endommagé lors du dernier combat contre les impériaux..prétextez des réparations et montrez bien évidemment que vous avez de quoi payer le double voir le triple!finances illimitées pour cette opération,les Contrebandiers ne poseront aucunes questions tant que vous payerez!Prenez toute les mesures nécessaires,vous avez carte blanche... -Merci de cet honneur seigneur mais eh.. -Oui Capitaine,une question? -Avec tout le respect que je vous dois en quoi consiste elle cette mission? Avec n'importe quel autre subordonné,Zsinj aurait surement sorti son blaster,mais Drysso était un des officiers les plus intelligents qu'il avait et il venait de se rappeler après un petit temps de réfléxion qu'il avait pu omettre de lui donner les informations. -Rouler des contrebandiers soupconneux avec des forces largement inférieures aux leurs,infiltrer une base des mieux défendues,repartir sans casse avec un destroyer réparé aux frais de ces voleurs et avec la toute nouvelle technologie de censseur contrebandier dit Zsinj d'une traite,je fait transmettre au général Kashrin un exemplaire précis du dossier,il vous le donnera quand vous serez à bord du Sourire du Serpent. -Très bien monsieur,je ne vous décevrais pas! répondit Drysso -Je n'en doute pas Capitaine, lacha Zsinj s'en allant vers la baie vitré du salon du Poing d'Acier,si vous revenez vainqueur capitaine,nous serons en mesure de combattre tous nos ennemis...
En effet Zsinj avait confiance en Drysso,l'homme ne l'avait jamais déçu,il était fait pour des missions à haut risque,aussi bien de grandes ampleurs que cette mission qu'il venait de lui confier.Si il y en avait un qui pouvait réussir..c'était lui. Le capitaine fit un bref sourire,salua et s'éloigna.
Drysso marchait d'un pas ferme vers le labo de l'équipement,Zsinj le suivait sur l'écran de contrôle quand soudain son comlink émit un son:
-Que fait ton pour l'Ouest de la Base seigneur? -Renvoyez des patrouilles jusqu'à temps qu'on trouve un terrain propice à l'éxécution des prisonniers dit Zsinj avec un sourire carnassier.
[HRP:Drysso prend la main au prochain RP :)]
Zsinj le 2008-03-07 15:27:41
Le commandant en second rentra dans la salle des opérations de l'APWALITO I. ' - Mon Amiral. (Il s'incline légèrement vers l'Amiral Robino) - Juno. Merci d'être venu si rapidement. - C'est normal, que me vaut l'honneur de me trouver ici ? - Simplement que je viens de recevoir un message d'une très grande importance et je me tourne vers toi, car tu es le plus qualifié pour accomplir cette mission. - Mon Amiral, vous me faite un grand honneur et c'est avec plaisir que j'accepte. - Je t'explique la situation, un ami de la haute instance rebelle m'a demandé de lui rendre un petit service. Petit mais pas des moindres. Je ne veux pas te mettre de pression mais c'est d'une importance capitale. Vous êtes toujours partant ? - Et comment je me dope à l'adrénaline le fait qu'il y ait de la pression me boost au contraire. - Très bien je continus, ils auraient entendu parler d'une sorte de nouvelle technologie dépassant l'imaginable des savants les plus fous que la galaxie connaissent, un Amiral aurait entendu une taupe parlait de ce projet autour d'une partie de sabacc. Avant de continuer tu dois t'imaginer que la taupe ne parlait pas toute seul, il y a donc d'autre personne au courant d'où l'importance de ta rapidité d'action. Je ne peux pas te donner d'autres indications. La seule chose qu'il te reste à faire est de prendre la combinaison que tu vois sur mon bureau et de descendre au hangar où tu trouveras toute informations supplémentaires. Juno je ne te souhaite pas bonne chance, mais du courage certes il te faudra. - Ne vous faites pas de souci pour ça Amiral, mais comment vais-je me rendre a destination ? - Tu trouveras tout en bas. Maintenant sache que sur des missions top secrètes comme celles-ci il y a souvent des médailles à gagner mais malheureusement pour la plupart, c'est les familles qui les reçoivent. - Ne vous inquiétés pas mon Amiral ce n'est pas la dernière mission que vous me donnez soyez-en sur. Je vous remercie pour tout encore. (Il saisit la combinaison et descendit aussitôt au hangar) - Commandant ! - Oui mon Amiral ? - Bonne chance commandant. - Je ne vous décevrait pas Amiral, soyez en certains. ' Le commandant descendit les marches à une vitesse fulgurante. Il arriva devant la porte du hangar, retint sa respiration est pénétrât dans l'immense entre qu'est le hangar. Sous ses yeux une énorme caisse poussiéreuse avec une protection à combinaison, il se dirigea vers elle avec une grande hâte. Il rentra la combinaison dans la protection : '187-235'. La caisse à l'aspect vieillarde était en fait une protection de haute technologie, elle s'ouvrit sans un bruit. Quand le commandant vu le Rogue Shadow il ne peut s'empêcher de penser à sa mère qui l'avait appelé Juno en hommage au célèbre apprenti secret. L'Amiral avait eu raison de confier cette mission à Juno il connaissait parfaitement cet appareil, il ne cessait pas de regarder et de consulter le peu d'information qu'il existait au sujet du Rogue Shadow. . Il s'empressa de rentrer dans le cockpit, où il trouva un mot de l'Amiral Robino. 'J'espère que de pouvoir être dans le vaisseau dont tu as tant rêvé t'enchante autant que moi. Ta mission si tu l'acceptes toujours va être de te rendre sur une planete nommée 'Mirana' les seules informations que nous disposons est un secteur est des coordonnées hyper espace, je ne te garantis pas la précisons exact des données, mais je peux te dire que tu arriveras dans le bon secteur. Ces coordonnées tu les connais c'est la combinaison qui ta permit d'être où tu es. Je ne t'abandonne pas à ton triste sort, je te laisse un peu de Glitteryl toujours utile en territoire inconnu, tu dois aussi connaître la particularité qui fait la rareté du Rogue Shadow qui est la discretion la plus minime. Tu as aussi une paire d'electrobinoculaires qui te permettra de repérer la présence d'ennemis ou autres si tu arrives sur Mirana, je t'ai aussi joint un medipac qui te soignera en cas de blessure . Je te souhaite bonne chance et ramène nous cette nouvelle technologie la rebellion t'en sera reconnaissante' Le commandant était plus motivé que jamais tellement qu'il sort du cockpit et ouvrit lui-même la grande et immense porte du hangar l'abandonnant avec son Rogue Shadow dans la sombre galaxie, sombre pas tant que ça en fait, car l'Amiral Robino lui avait laissé tout seul le dernier gadget embarqué, le casque qu'il portait était en fait à la pointe de la technologie, une fois la visière baissée il découvrit les multiples fonctions du casque, a savoir que sur la visière les scientifiques avaient intégré une sorte de diode minuscule mais d'une puissance extrême, le commandant Juno voyait ainsi la galaxie comme il ne l'avait encore jamais vu. Le commandant avança dans la galaxie après avoir rentré les coordonnées hyper espace dans l'ordinateur de bord. Il ne parvint pas à s'endormir tant il était excité. Son casque ce mit à sonner, surpris il ne compris pas de suite ce qu'elle signifié, il se passa une chose très bizarre comme si quelqu'un avait appuyé sur un bouton mettant le Rogue Shadow en sous tension. Juno compris vite ce qu'il se passait il venait d'attendre les coordonnées. Devant lui rien, mais le radar indiqué de nombreux plots, il a vite compris qu'il venait d'attendre le territoire hostile, mais toujours aucune planète à l'horizon, il activa sans le vouloir un mode 'ciblage ennemies' sur son casque. Il vit et détecta 4 vaisseaux de sécurité qui rodaient autour d'une masse indescriptible de là où le commandant se tenait Il se fit aussi discret que possible et ça marche personne ne l'a encore repéré. Il est maintenant en visuel de cette masse sombre, il ne put l'associer à une couleur, il a repéré cependant une sorte de porte galactique semblable a celle des DSI. Malgré tout il suivit son instinct et décida d'abord faire le tour de 'Mirana'. Cette décision il s'en rendra compte plus tard fut la bonne, car à l'opposer de la porte galactique ce trouvé une toute petite ouverture moins surveillé. Il décida de se rapprocher un maximum de celle-ci voyant que le passage était possible, il se déplaça encore autour de la planète et largua des leurres qui attirèrent aussitôt les vaisseaux de surveillance, il se dirigea donc plein gaz en direction de la porte. Suite aux leurres l'alarme avait été déclenchée la porte commençait à ce rabattre sur elle-même laissant apparaître l'entre diminué de plus en plus. Lorsque le commandant Juno était à seulement une dizaine de mètres de la porte, une sorte de droïde s'accrochât aux réacteurs du Rogue Shadow, mais comble de chance, la porte se referma sur le droïde. Juno réussit parfaitement l'atterrissage, il sortit aussi vite que possible de son Rogue Shadow et mis un pied, puis deux sur Mitara et ce qu'il y vut est inexplicable…
Fin de transmission de la première journée de Juno dans sa quête de 'L'ultime technologie'.
robino le 2008-03-06 23:22:16
Cela faisait déjà maintenant quelques heures que la planète Bakura avait signé sa reddition elle était maintenant propriété du Seigneur TheHunter qui commençait à peine à installer ses quartiers quand le Gouverneur Verned récemment nommé à la tête de Bakura arriva dans la pièce, essoufflé.
-Monseigneur...j'ai une importante nouvelles à vous transmettre...
-Quoi ? se pourrait il que Orin les ai trouvés ...
-Non, Maitre nos espions dans le secteur contrebandier nous ont fait part d'une certaine activité douteuse...
-Ce sont des Contrebandiers, c'est normal que leurs affaires soit douteuses.
-C'est différent, il s'agit du Méhabel il aurait quitté sa position peu de temps après qu'une navette impériale se soit posé dans son hangar, les recherches semblent indiquer que la navette aurait servi à une certaine Anael qui à travailler dans nos services de renseignements, ces dernières recherches concernés le développement d'une nouvelle arme chez les contrebandiers...
TheHunter paraissait pensif, il se retourna et fixa le gouverneur.
-Venez en au fait Verned et rapidement.
-eh bien le Mehabel à fait route vers la planète Mirana, nos informations s'arrête là, notre espion n'a pas voulu risquer de se faire repérer.
-Bien, je ferais abattre ce lâche...préparez la flotte nous allons en secteur Contrebandier.
En quelques heures la totalité de la flotte fut prête et parti en Hyperespace, TheHunter seul, assis prés de son bureau réfléchissait à la meilleure méthode pour s'emparer de l'arme, une attaque de sa flotte ne passerai pas inaperçu aux yeux de l'Empereur et il ne pourrait pas garder l'arme pour lui seul et il aurait le risque de la détruire, acheter l'arme semblait impossible, les Contrebandiers voulant sans doute l'utiliser pour leur petits profits...il ne restait qu'une seule solution, l'infiltration bien sur cela risquait d'être compliqué... TheHunter parti rejoindre le pont de son vaisseau ou l'attendait déjà quelques officiers.
-Il est nécessaire pour la suite de nos opérations de disposez une base dans le Secteur Vice-Amiral Terun vous vous occuperez de ce détail... pour ma part je partirais avec un cargo léger YT-2000 en direction de Mirana, j'aurais cependant d'un Com-Scan pour détecter la ville ou cette arme est caché.
-Nous vous avons devancé Seigneur le Com-Scan à déjà fait sa part de travail.
Une image Holographique représentant la planète Mirana apparut.
-Regardez selon nous cette ville semble être celle ou est situé l'arme,de nombreuses forces de défenses, et il semble assez peu de civils s'infiltrer sera difficile...
-Ne vous inquiétez pas, préparez mon vaisseau nous nous mettons en route de suite.
TheHunter se dirigea vers le Hangar et aperçu son Cargo, il était temps pour lui de verifier son matériel, un grimage ooglith lui sera utile pour éviter d'être reconnu, grâce à celui ci il pourra se faire passer pour un vulgaire Chasseur de Primes du Nom de Atto Tuner; le reste de l'équipement comprenait un Déguisement Rétinien,un Masque d'Empreintes Digitales,un Ordinateur d'intrusion MicroThrust et un Senseur d'Invisibilité, tout ce matériel devrait être suffisant pour récupérer cette arme. Puis TheHunter cacha sa présence dans la force afin d'éviter d'être repérer...
Il était fin prêt le Cargo commença à s'élever et quitta rapidement le Hangar, après un court saut en hyperespace il se retrouva devant Mirana,le vaisseau pénétra l'atmosphère de la planète et se dirigea vers la ville que lui avait indiqué le Com-Scan.
-Ici, le Grufion , piloté par Atto Tuner demandons autorisation d'atterrir.
les dés était jetés, dans quelques instants le vaisseau de TheHunter se posera peut être sur la planète et la quête de l'arme pourrait enfin réellement commencer
thehunter le 2008-03-06 20:20:37
Une jeune femme marchait à bord du Néo-Mébahel, elle savait où elle allait. Elle se dirigeait droit vers les appartements privés de l'amiral du vaisseau. La jeune femme était tout de noire vêtue avec une capuche qui couvrait presque la totalité de son visage. Les traits que l'on pouvaient apercevoir, était fins. Elle arriva enfin devant la porte d'entrée des appartements de l'amiral. En approchant son fin doigt de l'interrupteur d'ouverture de la porte, elle ressentit une forte pression. Mais cela ne l'arrêta pas, ce qu'elle devait rapporter à l'amiral était de la plus haute importance. La porte s'ouvrit et elle entra d'un pas décidé, quand soudain, elle ressentit une forte pression autour de son cou et ses pieds ne touchaient presque plus le sol, comme si elle s'envolait. On l'étouffait mais personne ne lui tenait la gorge. Elle entendit une voix rauque.
« Comment oses-tu rentrer ici? Tu viens de signer ton arrêt de mort au moment où tu as posé le pied sur ce vaisseau, lança l'homme. - Je, je, je tenta de dire la jeune femme qui étouffait. - Parles plus distinctement. Je n'entends rien. Si tu as une dernière parole à dire fais le maintenant. - John, tu ne me reconnais pas ?, elle enleva le capuchon pour montrer son visage dans cette salle sombre où la seule lumière était celle offerte par les illuminations des oeuvres d'art d'un coté de la pièce. - Tue la , elle nous fait perdre notre temps, dit une voix douce. - John, c'est moi Anael. - Anael, tu dis, si c'est bien toi tu devrais te trouver au QG impérial, or je t'ai formellement interdit de venir ici. - Une urgence, je n'ai pas pu faire autrement, balbutia la jeune femme. - Prouve moi, que tu es bien celle que tu prétends être - Tue la, lui susurra sa compagne à l'oreille, juste avant de la mordiller. - Je suis celle qui a dupé Gleen ainsi que toute la rébellion, puis par la suite tu m'as cloné 7 fois. Enfin je suis partie en mission d'infiltration dans les différentes factions de la galaxie et me voici enfin de retour devant toi mon amour. - C'est qui cette traînée, lança l'autre femme qui brandit un blaster dans sa direction. - Du calme Carrie, cette personne est bien ce qu'elle prétends être, si tu lui fais quoi que se soit tu risque de subir le même sort alors range ton jouet s'il te plaît. Anael qui a-t-il de si urgent pour que tu sois ici? - Les rebelles ainsi que les impériaux ont eu vent de tes projets et des espions des deux clans se dirigent vers l'endroit où se trouve la nouvelle technologie de senseurs que tu développe. Il faut absolument que tu évacue tout. - Tu rigoles, tant mieux s'ils viennent fouiller sur cette planète je vais pouvoir m'amuser à les voir se perdre et se prendre dans ma toile. Les censeurs ne risquent rien là où ils sont. La base est introuvable et à supposer qu'ils la trouvent le système de sécurité a été fait par mes soins. De plus les larmes de Namida rodent sur toute la ville . On les repérera bien assez tôt. - Je me suis donc déplacée pour rien. - Non, au contraire je vais me rendre sur Mirana pour voir ce magnifique spectacle de mes propres yeux. Mais avant cela, viens plutôt t'allonger, tu dois être fatiguée. - Mais John pas avec nous, s'écria Carrie. - Tu veux peut être nous laisser, dit John avec un regard noir à l'encontre de Carrie. - Non, mais...., elle se mura dans le silence et accepta la situation. »
La jeune femme rejoignit les deux amants pendant que le vaisseau fit route vers Mirana, planète contrôlée par John et base stratégique de la contrebande.
[HRP: Comme vous l'avez compris, les CB's ont découvert une nouvelle technologie. Vous avez pour mission de tenter de la dérober pour votre clan aux mains de la Contrebande. Pour participer à la quête, il vous faudra faire un RP de présentation, racontant comment vous avez obtenu l'information sur la base, décrire votre arrivée sur Mirana et décrire votre équipement pour votre infiltration.(attention pas de droides de la mort-qui-tue, ni de sabre laser et encore moins d'armes à feu. Prenez tout ce qu'il vous semble utile pour une infiltration et un potentiel vol.)La quête commencera le 10 mars avec un nouveau RP Bonne chance à tous.]
John le 2008-03-06 01:23:36
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